Le Bipartisme Americain

autonomie. L'ordre juridique fédéral résulte d'une association entre les organes fédéraux et les collectivités composantes. Les états fédérés doivent être représentés au niveau fédéral par une chambre des états fédérés. Exemple : aux E-U, le sénat américain. Cela permet aux états fédérés de se faire entendre et de défendre leurs prérogatives. G. Scelle parlait du Droit à la collaboration. Ce principe de participation est quasi-inexistant dans les états régionaux. La participation s'exerce dans 4 domaines

veut pas dire qu’Obama a un poids prépondérant. Pour ce type de présidentiel on parle de  « check and balance » ; les pouvoirs se compensent. Le problème du régime présidentiel est le blocage. Très souvent, dans l’ensemble des pays du continent américain, qui ont essayé de l’importer, il existe une grande instabilité politique. Cela fonctionne aux États-Unis car il y a un contexte politique et une culture du consensus très favorable, le modèle est donc très peut exporter ou ne fonctionne pas aussi

-pour la répartition des compétences: 3 listes des compétences exclusives de matières, état fédéral et état fédéré et concurrentiel. c'est un état qui présente une certaine autonomie mais pouvoir de contrôle fort. la cour suprême indienne (modèle américain) garantie les équilibres entre l'union et les E membres. - les différents niveaux de la décentralisation *districts: grandes régions *niveau intermédiaire: taille + ou - grand * village panchayats ou municipalities: expériences qui relèvent

protestataires (Lutte ouvrière, par exemple) Un parti politique veut (en principe) exercer le pouvoir tandis qu’un groupe de pression ou d’intérêt se contente de vouloir influencer le pouvoir. Deux système de partis peuvent être repérés : le bipartisme est un système de partis dans lequel seuls deux « grands » partis sont susceptibles d’accéder au pouvoir (EU : démocrates/Républicains ; Royaume-Uni : travaillistes/conservateurs). Cette bipolarisation est favorisée par le mode de scrutin de type

durant la période de la guerre froide (jusqu’au moment où l’Union soviétique s’effondre). > Attention au plan : I. Les recompositions de la puissance II. Le modèle américain (années 50-60) III. Le modèle soviétique (années 50-70) jusqu’aux rencontres Brejnev-Nixon env. IV. De la guerre froide à la suprématie américaine inclus les problèmes internes en URSS jusqu’à son effondrement en 1991. autrement dit, on modifie un peu l’architecture du chapitre : on ne s’arrête pas aux annés 70 pour

participent au niveau constitutionnel (révision de la constitution). Les amendements à la constitution fédérale n’entre en vigueur que s’ils sont ratifiés par les 3 quarts des états fédérés. Un niveau législatif, le processus d’adoption des lois, le sénat américain ratifie les traités internationaux le Bundesrat allemand qui dispose d’un veto législatif absolue lorsque les rapports fédérations-lender son concerne. La révision de la loi fondamentale intervient en outre avec une majorité des 2 tiers. -Un niveau

lois, garantie de la suprématie de la constitution. assurer la cohérence et la validité du système normatif, protéger les droits et libertés fondamentaux contre les atteintes du législateur. Chap 1 : distinction modèle américain et européen Histoire : le modèle américain né au début du XIXe. La Constitution de 1787 prévoit seulement l'existence d'un pouvoir judiciaire (cour suprême). C'est elle qui va, dans l'arrêt de 1803 Marbury versus Madison, se déclarer compétente pour contrôler la constitutionnalité

16ième siècle les juristes en France avaient mis en avant la notion  fondamentale de Royaume qui s’imposait au Monarque notamment en lui interdisant l’aliénation de son domaine. Un pas décisif dans la juridiction est franchie avec les révolutions américaines et françaises qui inaugurent la traduction des Constitutions écrites et qui surtout consacrent la notion de droit de l’Homme opposable à l'État. Donc le droit intervient de plus en plus. Ces processus qui conduisent à l’émergence de l'État possèdent

l’Etat. La thèse d’une science du pouvoir est celle de Raymond Aron et de Maurice Duverger. Pour eux, la science politique est la science du pouvoir et des leaders. Ces deux penseurs sont gagnés par les définitions anglo-saxonnes, et notamment américaines. “Est politique l’étude des relations entre les individus et les groupes, et l’étude de la hiérarchie des puissances à l’intérieur de toutes les communautés, nombreuses et puissantes” (Aron). “C’est la science de l’autorité, des gouvernants, du

de parti politique que pratique l’Etat. Le système est partisan, tout dépend du nombre & des caractéristiques des ou du parti(s) politique à la tête de l’Etat. On ne peut pas comprendre le régime présidentiel américain ou le régime parlementaire britannique sans prendre en compte le bipartisme de ces pays. Il s’agit de systèmes différents de la France, qui connait un système multipartisme. La vie politique a une influence sur les textes. Absence partielle du contrôle du respect de ce droit par un