Le Diable

l'auteur lui même et à « l'histoire » de l'oeuvre. Baudelaire est un poète français, qui publia en 1857 Les fleurs du mal, recueil de poèmes qui se vit censuré plusieurs fois, à cause du choix épineux de ses sujets (le mal, la violence, la volupté, le diable...). C'est un homme lettré, cultivé, passionné par l'Art et est un critique reconnu de peinture. Il fut envoyé par son beau père en voyage vers les Indes (voyage qui l'inspirera énormément), afin de le « rééduquer », jugeant ses comportements de jeune

singes de leurs actions" : singer veut dire imiter, le singe est l'animal le plus proche de l'homme d'où l'origine de l'expression, en effet un singe n'est jamais un homme malgré les apparences. Rappelons aussi que dans la tradition chrétienne, le diable est considéré comme le "singe" de Dieu. C'est effectivement une expression péjorative. · "et quelque baissement de tête, un soupir mortifié, et deux roulements d'yeux rajustent dans le monde tout ce qu'ils peuvent faire" : Don Juan décrit les attitudes

croyants d'aujourd'hui, au Moyen-Age, ils croyaient dur comme fer aux extraits de la Bible lus régulièrement par une personne de l'Eglise. Ils menaient leurs vies en fonction de ce que la religion leur dictait dans le seul but d'atteindre le Paradis, le Diable les terrifiant au plus haut point. Rutebeuf étant fasciné depuis toujours par la religion n'hésite pas à écrire sur elle. 3. LES CARACTÉRISTIQUES DU GENRE ET DU COURANT ET LA REPRÉSENTATION Le théâtre religieux comporte différents genres tels que

remettre une dépêche (cousue dans son bonnet) à la tsarine. Son grand-père s’arrête en chemin et rencontre à une foire, un groupe d’homme dont un zaporogue qui dit avoir vendu son âme au diable et qui s’apprête à passer sa dernière nuit en homme libre. Le grand-père promet de rester éveiller afin d’empêcher le diable d’emporter le zaporogue mais il finit par s’endormir et le matin suivant, le zaporogue, son cheval, celui du grand-père et le bonnet ont disparu. Le grand-père veut récupérer son bonnet

c'était un autre billet de mille lires, alors je fis une troisième tentative. Et un billet sortit. »D'après Buzatti, le personnage est victime du diable. Ce dernier use de charmes pour séduire ses victimes: il peut se métamorphoser en animal ou en humain pour offrir un objet magique (dans Le veston ensorcelé/ le tailleur ou démon offre un veston magique) Le diable satisfait alors un désir qu'il a repéré chez sa victime. Celle-ci succombe à la tentation, transgresse l'interdit (jeunesse éternelle, richesse

effectués envers des gens nommés benandanti. Ils se disent être les défenseurs de Dieu, mais pour les juges, on dit d’eux qu’ils sont des sorciers. C’est à travers les années qu’on va de plus en plus assimiler les croyances des benandanti au diable. On va donc constater les liens entre les bennandati et la sorcellerie puis on expliquera comment la fin de ce groupe est arrivée. On constater quelque différences du point de vu des benandanti entre eux et les sorciers. Quand on demande

plusieurs reprises a travers sont champs lexical « s'empourprer », « rougissait »; « échauffé ». On note également beaucoup de rapprochement avec le personnage du diable, des démons et de la tentation « sournois », « taillefer se piqua d'animer ses convives, et fit avancer les terribles vin du Rhône ... », taillefer est présenté ici le diable que tente ses convives à le suivre en leurs proposant toujours plus de nouveaux vins, « espérant garder leurs raison »,ne serait-il pas l'allégorie de la tentation

champ lexical du mal, « Satan », « démon », « diable », le mal est donc très présent. Baudelaire développe ici un esprit satanique. La majuscule à l'épithète de «Satan Trismégiste » montre la puissance du diable. Il est décrit comme un chimiste qui travaille sur notre esprit. L’Homme ne peut rien faire contre lui. Le Mal attire les hommes, et les ensorcelle « notre esprit enchanté ». L’Homme n’est qu’une marionnette que Satan domine (« c’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » vers 13)

la cathédrale. Autrefois, le Diable survolait la terre en chevauchant le vent. Il aperçut ainsi son portrait sculpté sur la cathédrale, sous l’apparence du Tentateur, courtisant les Vierges folles (Matthieu 25, 1-13). Il est re­pré­sen­té sous les traits d’un jeune homme sé­du­i­sant dont le dos s’ouvre : on en voit sor­tir des crapauds et des serpents, mais aucune des jeunes filles naïves au­x­quel­les il s’adresse ne le remarque. Très flatté et curieux, le diable entra dans la cathédrale pour

soyons plus esclaves du péché (Rom.6 :6). Il est ici question d’une sanctification potentielle, des capacités que Dieu a mises en chaque chrétien dès le jour de sa conversion lui permettant d’avoir le contrôle sur sa vie contrairement au païen que le diable domine et assujettit totalement. C’est au fait la sanctification du Christ transmise à tout ceux qui croient en Lui. (Es.53 :11). On ne déploie donc aucun effort pour l’obtenir, c’est un acquis grâce à la mort du Christ qui s’est chargé de nos péchés