La Vie Est Elle Injuste

des lois naturelles non édictées que l’Homme respecte grâce à sa conscience, à sa morale, ce courant vient de ce que l’on appelle le droit naturel, défini comme l’ordre réel de la vie en société, il prône un idéal de justice, celui-ci permet aux Hommes de ne pas respecter à la lettre le droit positif qui est parfois injuste selon les idéalistes, il leur permet de vivre selon leur morale et non des règles édictées par la société. Ce courant idéaliste va donc à l’encontre du courant positiviste qui lui

besoins d'accomplissement. Pour se réaliser il faut être le meilleur, et pour être le meilleur, il faut se surpasser, mais, avant tout ,surpasser les autres. Et c'est en cela que l'on parle de loi du plus fort comme une tendance, une vision humaine de la vie. C'est à celui qui sera le plus puissant et le plus doué que reviendra la faculté de domiance sur les autres, jugés plus faibles que lui. On peut ainsi introduire les notions de meneurs et suiveurs. Dans une société caractérisée de ''jungle'' s'en

cela, il faut de la force. - Eschyle : Electre est le personnage de l’Orestie qui correspond le mieux à cette affirmation ; elle voudrait rendre justice à son père mais est incapable de le faire car elle ne possède pas le pouvoir nécessaire : « Ma vie est celle d’une esclave » (Choeph., v.135). Elle demande alors de l’aide à une autorité supérieure qui, elle, pourra lui venir en aide et rendre justice : « Par toi frère fidèle je vais retrouver le respect – pourvu qu’à la Force et au Droit Zeus très

Lorsque l’on reproche dans la vie courante à quelqu’un de se comporter de manière injuste, c’est souvent qu’on l’accuse de ne pas avoir le même comportement avec tout le monde et par conséquent, de favoriser de manière directe ou indirecte, certaines personnes, au détriment d’autres. Ainsi, dans une première approche, il semblerait effectivement que celui qui veuille être juste, adopte le même comportement avec tout le monde. Car pour le philosophe, Alain «La justice, c'est l'égalité » (Éléments

justitia « conformité avec le droit, sentiment d’équité ; esprit d'équité », la « justice » est à la fois, une vertu morale, celle de l’homme juste, et, une institution qui détermine ce qui est permis ou défendu dans le cadre de la vie en société. « Vise-t-elle » est relatif à si la justice a pour objectif, souhaite atteindre, tend vers l’égalité. « L’égalité » du latin aequalis , de aequus , « uni, juste »

des exceptions et suivre l’opinion commune de faire des injustes pour bien vivre , car la morale est plus importante que la vie , dernièrement Socrate pense que le bien , la juste, le beau sont la même chose. Et donc il ne faut en aucun cas ne pas respecter un de ces valeurs. Socrate veut faire comprendre à Criton qu’il faut favoriser la rationalité sur l’intérêt personnelle. Pour conclure cette partie : Socrate avance ces principes dans la vie pour argumenter et donner sa décision finale à propos

pour lui c’est un égoïste il veut échapper à sa fatalité. Il veut échapper à ce destin mais la mort des amants est annoncé plusieurs fois dans ce texte, le chœur au début, puis Roméo avant d’entrer au bal : « cette fête nocturne marque la fin de la vie méprisable » (p. 51, vers 110), Juliette nous le montra aussi lorsque l’identité de Roméo lui est dévoilée: « Alors dans la tombe je serai  déflorée » (p.59, vers 132). Dans la dernière scène Roméo dit : « Je bois à mon amour ». Il boit ce poison pour

deux répondra-t-on, mais ce n’est que repousser le problème car si ces deux valeurs entrent en conflit, laquelle primera ? peut-on désobéir à un système injuste, mais alors qu’en est-il de l’ordre ? peut-on admettre des injustices au nom d’un maintien de l’ordre ? mais alors quel est le seuil de tolérance ? EX les peines exemplaires sont injustes pourtant elles ont pour but d’établir un ordre, et de contribuer à la justice mais de façon plus indirect, ex les dégazages en mer : peines lourdes et disproportionnées

"La guerre peut-elle être juste ?". La guerre, par la violence qu'elle implique, est moralement injuste. Elle porte atteinte non seulement à la vie, mais aussi à la dignité de la personne humaine (en tuant des innocents, des civils, mais aussi par les actes de barbarie qu'elle permet, et par les conséquences psychologiques qu'elle a sur les militaires). Elle a pu servir de légitimation à l'esclavage, le vaincu devant se soumettre corps et âme au vainqueur (…) PLAN I) La guerre ne peut être juste

protester contre l’esclavagisme alors encore présent dans le sud des Etats-Unis. Cettte obéissance à la conscience aux dépends de la loi institutionnelle prouve la volonté de changement de Thoreau, légitimant le droit désobéir à la loi si celle ci paraît injuste. Ce concept de « désobéissance civile » nous amène donc à nous questionner sur la loi, mais aussi sur ses limites. Ainsi, on pourrait se demander si passer au-delà des lois au nom de nos principes est réellement légitime, et si comme le défend Thoreau