Le Cœur et l'Épée

nous font les hommes. » (« Melancholia », Les Contemplations.) Dans Les Châtiments, pour dénoncer la tyrannie de Napoléon III, il fait parler l’Aigle, les Chiens, un Voleur, un Forçat (« Je suis forçat, voici la chaîne que je porte »), mais aussi l’Épée, la Mer, la Borne du chemin, la Patrie, ou encore une « Voix dans l’air » ou la Conscience (« Tout s’en va » et « Le Bord de la mer »). Ailleurs, il donne la parole à « la vilaine bête et la mauvaise herbe » qui « murmurent : Amour ! » (Les Luttes

personnages ce qui accentue les expressions des souffrance ( femme criant la douleur, cheval terrorisé, soldat mort.. ). On voit aussi la violence des combats comme l'épée qui est coupé et la mains crucifié ainsi que la lance. Mise en perspective. Tres de mayo Franscico de Goya Prémonition de la guerre civil Salvator Dali Espagne au cœur Pablo Neruda

etc,. Néanmoins le plan qu'a souhaité suivre l'auteur à ne suffit guère à satisfaire ses ambitions, aussi a-t-il élaboré une méthode précise afin de réussir son entreprise. Il s'agit pour Pascal d'argumenter en touchant à la fois la raison et le coeur de son lecteur. N'oublions pas que Pascal était l'un des auteurs majeurs du classicisme dont la devise était "Plaire et instruire". Nous verrons comment le philosophe s'est employé à respecter cette devise afin de mêler l'utile à l'agréable. Dans un

néoclassicisme (1760-1800) ou plutôt en opposition à ce courant. En effet, là ou le néoclassicisme prône une beauté idéale, le rationalisme, la vertu, la ligne, le culte de l’Antiquité classique et de la Méditerranée ; le romantisme s’oppose et promeut le cœur et la passion, l’irrationnel et l’imaginaire, le désordre et l’exaltation, la couleur et la touche, le culte du Moyen Âge et des mythologies de l’Europe du Nord. Mais le romantisme ne peut pas être défini qu’en termes d’opposition, puisqu’il développe

mère. Oui, le zèle pour ta maison m’a dévoré ; ils t’insultent, et leurs insultes retombent sur moi. (…) Tu me sais insulté, déshonoré, couvert de honte ; tous mes adversaires sont devant toi. L’insulte m’a brisé le cœur et je suis malade ; (…) Ils ont mis du poison dans ma nourriture ; Quand j’ai soif, ils me font boire du vinaigre. (…) Réflexion sur cette mythologie Rapport de la foi tout en restant intelligent ? La méthode chrétienne de

est vrai. ARLEQUIN. Eh ! encore vit-on. IPHICRATE. Mais je suis en danger de perdre la liberté, et peut-être la vie ; ARLEQUIN, cela ne te suffit-il pas pour me plaindre ?. ARLEQUIN, prenant sa bouteille pour boire. Ah ! je vous plains de tout mon coeur, cela est juste. IPHICRATE. Suis-moi donc. ARLEQUIN siffle. Hu, hu, hu.. IPHICRATE. Comment donc, que veux-tu dire ? ARLEQUIN, distrait, chante. Tala ta lara. IPHICRATE. Parle donc, as-tu perdu l'esprit, à quoi penses-tu ? ARLEQUIN, riant. Ah ! ah

élément frappant qui est la vue du corps d'Hippolyte ensanglanté ainsi que celle de la mort de Phèdre Pour aborder le sein même de ces éléments spécifiques, on peut dire tout d'abord que la disposition en couloir de la scène plonge le spectateur au cœur de l'action, il est pris dans l'histoire comme s'il suivait une conversation anonyme de la vie courante. Le réalisme est donc très renforcé par la mise en scène. Le palais présent pourrait représenter un site archéologique ou bien simplement un rappel

étape essentielle de la marche vers la guerre. Le camp nationaliste se rallie immédiatement avec les garnisons d'Andalousie, de Galice, des Asturies, de la Navarre, et de la vieille Castille. Par contre Madrid et Barcelone constituent tout de suite le cœur de la résistance républicaine. Le pays Basque forme le front nord d'opposition aux franquistes. Au printemps 1937 le général Emilio Mola, principal chef militaire franquiste, décide de réduire le front nord. l'aviation allemande de la légion Condor

l’église : - Quel est donc ce brigand qui, là-bas, nez au vent, Se carre, l’œil au guet et la hanche en avant, Plus délabré que Job et plus fier que Bragance, Drapant sa gueuserie avec son arrogance, Et qui, froissant du poing sous sa manche en haillons L’épée à lourd pommeau qui lui bat les talons, Promène, d’une mine altière et magistrale, Sa cape en dents de scie et ses bas en spirale ? ------------------------------------------------- DON CESAR, jetant un coup d’œil sur sa toilette

l'église - Quel est donc ce brigand qui, là-bas, nez au vent, Se carre, l'oeil au guet et la hanche en avant, Plus délabré que Job et plus fier que Bragance Drapant sa gueuserie avec son arrogance, Et qui, froissant du poing sous sa manche en haillons L'épée à lourd pommeau qui lui bat les talons, Promène, d'une mine altière et magistrale, Sa cape en dents de scie et ses bas en spirale ? DON CÉSAR, jetant un coup d'oeil sur sa toilette. Vous avez répondu : C'est ce cher Zafari ! DON SALLUSTE Non ; j'ai