Le Désir Libérateur

contraire est-elle celle d’une conscience collective faisanr valoir a l’individu les contraintes nées de la vie en société ? Enfin est-il possible de dépasser l’opposition de la liberté et de la contrainte. Est-ce qu’une contrainte peut avoir des effets libérateur ? 1) La conscience est la condition de la liberté. La conscience semble etre a l’origine de la liberté humaine. D’abord la liberté humaine fut longtemps conçue dans les termes de la conceptions théologique du libre arbitre, faculté accordé

certitude concernant la nature de ce qui nous entoure, elle accroît énormément notre connaissance d'une réalité possible et différente ; elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais parcouru la région du doute libérateur, et elle garde intact notre sentiment d'émerveillement en nous faisant voir des choses familières sous un aspect nouveau." Bertrand RUSSELL, Problème de philosophie . ======================= = "La valeur de la philosophie doit en réalité surtout

notre ignorance, de nos préjugés, de nos pulsions, nos désirs, de notre corps, de nos égarement, de nos erreurs ? C'est ce que pensent les philosophes. Mais la philosophie peut-elle vraiment nous libérer, ou n'a-t-elle au contraire aucun réel impact libérateur sur nous ? I. La philosophie prétend nous libérer de nos préjugés et donc de notre ignorance Comme nous avons pu le voir en classe avec un extrait des Problèmes de philosophie de Bertrand Russell et de La République et son Allégorie de la

qui reconnaît, le désir de servitude. Sartre, dans Les Mouches, a donné de belles descriptions de ces instants décisifs où nous cessons de reconnaître le désir et les valeurs du « Maître », où nous accédons à la liberté authentique. Ainsi Oreste fait le choix de cesser d’implorer Jupiter et de lui demander le chemin du bien. « J’ai besoin qu’on me trace ma route », commence-t-il par dire : Oreste « reconnaît », d ‘abord, son maître, Jupiter, et rejette ensuite sa loi et son désir. Ainsi est-il nécessaire

on le voit pas les termes « on le force », « tous ces mouvements le feront souffrir ». Platon lève alors un paradoxe : les libérateurs viennent sortir ces hommes de la grotte, et ces hommes souhaitent rester au fond de la grotte. Ces hommes ne pensant pas être prisonniers, se voyant libre et certains que leur réalité est la bonne, et ne les voient pas en tant que libérateurs. On voit que leur ascension prend du temps, il commence « à se dresser , à lever les yeux vers la lumière » ce qui traduit

vérité et d'y faire face, mais il semble qu'il ne le désire pas toujours. C'est pour cette raison que l'on peut se demander si la vérité est contraignante ou libératrice, s'il est préférable pour l'homme de se cacher la vérité ou de se l'avouer pleinement pour atteindre son but tant recherché : Le Bonheur, Dans un premier temps, nous allons donc voir pourquoi la vérité peut parfois paraître contraignante avant de nous interroger sur son effet libérateur. Tout d'abord nous nous intéresserons donc à

degré par le sens de leur démarche et par la rigueur et l’exactitude de leur système. Dans ce contexte, les mathématiques puis les sciences de la nature vont souvent monopoliser les énergies. Les modernes croient, parfois aveuglément, au pouvoir libérateur de la science. Voilà pourquoi c’est à cette dernière qu’on va demander de produire une société d’individus libres de toutes contraintes. La raison Parce qu’ils ne tiennent plus compte de la révélation, de la foi et de la croyance

assigné. On ne peux pas comprendre la question du mal si on se demande pas en quoi le mal est surtout dangereux parce qu'on peut facilement l'identifier à la liberté , ou parce que la liberté a du mal à ce passer du mal. I. Le mal comme principe libérateur . A. Moyen de s'affranchir du destin Macbeth , p40 : Macbeth , qui est-il ? l'image qui le précède est amené par le colonel "est fortune … putain de rebelle" "mais en vain , car Macbeth le brave … face à face" Ce personnage qui apparaît comme

d’émergence Depuis toujours certains hommes politiques utilisent d’habiles propagandes, créent manifestations et réunions publiques ou exploitent certains contextes (conflits, crises en tout genre,…) pour justifier leurs actes qu’ils proclament libérateurs, sauveurs et bienfaiteurs. C’est donc par manipulation psychologique et ensuite au moyen de la violence qu’ils se voient monter en puissance et exécuter leur politique. Parlant du monde et de ses personnages, Albert Camus écrit dans l'Homme révolté

domination absolue du maître, j’obtiens une certaine liberté car comme le dit Sartre, « l’élément libérateur de l’opprimé, c’est le travail ». En outre, travailler révèle la liberté sociale. Effectivement, en travaillant et en affrontant la résistance des choses (qu’elles soient intellectuelles ou matérielles) je produis une œuvre personnelle qui révèle ma propre liberté, ou tout du moins mon propre désir de liberté. Je prends de ce fait conscience qu’il est possible pour moi d’être libre, même s’il