La Terre Supervielle

Jules Supervielle est un poète du XXe siècle connu avant tout pour exprimer les mystères de l'existence à travers des poèmes incompréhensibles et proche de l'ineffable. Retour à l'Estancia est un poème moderne à prose rythmée. Lors de la lecture du poème, on a du mal à dicerner qui est l'énonciateur qui s'exprime, et il est difficile de faire la différence entre le réel et l'irréel. De plus, Supervielle dépeint un paysage sud-américain, qu'il met en constante opposition avec un paysage européen

Séance 5: « Marseille » Lecture analytique n°3 Problématique: De quelle façon Marseille se trouve-t-elle ici associé à la vie ? Éléments pour l'introduction : Supervielle proche des surréalistes mais qui a toujours garder son indépendance pour proposer des poésies plus humaines. Il est né à Montevideo en Uruguay. Il est orphelin très tôt et voyagera beaucoup entre la France et l'Amérique du sud avant de s'installer a Paris avec son oncle à l'age de 10 ans. Le voyage est donc un thème qui

,Jules Supervielle est un Poète uruguayen du Xxe siècledit ,un poète voyageur et engagé. Tout au long de sa vie, il eu le désir de découvrir le monde et tout particulièrement de renouer le lien entre l'homme et la nature. Supervielle a vécu la première guerre mondiale et notamment a exercé des activités au ministère de la Guerre, en raison de ses compétences linguistiques. Il désirait créer un nouveau lyrisme et introduire une certaine forme de mystère de l'univers . Il s'est toujours tenu à l'écart

poète nous fait ici la description d'un paysage foisonnant et vivant, où les éléments s'allient entre eux. C'est d'abord la terre et la mer qui semblent fusionner car dès les premières lignes, on se rend compte qu'elles sont intimement liées. Le titre à lui seul est évocateur puisque le mot « escale » désigne le lieu (ou le moment) où les bateaux s'amarrent à la terre pour se ravitailler, embarquer ou débarquer des passagers. Ce lieu constitue donc un point de jonction entre ces deux domaines

Alexandre Fresko Anthologie poétique : Le voyage Préface: C'est en lisant ces poèmes que l'idée m'est venue d'en faire une anthologie. A travers ces poèmes j'ai trouvé une part de vérité: Personne n'échappe à l'obligation de voyager de changer de terre.. On oubli, mais ils nous restent toujours quelques souvenirs en mémoire.J'ai choisis de vous faire partager ces quelques poèmes qui ont traversé les temps pour leur intemporalité. Existe-t-il quelqu'un qui ne s'est jamais demandé ou vais-je aller

INTRODUCTION Le poème Hommage à la vie change des poèmes habituels de Jules Supervielle par sa joie de vivre. C'est un poème de 40 vers sans strophe, mais on peut le découper en plusieurs parties introduites par "C'est beau" puis par "D'avoir". On peut penser que le locuteur est un homme en général, mais on découvre au dernier vers que c'est l'auteur qui parle. LECTURE Hommage à la Vie C'est beau d'avoir élu Domicile vivant Et de loger le temps Dans un coeur continu, Et d'avoir vu

nourrit sur leurs compétences (leurs capacités à« réinvestir leurs acquis », autre cliché à éviter), ou sur leurs talents poétiques: il est totalement irréaliste de demander à des élèves d'écrire « à la manière de » Claudel, Valéry, Apollinaire, Supervielle, ou Ponge. Les nouveaux programmes de seconde, que certains candidats ont mentionnés bien qu'ils ne soient pas encore entrés en application, précisent bien que toute écriture dite « d'invention » doit se greffer sur une lecture préalable et relève

monde  de Jules Superviellle (1938), Toutes les mers de Jocelyne Corbel, extrait de Mes Chemins de poésies paru en 2005 ou encore avec Quand la mer se déchaine ! de Jean Claude Brinnette, un de nos contemporains, extrait du recueil Poésies. Jules Supervielle, lui sous la forme d’un poème très court nous fait part de ses sentiment sur la mer, ce qu’elle lui inspire, c'est-à-dire ici, le rêve ; Jocelyne Corbel, se livre à une description de « toutes les mers du monde », en insistant sur l’aménité de la

plus souriante et plus apaisée, plus sereine. Mille poètes et cent mille vers, disais-je ! Connaissez-vous ceux-ci :Alentour naissaient mille bruits ais si pleins encore de silence Que l’oreille croyait ouïr Le chant de sa propre innocenceJules SUPERVIELLE, « Le matin du monde », Gravitations.Qui a écrit ces vers, que je me récite quand je me sens fatigué, « Dieux que ne suis-je assise à l’ombre d’une clairière / Quand pourrais-je suivre de l’oeil un char fuyant dans la carrière ? » ? Ou encore ceux

Vous qui de loin avez le duvet bleu des pêches. Je ne vois rien encore à l’horizon figé Dans le cercle marin que nul phare ne troue ; Mais mon cœur, devançant tout ce morne trajet, A déjà vu trembler Santa-Cruz à sa proue… Jules SUPERVIELLE, (1884- 1960). Poèmes, Gallimard. Le Relais En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’œil fatigué de voir et le corps engourdi. Et