Le Diable

Le gentil petit diable Il etait une fois un joli petit diable,tout rouge,avec deux cornes noires et deux ailes de chauve-souris.Son pere etait un grand diable vert et sa mere une diablesse noire.Ils vivaient dans un lieu qui s'appelle l'enfer.Ces parents etaient tres mechants mais leurs fils lui,voulait etre gentil.Chaque soir,lorsqu'il revenait de l'ecole son pere lui demandait ce qu'il fesait a l'ecole c'etait toujours pareil,il etait gentil avec ses proffes et ses amis et il ne fesait jamais

évoque dieu ou le diable qui n’ont pas d’apparence attribuer universel ils sont comme ont le veux. Il leur donne des apparences d’animaux pour le diable il considère sa fourche comme ligne 17 « un fusil tout gris ». Le diable est un lièvre rouge et dieu est un gros lapin. Il fait transparaitre par ce poème que dieu et le diable sont en consente rivalité par exemple page 180 «  il rêve aux bon tours qu’il va jouer au bon dieu » mais dans ce poème il dit aussi que dieu et le diable sont ego quand il

plusieurs fois (v. 429, 440). 3. Dieu et diable : Ruy Blas s’adresse à la fois à Dieu et au diable. Au vers 421 « démon » , v. 425 : «  je me damnerais », v. 430 « ayez pitié de moi mon dieu ». Ruy Blas est une âme perdu qui réclame du secours mais il ne viendra pas de Dieu mais d’une figure diabolique Don Sallustre. Au vers 182 « vous avez toujours eu de l’esprit comme un diable » : phrase de Don César à Don Sallustre. Au vers 449, 450 « Hum ! le diable m’emporte ! Cette figure sombre écoutait

bucher, sorcellerie =oeuvre du diable Les diableries Merveilleux(Légende, fable, émane de dieu) ou fantastique (etrange, bizarre, voulu par le diable) Au paléolithique, le diable émerge lorsque les hommes invoquèrent les esprits. Des traces de ses croyances ont été mis a jour : amulette, peinture, dessinant les principes du bien et du mal, la lumière et les ténèbre. ex: en égypte, Osiris et Seth en grèce, Zeus foudroyant Typhon La figuration du diable : Le diable aspect à pazuzu (divinité démoniaque

mignon”. Du diable : “noir sinistre » qui peut évoquer la mort ou la nuit ; “le diable”, “ ambre fauve” , qui souligne le caractère sauvage de Carmen. Nous avons aussi le champ lexical de la couleurs: « rouge », « pourpre » « ambre ».. Deuxièmement, ce poème cultivé à partir d'un portrait symbolique d’une femme mystérieuse. En premier lieu il décrit l'aura de Carmen avec des connotations érotiques , la description de son corps qui est toujours en gros plan «  Sa peau, le diable de tanna », « son

Diable et sorcellerie XIV-XV Texte proposé : « le marteau des sorcières », qui est un manuel pour les inquisiteurs XIIIe : naissance de l’inquisition XIVe : Nicolas Eymerich écrit un manuel des inquisiteurs avant celui du marteau des sorcières. Comment et pourquoi à un moment donné, l’inquisition s’occupe de la sorcellerie ? D’un point de vue théorique, du moment qu’une sorcière fait un pacte avec le démon elle devient hérétique. La sorcellerie est une apostasie (crime contre la foi). Les

« il faut » pour compenser ( oppose l’ange (la reine) au diable Salluste II. La prise de conscience d’un piège diabolique 1) une bête féroce • méchanceté, cruauté : « c’est un homme méchant », métaphore filée de la bête fauve • annonce du dernier acte « le tigre et le lion » 2) un homme de l’ombre • champ lexical de l’ombre et de la trahison • ourdit son piège dans le noir (répétition du mot piège) • image du diable 3) un homme puissant • le maître ≠ lui-même laquais

écouter du Beyonce, Rihanna, Jay-z & toute la panoplie sans savoir ce qu’ils disent et racontent dans leurs musiques . Selon la tradition les plus beaux chants reviennent au Diable, car il a toujours exploité voir apprécié le pouvoir de la musique comme instrument de séduction ou de domination des âmes. Le Diable serait un musicien virtuose dépassant de loin tout art Humain . Nous devons savoir que n’importe quel personne du Showbiz est amené à marchander son âme ou être mis a l’écart des

pouvoir, qu'une seule fois, c'était le jour où elle avait entendu un prédicateur, plus subtil que ses confrères, s'écrier en chaire: "Mes chers frères, n'oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas!" Le souvenir de ce célèbre orateur nous conduisit naturellement vers le sujet des académies, et mon étrange convive m'affirma qu'il ne dédaignait pas, en beaucoup de cas, d'inspirer la plume, la parole

S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait — la scélérate ! — Sous ses mitaines de fil noir Ses meurtriers ongles d’agate, Coupants et clairs comme un rasoir. L’autre aussi faisait la sucrée Et rentrait sa griffe acérée, Mais le diable n’y perdait rien… Et dans le boudoir où, sonore, Tintait son rire aérien, Brillaient quatre points de phosphore. Paul VERLAINE, Poèmes saturniens, dans OEuvres poétiques complètes. I. Paris, Gallimard, « La Pléiade », 1962, pp. 74-75.