Lampsaque

rationnels (dialectique). e 3 Les sophistes ´taient en quelque sorte les publicitaires de l’´poque. e e Rome Thrace Macédoine Abdère Stagire Tarente Pont-Euxin Byzance Thèbes M er É gée Planche 3 : Le monde grec. Propontide Lampsaque Th es sa lie 3.1. G´n´ralit´s sur la science grecque e e e Paestum Élée Sybaris Grande Grèce Epire LEMNOS Troie Mysie Pergame LESBOS Phocée CHIOS Magnésie Smyrne Lydie Crotone Mer Ionienne Delphes Eu bé e SICILE

vocamen datum. » 3. Celui qui la mit en circulation a pu emprunter certains traits à des auteurs plus anciens. Meltzer (l, p.188 et 491) fait observer que Polyænus (VI, 24), probablement d’après Charon de Lampsaque (= Fragm. Hist. graec., I, p.34, n° 10), parle d’une contestation de frontière entre Lampsaque et Parium, différend qui fut terminé par une course : on fixa la limite au lieu de rencontre des champions. Comme le remarque Gutschmid (Kleine Schriften, II, p. 82-83), il n’est pas question dans ce

qui lui vouent un culte quasi divin, qu’ils continueront d’entretenir après sa mort, à 72 ans, en -270. Des disciples fidèles au maître On compte d’innombrables disciples d’Épicure et ce, bien après sa mort, même hors des frontières de Grèce (Lampsaque, Mytilène, Égypte, etc.) : Lucrèce, bien sûr, mais aussi Colotès, Métrodore, Philodème, Polystrate, Hermarque, et tant d’autres… Si les disciples écriront eux aussi, ils ne développeront aucune originalité par rapport à la philosophie d’Épicure,

qu’il passa dans la demeure des bienheureux. D D D Le saint martyr ATHANASE, mort frappé de verges. Les saints martyrs PACHÔME et PAPYRIN, morts noyés dans un fleuve. Mémoire de notre vénérable Père MAXIME le KAVSOKALYVE. Natif de la ville de Lampsaque (vers 1270), saint Maxime grandit dans la piété. Il nourrissait une dévotion fervente pour la sainte Mère de Dieu et visitait fréquemment les moines de la région. Vers l’âge de dix-sept ans, il revêtit l’Habit monastique et devint le disciple d’un

Sade ont été publiés dans divers ouvrages, calalof;ues d'autographes, journaux, revues, etc., et souvent de fa^on inexacte. On a attribué pas l'auteur et, au marquis de Sade des ouvrages dont parmi ceux-ci il n'est : L'Elourdi roman» à Lampsaque, 1784, 2 vol. in-12, avec Ce roman, qui a été réimprimé, n'est certai- postface de 3 pp. nement pas du marquis de Sade. Foulue, tragédie lubrique et royaliste en trois A Barbe-en-Con en Foutro-Manie. Uan des Fouteurs 5796 (1796), in-12 de 91 ff

dispersé, pendant que le chef Galate Déjotarus bat un lieutenant de Mithridate en Phrygie. Le roi de Pont, évitant une défaite qu’il voit certaine, abandonne l’armée devant Cyzique, — que Lucullus détruit en partie, — et avec le reste, se sauvant à Lampsaque, s’embarque, passe l’Euxin, se retranche à Amisus, appelant à son secours Tigrane et son fils Macharès. Lucullus laisse à Cotta le soin de soumettre la Bithynie, pénètre dans le Pont, ravage le pays, met le siège devant Amisus (72). L’indiscipline

là une situation dont l'invraisemblance saute aux yeux et à laquelle l'étude des textes contemporains ne permet pas de s'arrêter : une foule de témoignages nous obligent à admettre que les premiers successeurs de Théophraste, notamment Straton de Lampsaque, ont conservé une activité philosophique qui ne s'explique que par une connaissance de première main des travaux d'Ar. Ces mêmes témoignages nous garantissent, en outre, que les adversaires du Péripatétisme, Mégariques, Épicuriens et Stoïciens, ont

palmiers qui fournissaient un ombrage éternel et des fruits dans toutes les saisons. Le temple où elle allait en pèlerinage était dans Bassora même. Le saint à qui ce temple avait été dédié était à peu près dans le goût de celui qu’on adora depuis à Lampsaque. Non seulement il procurait des maris aux filles, mais il tenait lieu souvent de mari. C’était le saint le plus fêté de toute l’Asie. Formosante ne se souciait point du tout du saint de Bassora; elle n’invoquait que son cher berger gangaride, son