Le Choix Détermine La Liberté

Edgar Morin « puisqu’elle dépend de conditions culturelles et sociales. Pour être nous-mêmes il nous faut apprendre un langage, une culture, un savoir, et il faut que cette culture elle-même soit assez variée pour que nous puissions nous même faire le choix dans le stock des idées existantes et réfléchir de façon autonome. Donc cette autonomie se nourrit de dépendance ; nous dépendons de l’éducation, d’un langage, d’une culture, d’une société, nous dépendons bien entendu d’un cerveau, lui-même produit

Sujet : L’idée d’inconscient exclut-elle l’idée de liberté ? Il nous arrive souvent de commettre des lapsus. Nous nous souvenons parfois de rêves dont le sens nous échappe complètement. Une pensée nous traverse l’esprit que nous n’avons jamais sollicité. Tous ces actes se hissent au niveau de la conscience mais la conscience ne parvient pas à les expliquer. Si on postule que ces actes ont un sens caché, qu’ils plongent leur origine dans l’inconscient, on remet en cause la toute puissance de

homme qui s'est évanoui. Celui qui est libre, agit selon ses choix, décide de sa vie sans être contraint. La liberté suppose d'agir selon des motifs, sans être manipulé à son insu. Être libre, c'est agir en conscience. Or, nous constatons que la liberté semble peu compatible avec l'inconscient qui nous influence, qui nous manipule sans que nous le sachions, sans que nous sachions ce qui nous fait agir. Si l'inconscient exclut la liberté, cela signifierait que les deux idées sont contradictoires

n’a pas qu’un seul sens • Cette ambivalence vient d’une source biologique et culturelle. Pour avoir la pleine mesure du comportement humain il faut l'expliquer* et le comprendre* • Selon Lévi-Strauss, l’homme est le seul à donner la forme de son choix à ce que la nature lui impose et à le refuser (ex : apparence du corps, maquillage, apparence, tatouage, morphologie, chirurgie...) • La nature rassemble l’homme alors que la culture les sépare (ethnocentrisme*) • Invariant culturel : la famille

Cour de cassation vient ici ôter les espoirs. C’est bien une totale liberté dont dispose le tiers estimateur dans son office d’évaluation des droits sociaux, que ne sauraient brider ni les statuts ni le président du tribunal désignant l’expert ». R. MORTIER Le 5 mai 2009 la Chambre commerciale de la Cour de cassation a rendu un arrêt de cassation portant sur le maintien du recours en cas d‘excès de pouvoir et sur le choix de la méthode d‘évaluation que l‘expert désigné doit mettre en œuvre

La liberté Si nous voulons proposer de la liberté une définition suffisamment large pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté, nous ne pouvons adopter que cette définition : la liberté est l’absence de contraintes. On parlera dès lors de libertés au pluriel car il y a sans doute autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Tout ceci nous amène à différents problèmes : de quelle servitude l’homme souffre-t-il ? Toute autorité est-elle nécessairement aliénante ?

philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous * * * MODERNITÉ * Moyen Âge et christianisme (476-1453) * * La religion va prendre du pouvoir *

les actions des êtres humains sont déterminés par leurs évènements passés sans que leur volonté puisse y changer quoi que ce soit .Les êtres humains , dans ce système , n’ont donc pas de libre-arbitre , de volonté ,de liberté et si ils croient en posséder une , cela n’est qu’une illusion car en réalité ils n’en possède pas plus .Notamment , ce qui atteste cette définition du déterminisme sont : la causalité qui dit que chaque action humaine est forcément déterminé par les états antérieurs ,c’est

l’inconscient exclu la liberté. Dans ce sujet on se demande donc si la responsabilité répond avec l’absence de conscience et donc puis-je être tenu responsable d’un acte que ma conscience a refoulé ? Pour répondre à celui-ci nous allons montrer dans une première partie que nous ne sommes pas responsable de ce que nous ne maîtrisons pas puis dans une deuxième partie ce dont nous sommes responsables et enfin dans une dernière partie nous allons nous demander que si la liberté appartient à l’homme conscient

en deux autres sous parties, avec l'intermédiaire d'un exemple qui est autre que l'apprentissage. Ici ("dans l'apprentissage" à "implique un choix"), la conscience est non seulement présente "parce qu'ils vient de nous", en effet nous avons conscience de se que nous faisons, mais la conscience est aussi active qui "résulte d'une décision et implique un choix", effectivement face à l'apprentissage, nous devons choisir et prendre des décisions. Bergson compare alors la conscience à une conscience de