La Tentatrice

n'est qu'incohérence. Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice n'est plus Eve mais Cunégonde. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité.       Candide n’est qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien. Chapître 1er :

Picasso, comme dans de nombreuses de ses œuvres, fait appel à la provocation et au voyeurisme qu’il, peut-être, a voulu dénoncé dans cette œuvre. Ce vice est rappelé avec les couleurs ocres et grises des plans de droite, qui nous montre une femme très tentatrice et une femme sortant d’un décor extérieur par l’intermédiaire d’un rideau tel le diable qui sort des ténèbres. Cette idée est rappelé par les couleurs sanguinaires et sombres s’opposant à la virginité du blanc et du bleu. Visage changeant

Picasso, comme dans de nombreuses de ses œuvres, fait appel à la provocation et au voyeurisme qu’il, peut-être, a voulu dénoncé dans cette œuvre. Ce vice est rappelé avec les couleurs ocre et grises des plans de droite, qui nous montre une femme très tentatrice et une femme sortant d’un décor extérieur par l’intermédiaire d’un rideau tel le diable qui sort des ténèbres. Cette idée est rappelée par les couleurs sanguinaires et sombres s’opposant à la virginité du blanc et du bleu. Mais par opposition à

synonymes d’ombre, de lieux méconnus, où l’on ne sait pas à quoi s’attendre. Dans le registre fantastique, l’eau symbolise le passage entre le monde des vivants et celui de l’au-delà. Elle est comme une frontière. Par exemple, trois jeunes filles très tentatrices essaient d’attirer le personnage à l’orée d’un bois. Plus loin dans la lecture, il voit d’anormales choses, notamment une femme cadavérique dans un marais. De plus, le temps aussi crée le cadre du fantastique. Dans La Chevelure, par exemple, tout

autour du cou et du corps du personnage évoquent un serpent. - La posture du personnage et sa distance intime par rapport au récepteur suggèrent que le lecteur est soumis. - La nuisette en dentelle donne de la sensualité au personnage et en fait une tentatrice. - le maquillage et la coupe de cheveux déstructurée font du personnage une diablesse. - Le nom «Hypnotic poison» et le flacon mis en avant renvoient l’image de la sorcière de blanche neige avec la pomme empoisonnée. Les couleurs - La couleur rouge

qui Danse, Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne, Sed Non Satiata, série de poèmes des Fleurs du Mal souvent citée comme le cycle de la « Vénus Noire ».    Vampirisé, diabolisé, à la fois ange et démon, Jeanne Duval incarne la femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, tribade, infidèle, troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle, qui prend la forme d’une dépendance forte. III)appoline sabatier Apollonie Sabatier de son vrai nom Aglaé Savatier . Née de père inconnu

b. sensuelle légèrement vêtue (1§) champ lexical du corps (crf a.) associé aux verbes de mouvement iiiiii danse : chp lexical de la musique ddd et comparaison aux danseuses exotiques [...] “plus légère qu’un papillon → grâce I- Une tentatrice, une femme fatale a. envoûtante (captivante, subjective) rejoint la sensualité, qui la rend captivante sa danse devient intime, champ lexical presque érotique = très intense llllll très subjective : “frénétiquement” → désir excessif de plaire

cruels : le léopard, le dragon et le tigre, les trois ennemis du noble lion. Les femmes rousses, quant à elles, connaissent un sort peu enviable, car en plus de souffrir des maux attachés à leur chevelure, elles sont perçues comme des pécheresses tentatrices et hérétiques. Leur pilosité sulfureuse les apparente à la sorcière ou à la prostituée Marie Madeleine. De telle sorte qu’à la suite de ces superstitions, en 1254, une ordonnance du roi Saint-Louis fait obligation aux prostituées de se teindre

(les deux sens de sagesse). v.16 est un vers bref. Cette santé dont il parle s'oppose à la mort de la précédente femme d'Eluard. v.17 début à nouveau par l'anaphore. La femme aimée est unique et forte ; elle s'oppose à toutes les autres femmes tentatrices, à tous les mirages et peut-être même à tous les fantômes (sens d'illusion) v.18 « Immortel » est d'un emploi hyperbolique, aucun des deux n'a un coeur immortel mais cet adjectif met en lumière la force de leur amour. C'est aussi une allusion au

étapes de sa vie : la jeunesse dans le récit encadré, la maturité ou la vieillesse pour l'encadrement. On peut y voir une forme de jugement moralisant sur les dangers de la femme pour les clercs consacrés. C'est une conception étriquée de la femme tentatrice, Eve fatale (qui réduit la sexualité à la génitalité)… Gautier exploite une des veines du roman gothique comme dans le Moine de Lewis, ou Melmoth de Maturin, il y a peut-être aussi des réminiscences du Diable amoureux de Cazotte. 4Invité01/10/2006