Le Contexte De Tartuffe

Marivaux de faire un théâtre sans action, réduit à un flot de paroles, de ne parler que d'amour. Contrairement aux comédies classiques, chez Marivaux la trame principale est très rarement un mariage contrarié et empêché entre deux amants (ex.de Tartuffe) et ses comédies ne se dénouent pas en un mariage, mais davantage en une déclaration d'amour, scène principale des comédies de Marivaux, aveu que les amants retardent par orgueil le plus souvent. C'est à ce dire que mènent la plupart des comédies

à son couvent Elvire, et provoque sa malédiction lorsqu’elle se sait bernée. Irrespectueux envers son père, impie et fier de l’être, Don Juan sera finalement châtié pour tous ses blasphèmes par la statue du Commandeur qu’il tua jadis en duel.  Contexte : Nous avons un entretient entre Sganarelle le valet de DJ et Gusman l’écuyer d’Elvire. Elvire a été enlevée d’un couvent par DJ puis épousée et abandonnée. Sg ôte à Gusman tout espoir que DJ revienne. A cette occasion il dresse le portrait d’un

rapport au tableau et l’impatience de Serge de connaître l’avis de son ami ; d’être traduit sans aucun mot. Les décors et les jeux de lumières sont également essentiels pour obtenir un spectacle vivant. Les décors rendent possible l’installation d’un contexte et d’un univers dans lequel le spectateur va s’installer. Les jeux de lumières eux permettent de changer d’univers sans avoir modifier les décors. Par exemple, lors d’une représentation de la pièce Art de Yasmina Reza, au quelle j’ai assistée, le

par excellence, Molière défendra avec beaucoup d'ardeur la comédie, et en exploitera toutes les ressources : de la farce à la « grande comédie », c'est-à-dire des comédies en vers, offrant des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). Comédie Tragédie Personnages de bourgeois Personnages nobles Sujet = famille, vie sociale, argent, amour (sphère privée) Sujet = pouvoir, politique, amour (sphère publique) Forme assez libre ; vers ou prose Cinq actes ;

Candide, à l’image du reste de l’œuvre, reprend de nombreux éléments du conte traditionnel pour mieux les subvertir. En effet, si l’on trouve le langage du conte, avec ses formules, ses superlatifs et son vocabulaire mélioratif, les éléments tels qu’un contexte irréel et indéfini ou des personnages caricaturaux qui ne sont que des types, ce texte est surtout le lieu de la dénonciation des apparences trompeuses. La dénonciation se fait par le choix d’un ton ironique dont les noms, le point de vue et les

Dandin. Rapidement, L'Avare alterne à l'affiche avec d'autres pièces, comme Amphitryon ou Le Médecin malgré lui, puis un coup fatal lui est porté*, si l'on peut dire, par l'autorisation enfin accordée à la troupe, au terme de la fameuse « affaire du Tartuffe » de représenter cette pièce, le 5 février 1669. C'est donc un demi-échec que nous avons du mal à nous expliquer: peut-être l'emploi de la prose y est-il pour quelque chose ? On peut l'imaginer quand on sait l'attachement du public du XVIIe siècle

THEATRE SOMMAIRE Page.3 Molière, l'homme et ses œuvres. Page.4 Contexte du 17e s. Page.8 Généralité sur le théâtre de Molière. Page.8 Le théâtre. Page.13 Le discours théâtral. Page.13 La mise en scène. Page.13 Le vocabulaire de base. I.MOLIERE L'HOMME ET SES OEUVRES. Biographie : (1622/1673) Molière est né le 15 janvier 1622 à Paris avec le nom de Jean Baptiste. Fils de Jean Pocquelin et de Marie Cressé. Son père, tapissier a racheté en 1631 l'office de tapicier du

théâtre, « il devient la clef de voûte du système théâtral » (Michel Bouquet). Il écrira Tartuffe, mais cette pièce sera mal vu pas la cours du roi, ils se sentent méprisés et attaqués. Afin de pouvoir représenter cette pièce à Paris, il va prendre du recule, et agir en moraliste. Molière pensait que le but de la comédie était de faire rire en se moquant des défauts des hommes, mais c’est à ce moment, avec Tartuffe, qu’il comprendra que le but est de faire rire pour corriger les vices des hommes.

lyre. Comme s’il existait entre eux, quelque infime complicité, un même rapport à l’écriture ou à la perte due à la disparition de l’être aimé. On peut alors parler d’intertextualité puisque notre poète se fait savant mélangeur des époques, des contextes, de la réalité et de la fiction. La réécriture est donc inséparable de la source d’inspiration. Mais le degré d’inspiration varie suivant la volonté de l’écrivain de se détacher complètement de l’œuvre première ou bien d’y rester relativement fidèle

en fonction d’un contexte historique, social ou politique qui change. Le metteur en scène peut dès lors choisir de revisiter le texte et, tout en l’inscrivant dans une actualité contemporaine, éclairer les enjeux profonds qui ont déterminé sa création. De fait, la plupart des pièces antiques ou classiques font l’objet d’adaptations qui en modernisent le propos, en réinterprètent un aspect fondamental annoncé par son auteur. C’est le cas d’Ariane Mnouchkine qui fait de Tartuffe un intégriste islamiste