Le Cœur et l'Épée

foudre pour cet homme vaillant et courageux. D’ailleurs, elle nous parle de son cœur qui se : <<se trouble au nom de son vainqueur>> (V. 84) et aussi, elle parle de son cœur <<embrasé>> (V.120). L’image qu’elle nous montre indique clairement qu’elle est séduite par le physique de Rodrigue. C’est une force incontrôlable et irrésistible. Chimène, de son côté, qui veut à tout prix la tête du tueur der son père, voit : <<Mon cœur, honteusement surpris par d’autre charmes>> (V.833). Elle ressent une attirance

son mari et à s’avouer qu’elle s’ennuyait » « elle aimait surtout M. de Rênal quand il lui parlait de ses projets sur leurs enfants : l’un à l’épée, l’autre à la magistrature, et le dernier à l’Eglise. « Extrême timidité », « la délicatesse de femme était poussée à un point excessif ». Elle es très maternelle envers ses enfants, elle les aime de tout son cœur. Mme de Rênal est très timide face à des hommes « avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards

subi mes premières moqueries liées à mes yeux rouges. C’est dans ce vieil immeuble que nous jouions à cache-cache ou encore au loup. Une larme roula sur ma joue. Je voulus repartir mais je vis une étrange lueur verte, je m’approchai de celle-ci, mon cœur battait de plus en plus fort. Plus j’avançais plus ma vision se rétrécissait et je ne vis bientôt plus que cette lumière verte. J’approchai ma main doucement en direction de cette lumière et une soudaine fatigue me frappa. Un grand mal de tête

la première personne : « je », « me », « ma »… Le lyrisme semble également présent à travers la répétition du terme « cœur » dans le monologue de Lorenzo. Terme très important dans la tradition romantique car il est considéré comme le siège des émotions, des sentiments et donc du lyrisme. D’ailleurs, Lorenzo s’interroge sur son humanité : « Sont-ce bien les battements d’un cœur humain que sens là ? », est-il ou non un monstre capable d’assassiner quelqu’un ? L’invocation à Dieu, « O Dieu ? » apparaît

restaurant et j’inviterai le critique à l’ouverture de cette toute nouvelle responsabilité pour moi. Juste à la fin de la soirée d’ouverture, le critique m’invitera enfin à sortir avec lui. Après une année de ce pur bonheur, Éloi, le gastronome de mon cœur, me demandera en mariage. Nous organiserons une soirée magnifique et l’année suivante, une nouvelle personne viendra agrandir la famille, un petit bout dont la marraine ne sera autre que Julie. Ensuite, j’en viens à la vie normale qui attend la plupart

Et que le ciel m’est favorable de t’envoyer à mon secours. Léandre – Ah, ah ! Vous voilà , je suis ravi de vous trouver Monsieur le coquin. Scapin – Monsieur votre serviteur. C’est trop d’honneur que vous me faites. Léandre – en mettant l’épée à la main – Vous faites le méchant plaisant ? Ah !Je vous apprendrais …. Scapin, se mettant à genoux – Monsieur ! Octave- se mettant entre eux pour empêcher Leandre de le frapper- Ah ! Léandre ! Léandre – Non, Octave, ne me retenez point

calèche qui les ramène à leur maison et la barque sur laquelle elle s’embarque sur les rives de la Bièvre, apparentent cette histoire à un conte de fée dans lequel la nature joue aussi un rôle puisqu’à plusieurs reprises, on voit la forme magique d’un cœur dans la percée de la forêt voisine de la propriété de MSC. Qu’elles soient fantastiques ou non, elles peuvent aussi se rattacher à l’esthétique du songe propre à la littérature du XVII° siècle. Ces scènes sont racontées avec simplicité. Elles deviennent

cause de son physique. Il est impuissant vis a vis des sentiments qu’il éprouve, vit dans l’ombre de Christian, ne pense qu’a vivre avec panache. Qualités : Il est bourré de talent tant dans son langage que dans ses lettres et son combat à l’épée. Il possède beaucoup d’humour et d’humanité, généreux et surtout pas égoïste. Cyrano et l’humanité : L’humanité de Cyrano se manifeste pas le biais de Christian qu’il a aidé à séduire Roxane dont ils sont tous deux fous amoureux. Cyrano va

« Vous avez parlé comme un étourdi, car vous devez savoir qu’il n’est pas lèpre plus laide que d’être en état de péché mortel, parce que l’âme qui est en état de péché mortel est semblable au diable. (…) Aussi je vous prie que vous disposiez votre cœur, pour que, pour l’amour de Dieu et de moi, à préférer qu’arrive à votre corps n’importe quel malheur, lèpre ou autre maladie, plutôt que le péché mortel n’advienne à votre âme »2. Par là il appliquait l’enseignement reçu de sa mère qui lui disait

a, comme l'appellent les Florentins ? Mais c'est mon parent et mon favori, l'ignorez-vous ? VALORI C'est le rejeton d'une branche ennemie de la vôtre, et dont le poignard, toujours prêt à ouvrir un chemin à la sédition, a trop souvent rencontré le cœur d'un parent et d'un maître. LE DUC Allons! vous raillez, quand vous parlez de poignard à Lorenzino. C'est un éventail qui convient à sa blanche main 2 ! VALORI Que Votre Altesse me pardonne si j'insiste. La Cour de Rome s'étonne que la seule grâce