Le Fantôme de la liberté

elle se situe entre le taureau et le cheval et on peut remarquer qu'elle s'efface dans l'obscurité ce qui signifie que la paix est impossible entre les deux parties, qui s'opposent dans cette guerre, les Républicains et les Nationalistes. La femme fantôme tient dans sa main une bougie. Elle montre l'indignation de la communauté internationale. La fleur, en bas au centre, symbolise la fragilité, la vie et l'espérance. La femme à gauche, celle-ci a le sein dénudé et tient un enfant mort dans ses bras

seulement du dernier vers. On a ainsi souvent associé la rigueur du sonnet à une composition mathématique, à une figure géométrique. Cependant, certains auteurs préfèrent innover en modifiant ce schéma fixe des rimes ou de strophes, s’accordant des libertés qui défient l’originalité du sonnet. I/ Le sonnet : une forme mathématique Le sonnet est donc une forme fortement codifié de poème, comme en témoignent plusieurs œuvres de la Pléiade, groupe réunissant sept auteurs français du XVI° siècle dont

et la neige qui a tout recouvert puis la disparition de cette saison et l'apparition du printemps. Le printemps avec ces fleurs qui fleurissent et le soleil qui apparait à nouveau. Puis l'été et ces beaux soirs avec les crépuscules et toute la liberté de cette saison. Et enfin arrive l'automne qui rassemble toute les saisons les feuilles et fruits qui tombent, les touffes printanières, le gel de l'hiver qui arrivent et le soleil qui disparait. On découvrira la fin de l'automne avec comme recommencement

vain je m'opiniâtrasse, Et que je vous idolâtrasse Pour que vous m'assassinassiez ! Extase : Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ Ainsi l'amour du Ciel ravit en ces hauts lieux  Mon âme sans la mort, et le corps en ce monde  Va soupirant çà bas à liberté seconde  De soupirs poursuivant l'âme jusques aux Cieux. Vous courtisez le Ciel, faibles et tristes yeux,  Quand votre âme n'est plus en cette terre ronde : Dévale, corps lassé, dans la fosse profonde,  Vole en ton paradis, esprit victorieux

débute à partir de 1865 avec la création d'une organisation de blancs du Sud d'extrème-droite racistes le Ku Klux Klan. Ils portent des capuches pointues blanches et des vêtements blancs pour ressembler à des fantômes et faire croire aux noirs peu instruits et crédules qu'ils sont les fantômes des soldats sudistes morts au combat pendant la guerre de Sécession. Les membres du KKK terrorisent les noirs et pratiquent le lynchage, c'est-à-dire qu'ils frappent les noirs à mort et les pendent. Jusqu'en

comprendre comment le regard de chaque individu emprisonne la liberté des autres, ainsi que comment chaque individu s'emprisonne volontairement dans le préjugé des autres. Puis, ce mémoire tourne la vue vers la vie réelle, en étudiant deux types de société, il réalise à résumer les différences entre des rapports humains dans la société individualiste et ceux dans la société collectiviste. mots-clés : enfer, regard, soi et autrui, liberté Sommaire Introduction 1 Chapitre I Le trio infernal

sombre : On bascule du côté du cauchemar. Premier plan : lapin et autres animaux / Deuxième plan : Maison ( plus grand que le premier ) / Arrière plan : Forêt hivernal. Contre plongée Tableau 2 : Le cauchemar Füssli Étymologie  de cauchemar : Fantôme qui vous étouffe Un incube : Selon les légendes, démon qui vient abuser des femmes pendant la nuit. Premier plan : La femme / Deuxième plan : Le démon / Troisième plan : Le cheval / Arrière plan : noir. Il représente sur la même image la rêveuse

n'avaient pas les moyens militaires que possédaient les nationalistes. à Droite : Le fantôme tient dans sa main une bougie. Il montre l'indignation de la communauté internationale qui veut faire la lumiére sur ce qui se passe. La femme qui boite à une blessure à la jambe qui l'empêce de marcher. Attirée par la lumiére de la lampe, elle crie la liberté malgré son handicape, elle continue à marché vers la liberté. Le prisonnier est brulé vif. Il implore Dieu le bras levé au ciel.

connotations négatives, des qualificatifs péjoratifs : « « vieilles petites figures racornies, de maigres et pâles fantômes, des créanciers agiles, des parents et des courtisanes ». Tous sont assimilé à des « monstres », la société devient en fait une « légion de monstres ». C'est un groupe morbide, en effet, cette société représente la vieillesse « racornie » « pâles » « fantômes » qui est synonyme de mort. La société est présentée comme un poids mort qui entrave la jeunesse : « se suspendent »

l'homme qui est auprès de nous peut-être un espion, un voleur, un assassin en puissance ; il sera à l'origine de nouvelles craintes, il impliquera une nouvelle vigilance mais, du moins on saura à quoi s'attendre alors que le « horla », l’alien, le fantôme, le monstre, par leur étrangeté même, nous désarment, nous ne savons que faire pour nous protéger. LE BOUC EMISSAIRE Pour apaiser leurs tensions et calmer leurs démons, les collectivités n'ont pas hésité à sacrifier des hommes. C'est la technique