Le Beau Voyage

Problématique : Quelles sont les fonctions de cet incipit ? Introduction : Le supplément au voyage de Bougainville est un dialogue entre A et B sur l’inconvénient d’attacher des idées morales à certaines actions physiques qui n’en comportent pas. C’est un compte philosophique de Denis Diderot, philosophe des lumières. L’introduction originale de ce livre va présenter les interlocuteurs et le sujet du livre. I. La conversation : 1) Un début in medias res Le dialogue a commencé avant

DM. STT. Argumenter : l’apologue. Documents A - Voltaire, Histoire des voyages de Scarmentado écrite par lui-même, 1756 B - Voltaire, Lettre à Monsieur le comte d'Argental, 27 mars 1762 Questions 1) Explicitez la leçon de l'extrait de Histoire des voyages de Scarmentado écrite par lui-même. Quels passages vous permettent plus particulièrement de la trouver? (3 POINTS) 2) Quels liens peut-on établir entre ce conte et la lettre de Voltaire au comte d'Argental (document B)? Appréciez la

« l’or » représente le voyage ou encore l’immortalité et plus généralement la poésie. On peut définir ce terme par un métal précieux d’une grande valeur, par extension cela désigne tout ce qui a de la valeur pour Baudelaire, soit le luxe, l’immortalité/l’exotisme, . . . mais surtout la poésie.(Problématique:) Pour cela nous essayerons de voir comment Baudelaire se fait alchimiste. Pour répondre à cette problématique nous allons dans un premier temps l’alchimie entre la beau et le laid, puis dans un

création littéraire ----------------------- Dans la littérature , les artistes du 19e siècle considère ( croix ) que la poésie serait la pièrre philosophale qui transforme le laideur et le mal de la réalité par un langage particuler en quelque chose de beau , de sublime. Ce qu’on appelle ici l’alchimie poètique . Et donc on peut dire que l’alchimie poétique est une métaphore de la création poétique. ________________________________________· On trouve ce thème implicite ou explicite dans certain poèmes

d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant

Florilège de poèmes Les Voyages Mon Choix J’ai choisi le thème des voyages car tout d’abord c’est une passion pour moi. Le voyage permet de rencontrer d’autres populations, coutumes, paysages et animaux. C’est également important pour apprendre de nouvelles langues. Je vous propose de découvrir ce thème grâce au choix de mes différents poèmes qui vont du XV au XXème siècles. Entre le Moyen âge et XVIIIème siècle Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse

de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l’histoire littéraire de son siècle. Au cours des débat sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destiné au Beau et non à la Vérité. Le Spleen de Paris, ce recueil de poème en prose, impose un genre encore nouveau dans les années 1860, un genre qui, après ce premier succès, deviendra incontournable au cours des décennies suivantes. Fondés sur la liberté et la

l’osmose entre l’homme et la nature. Il se caractérise en poésie par l’utilisation du registre lyrique dans lequel l’écrivain exprime ses sentiments personnels. Les thèmes les plus fréquents sont : l’amour, la fuite du temps, le dépaysement par le voyage dans le temps et dans l’espace. Le Romantisme peut devenir une arme contre les injustices. Baudelaire conserve dans son recueil l’expression lyrique des sentiments, le poète solitaire incompris et un certain goût pour le « paysage d’état d’âme » même

Joachim DU BELLAY   (1522-1560) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux

Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime