Langueux

mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur. Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur

Enquête sur la Pâte à tartiner Le magasin Netto est un Hard-discount qui dépend du groupe Intermarché. Il est situé dans la zone commerciale de Langueux et possède une surface d’un peu plus de 500 m2. Le Rayon La pâte à tartiner est positionnée dans la partie alimentaire sur une seule longueur de gondole (1.33m) tandis que le rayon dans lequel elle est implantée en contient 9. L’intitulé au bout de l’allée est : « confitures / compotes/fruits au sirop ». Il n’y a aucune

vierges,Du vice maternel traînant l'héréditéEt toutes les hideurs de la fécondité !Nous avons, il est vrai, nations corrompues,Aux peuples anciens des beautés inconnues :Des visages rongés par les chancres du coeur,Et comme qui dirait des beautés de langueur ;Mais ces inventions de nos muses tardivesN'empêcheront jamais les races maladiveDe rendre à la jeunesse un hommage profond,A la sainte jeunesse, à l'air simple, au doux front,A l'oeil limpide et clair ainsi qu'une eau courante,Et qui va répandant

la saison avant la fin de l’année). Le poète fait aussi appel à une structure de texte bien particulière et à des figures de style appropriées. Par exemple, dans le poème Soleils couchants, Verlaine pour faire apparaître une impression de langueur va utiliser le terme de «mélancolie » qui à elle seule va apporter une allitération en « l ». Le poème contient deux phrases seulement, construites sur un parallélisme de construction. Ou encore dans Le Rossignol, malgré le titre, le thème essentiel

C'était hier l'été; voici l'automne ! Ce bruit mystérieux sonne comme un départ. Charles Baudelaire (1821-1867), Les Fleurs du mal - 1857 Texte C : Chanson d’automne Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon cœur D’un langueur Monotone. Tout suffocant Et blême quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.   Paul Verlaine (1844-1896), Poèmes saturniens

libertinage nous fait quelquefois naître l’envie de devenir dévots ; mais sommes-nous établis dans un état plus religieux et plus saint, nous passons la vie à vouloir comprendre ce qui ne sauroit être compris ; et il vient des temps de sécheresse et de langueur, où l’on fait de fâcheuses réflexions sur le tourment qu’on se donne pour un bien opposé aux sens, peu connu à la raison, conçu faiblement par une foi incertaine et mal assurée. C’est de là que viennent les plus grands désordres des monastères. Quand

pourrait penser que cette saison symbolisant la fin de l’année pourrait aussi représenter la fin de la vie ou à la fin d’une histoire d’amour. « Je suis venu te dire que je m’en vais.. » N’était-elle pas une chanson inspirée de ce poème ? « Une langueur monotone », voilà le résumé d’un poème maintes et mainte fois reconnus, admiré et mis en avant. Chose remarquable par sa rareté, ce poème est l’un des rares poèmes classiques qui reste connu et apprécié par le grand public. Il suffit de s’y attarder

vécue. Par exemple, Saint-Preux est sujet à des états psychologiques différents. Il est soumis à un état de langueur suivi d’un état de calme puis il se retrouve anéanti par une paix intérieure… Cela est ressenti même par le lecteur, qui vit la même expérience que l’auteur. C’est ce qui est communément nommé chez certains philosophes l’ataraxie ou la tranquillité d’âme. Nous passons de la langueur au calme puis à la paix intérieure. Ce texte fait écho au texte de Proust où « accablé » fait un clin d’œil

l’amour sont la parole ordinaire du poète. La deuxième strophe donc, poursuit l’évocation des plaisirs amoureux : « la paresse de l’amour » v.5 et « vous allongez le temps d’aimer » et nous parle de repos amoureux, de langueur, faisant suite au désir exprimé précédemment. Cette langueur amoureuse est suggérée par une métaphore « musicale » : « le cristal d’un jour de pluie sonne toujours». Comment interpréter cette image ? L’auteur veut-il nous faire entendre, comme les amants, les gouttes de pluie

ceux qui se reposent toujours. Car lorsqu'on se réjouit dans l'alarme, ce n'est pas de l'activité mais le va-et-vient d'une intelligence traquée, et ce n'est pas du repos quand on juge que tout mouvement est un poids, mais du relâchement et de la langueur. C'est pourquoi ce que j'ai lu chez Pomponius sera consigné dans notre âme : " Certains se sont si bien réfugiés dans leurs cachettes qu'ils croient qu'est dans le désordre ce qui n'est qu'à la lumière. " On doit entremêler ces deux états : quand