Le Deuxième Sexe Simone De Beauvoir

rôle de la femme dans la société. Cette nouvelle forme de pensée a introduit de nouveaux concepts tels le sexisme, la phallocratie, l’androcratie, l’ethnocentrisme, le statocentrisme. • Le sexisme c’est l’attitude de discrimination à l’égard du sexe féminin. Il est vu comme la résultante de la phallocratie. • La phallocratie qu’on appelle aussi l’androcratie ou le système patriarcat est un nom féminin du milieu du 20ème siècle qui se réfère à la domination des hommes sur les femmes. C’est

ambiguïté laisse au lecteur plus de liberté pour s’imaginer la suite de l’histoire et pour se projeter dans le temps pour voir la société et son histoire. B. On peut aussi impliquer le lecteur dans l’histoire. Par exemple dans « Le deuxième sexe » de Simone de Beauvoir, l’auteur dit elle même au lecteur que la femme a toujours été « inégale » à l’homme et que cela est normal à la nature. Elle utilise des situations historiques qui permettent au lecteur de l’ouvrir à des visions historiques mais qui

huée des enfants prodiges, va dessiner sur le tableau noir du malheur, le visage du bonheur = signe que même dans un contexte éducatif contraignant, une forme d’émancipation (celle des sentiments) reste possible Le féminisme • Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe (1949) : « on ne naît pas femme, on le devient » L’abolition de l’esclavage et persistance du racisme Un des plus importants mouvements d’émancipation est celui qui a conduit à l’abolition de l’esclavage • Victor Schoelcher,

l'on rende à la femme les droits naturels que les préjugés lui ont retirés. Elle demande que la femme soit considérée comme une citoyenne à part entière et implore la reine de France, à l'époque, Marie-Antoinette de défendre ce qu'elle appelle « le sexe malheureux ». Olympe de Gouge va marquer les esprits notamment avec cette phrase restée célèbre « La Femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ». Ce souhait de posséder les mêmes droits politiques

Blum. 1936 : Création de l’Union des jeunes filles de France dirigée par Jeannette Vermeersh, Danièle Casanova, Claudine Chaumat et Marie Claude Vaillant Couturier. 1948 : 100 000 femmes défilent à Paris le 8 mars. 1949 : Simone de Beauvoir publie « Le deuxième sexe ». 1955 : Le 8 mars commémorerait une grève d'ouvrières à New York en 1857. La date du 8 mars devient une référence internationale qui ne se limite plus aux pays socialistes. (Même si plus tard, en 1982, des chercheuses dévoilent

l'homme que de sa nature ». Parler de condition féminine, c'est donc prendre position en défaveur des thèses naturalistes, essentialistes, postulant l'existence d'un éternel féminin. C'est cette position que soutient également Simone de Beauvoir, en affirmant dans Le Deuxième Sexe qu'on devient femme, et que cette identité relève largement d'un fait culturel (et non inné), sociologique (et non biologique), produit d'une longue évolution historique. On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin

candidats est instituée en 1999. Enfin, le droit à la contraception (1967), le droit à l’avortement (1975) et la loi sur le harcèlement sexuel (1985) mettent fin à la domination de l’homme sur le corps de la femme. Celle-ci n’est plus renvoyée à son sexe et devient une citoyenne à part entière ( Doc 1et 3 ). B – SOUS L’INFLUENCE DE PLUSIEURS FACTEURS Phrase introductive = Tocqueville a montré que le propre des sociétés démocratiques c’était “l’égalité des conditions”. L’égalité des droits obtenus

femme a beau avoir tiré plusieurs victoires de ses combats, comme le droit de vote et la réforme du Code civil au sujet de son « incapacité » (1938), elle reste opprimée et toujours considérée comme inférieure à l’homme. L’ouvrage de Simone de Beauvoir, le Deuxième sexe, ravive ce sentiment en France. En Angleterre et aux États-Unis, le même problème est soulevé notamment par Betty Friedan. 

C’est la raison pour laquelle se forment d’importants groupes féminins, tels que l’Organisation nationale des

 féministes  mais  ils  ne  trouvent  pas  de  terrains   d’entente.     •  Le  deuxième  sexe  de  Simone  de  Beauvoir  (1949)  :  œuvre  très  lue  par  les  féministes   de  l’époque  qui  fait  débat  :  «  on  ne  nait  pas  femme,  on  le  devient  ».  Ce  n’est  pas  la  biologie   qui  détermine  le  sexe  mais  la  culture.  De  plus,  elle  prône  la  polygamie,  l’infidélité

recolocadas pelas auto-estradas e pelos serviços de helicóptero. As avenidas chamam-se O ser e o nada (L 'être et neant) de Jean Paul Sartre de 1943, O tempo e o outro (Le temps et f'autre) de Emmanuel Lévinas de 1946 e O segundo sexo (Le deuxieme sexe) de Simone de Beauvoir de 1949. A ampliação destas avenidas começou com Jacques Lacan desde seu discurso de Roma em 1953, e com Frantz Fanon no lapso que vai desde Rostos negros, máscaras brancas (Peau noire, masques blancs) de 1952 e Os condenados da terra