Le Chant De L Honneur

sont chantés typiquement le dimanche à matines, selon le ton occurrent. Le troisième tropaire de chaque antienne, reproduit dans ce numéro du Bulletin, est une louange à l’Esprit-Saint et à la Trinité. Ton 1 Honneur et gloire au Saint-Esprit * comme au Père et au Fils ; *  aussi chantons l’unique majesté * de la Sainte Trinité. En l’Esprit-Saint se renouvelle l’entière création, * retournant à sa première condition, * car il a même force que le Père et le Fils. Au Saint-Esprit honneur, adoration

Toi qui donnas sa voix à l'oiseau de l'aurore, Pour chanter dans le ciel l'hymne naissant du jour; Toi qui donnas son âme et son gosier sonore A l'oiseau que le soir entend gémir d'amour; Toi qui dis aux forêts : Répondez au zéphire ! Aux ruisseaux : Murmurez d'harmonieux accords; Aux torrents : Mugissez; à la brise : Soupire ! À l'océan : Gémis en mourant sur tes bords ! Et moi, Seigneur, aussi, pour chanter tes merveilles, Tu m'as donné dans l'âme une seconde voix Plus pure

Texte XXVII Texte Texte Texte A : Victor Hugo, « J'aime I'araignee », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les reves », (1856). B : Lautreamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant 11,9 (1869). C : Tristan Corbiere, « Le Crapaud », Les Amours jaunes (1873). 0 : Germain Nouveau, « Le Peigne », Valentines (1887). Texte A - Victor Hugo (1802-1885), « J'aime I'araignee », Les Contemplations, XXVII (1856). J'aime I'araignee et j'aime I'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce

les armes de Achille et va à la guerre en se faisant passer pour ce dernier. Patrocle est tué par Hector qui prend les armes de Achille et croit avoir vaincu ce dernier. Achille, furieux de la mort de Patrocle veut le venger et aussi rétablir son honneur car il a été symboliquement vaincu par Hector. Un long combat entre Hector et Achille s'en suit où Achille est victorieux et tue Hector. Par la suite Achille traîne le corps de Hector autour des muraille troyenne. Achille a déshonoré les Troyens et

TITRE DE L’ŒUVRE Le chant des Partisans NOM DES ARTISTES AUTEURS Joseph Kessel (1898 – 1979) et de Maurice Druon (1918 – 2009) COMPOSITEUR Anna Marly (1917 – 2006) DATE 1943 Nature de l’œuvre : Chanson populaire Genre de l’œuvre : Histoire de guerre Description de l’œuvre Le chant des partisans est une œuvre musicale écrite par Joseph Kessel et Maurice Druon. La musique est composée par Anna Marly L’œuvre est constituée de 4 couplets de 4 vers chacun. Elle se termine par

Vous Tirailleurs Sénégalais, mes frères noirs à la main chaude sous la glace et la mort Qui pourra vous chanter si ce n’est votre frère d’armes, votre frère de sang ? Je ne laisserai pas la parole aux ministres, et pas aux généraux Je ne laisserai pas – non ! - les louanges de mépris vous enter- rer furtivement. Vous n’êtes pas des pauvres aux poches vides sans honneur Mais je déchirerai les rires banania sur tous les murs de France. Car les poètes chantaient les fleurs artificielles

animateurs du dadaïsme parisien et du surréalisme. Le dadaïsme ou encore le dada est un mouvement intellectuel, littéraire et artistique tout comme le surréalisme. A partir de la fin des années 1950, beaucoup de ses poèmes ont été mis en musique et chanté par Léo Ferré par exemple. Cette musique est engagée sur le fait qu'elle a voulut rendre hommage aux 23 résistants étrangers morts faisant partit du groupe Manouchian. Nous allons vous faire écouter un extrait de cette hommage. MUSIQUE :p 1,18

HDA: Le veilleur du pont au change Au cours de la 2nd Guerre Mondiale, la résistance s'est manifestée non seulement à travers les nombreuses actions des résistants mais aussi à travers de nombreux textes, poèmes, livres, chants, photographies, peintures, discours et lettres. Dans une première partie, nous listerons plusieurs œuvres au travers desquelles la résistance s'est manifestée, puis, dans une seconde partie, nous étudierons un des emblèmes de la résistance française. 1. La résistance

Le chant des partisans  Historique Le Chant des partisans ou Chant de la libération est l’hymne de la Résistance française durant l’occupation par l’Allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre mondiale. Créées en 1943, les paroles sont de Joseph Kessel et de Maurice Druon, et la musique est composée par Anna Marly. Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne? Ohé partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme! Ce soir l'ennemi

lances de bronze auprès du cadavre d’Achille ! ») puisque mourir en mer est la pire mort pour les grecs, le corps est engloutit par les flots ce qui signifie ni rite funéraire ni gloire ni honneur, la mémoire de tout homme mort en mer tombe dans l’oubli. (« J’eusse obtenu les honneurs militaires, on eût chanté ma gloire… » « le destin me livre à une atroce mort ») Ulysse exprime ses craintes et ses maux par le biais de deux monologues intérieurs. (« dit à son âme courageuse », « il songeait ainsi