Lampe électrique

J’appuyai sur l’interrupteur, mais la lumière ne s’alluma pas. Je pris donc ma lampe de torche qui était sur le guichet et je commençai à avancer. La peur et l’anxiété m’envahit, mes membres commençaient à trembler. Je ne compris pas pourquoi, mais cela était étrange. S’était-il passé quelque chose pendant mon absence ? Je ne savais pas, néanmoins un pressentiment me submergea. Le faisceau de lumière de a lampe n’éclairait qu’une petite partie du couloir comme un halo. Je ne savais pas où j’allais

obtint la faveur de descendre le premier. Il était vêtu d’une combinaison chauffante, couleur citron, botté de feutre gris et coiffé à la Brad Pitt. Un thermomètre explorateur avait révélé à l’intérieur une température de moins de 37°. Il portait une lampe frontale, un masque à oxygène et à la ceinture un revolver . Une échelle métallique, qui ferait office d’antenne, était fixée au bord du puits et pendait dans l’inconnu. Tony mit son casque et s’engagea. On le vit disparaître dans la lumière d’or

vers le tableau et je vis le fameux tableau. A cet instant, l’air devint plus intense. Le temps s’arrêta. Une voix apparue et m’exigea : « Assassine toute présence dans cette chambre ». Sans réfléchir, je m’approche lentement de ma cliente, saisis la lampe de chevet qui est à proximité et l’assène d’une dizaine de coups dans la tête. Puis j’entrai dans la salle de bain, saisis une serviette, la ceint autour du coup de Mr Zena et serrai jusqu’à ce qu’il tombe. Enfin, je réunis les deux corps sur le lit

qui t'as pris de passer par le toit ? » Robert sursauta. Derrière lui, un garçon à la carrure impressionnante , au teint halé et aux longues boucles brunes tenait fermement une lampe torche. Ses yeux, légèrement bridés, étaient d'un noir profond. « …Aaron … !? » Ce dernier dirigea le jet lumineux de sa lampe torche sous son visage, et afficha une expression qu'il espérait monstrueuse. « Non, moi, c'est ''Charles, le fantôme du manoir ! » Robert se leva, non sans mal, et répliqua

Écrire une Nouvelle fantastique I| devait être aux environs de minuit et demi. Ma voiture venait de tomber en panne, et depuis presque plus d’une heure je cherchais un endroit calme pour y passer la nuit. Ma lampe de poche ne fonctionnait pas. À force de marcher, je vis un vieux château abandonné. Je n’avais plus d’autre choix que de passer la nuit dans ce château. En entrant, je vis en me retournant pour fermer la porte, un papier, qui me disait qu’il ne fallait surtout pas dormir

crier son bonheur. Ma chérie, murmurait-elle à la lettre ou à elle-même. Dans sa chambre, l'habituel cérémonial. Porte fermée à clé, volets fermés, rideaux tirés, boules de cire pour supprimer les bruits du dehors, tous les bruits de non-amour. La lampe de chevet allumée, elle s'étendait sur le lit, arrangeait l'oreiller. Non, ne pas lire encore, faire durer le plaisir. Voir un peu l'enveloppe d'abord. Belle enveloppe solide, sans l'affreux doublage intérieur. Très bien. Et il avait collé le timbre

d'investigation: • faire une expérience : prendre une lampe et éclairer un objet opaque et regarder l'état de l'ombre sur un écran • faire une recherche sur internet • faire une recherche documentaire à la BCD Activité détaillée: expérience Matériel: une lampe torche, une objet opaque : une boule par exemple, un écran Consigne :Réaliser un dispositif expérimental pour observer les ombres d'un objet éclairé. Investigation des élèves : Allumer la lampe torche et la diriger vers la boule opaque Mettre

Dans sa chambre, l'habituel cérémonial. Porte fermée à clé, volets fermés, rideaux tirés, boules de cire pour supprimer les bruits du dehors, tous les bruits de non-amour. La lampe de chevet allumée, elle s'étendait sur le lit, arrangeait l'oreiller. Non, ne pas lire encore, faire durer le plaisir. Voir un peu l'enveloppe d'abord. Belle enveloppe solide, sans l'affreux doublage intérieur. Très bien. Et il avait collé le timbre soigneusement, pas sens dessus dessous, tout droit, juste au bon endroit

meuble étroit à tiroirs superposés. Sur le mur de la porte, du coin gauche de la pièce, il y a un bureau et une chaise. Après, on remarque un pied de lit adossé au mur. Sur le dessus du pied de lit, on découvre une radio, un petit téléviseur, une lampe de chevet et sur le mur un cadre blanc avec des fleurs. Juste au pied de la porte à gauche, se trouve un panier de sport. Sur le mur de droite, j’ai ma garde-robe avec des portes pliantes blanches et un calendrier de Justin Bieber. Dans cet endroit

lointain. Les sons étaient assourdis mais continuaient : les lamentations de vent, la maison qui frémissait, une gamme croissante de cris, de glapissements, de hurlements, et de sauvages éclats de rire. La chambre était faiblement éclairée par la lampe du dehors qui filtrait à travers les rideaux. Avec le crépuscule, elle s'obscurcit. Je pressa mes mains sur mes oreilles, essayant d'atténuer les sons. Je me dit que les bruits étaient justes dus à la tempête. Un battement sourd se joignit à la cacophonie