La Synesthésie

L'ALBATROS de Baudelaire Il s'agit d'un poème didactique. Le poète livre une méthode, celle de la synesthésie, c'est à dire des équivalences sensorielles. Cette recherche apportera dans le texte un grand nombre de comparaisons. Le poète utilise habilement la structure du sonnet : Les 2 quatrains constituent le temps théorique les 2 tercets livrent le développement d'équivalence Commentaire Axe 1 : Théorie des correspondances Elles reposent à la fois :

celle de la synesthésie, c'est à dire des équivalences sensorielles. Cette recherche apportera dans le texte un grand nombre de comparaisons. Le poète utilise habilement la structure du sonnet donc les deux quatrains constituent le temps théorique et les deux tercets livrent le développement d'équivalence. On peut se demander comment le poète parvient à livrer un enseignement, une méthode, tout en donnant à son texte une grande portée poétique. On étudiera la théorie des synesthésies, puis l'analyse

désorienté, dans un cadre flou. On ne peut pas le situer géographiquement l’action, aucune indication laissée par le narrateur. Donne l’impression que René est désorienté. René convoque tous ses sens, l’odorat, la vue, et l’ouïe à travers une synesthésie. Cela nous donne l’impression que le narrateur fait appel à ses sens pour mieux comprendre le monde qui l’entoure : il est perdu. René est à la recherche d’un moyen de s’exiler, de partir loin : « comme un oiseau de passage ». Il n’est bien nulle

du XXème siècle. Exaltation ou dérision de la machine (Futurisme / Néo-Dadaïsme) – mécanomorphisme, la sculpture à l’ère industrielle. L’élargissement du champ de la sculpture : éclatement des catégories traditionnelles. Synthèse des arts, synesthésie, art total (sculpture et cinéma, sculpture et musique …) Les nouvelles relations de l’œuvre avec l’environnement : « l’œuvre, c’est l’espace autour » (Moholy-Nagy). – sculpture / environnement / installation (mise en espace -mise en scène ou

problématique. Comment l’homme et la mer peuvent remplir leur fonction d’analogie ? Plan :1 . l’analogie entre l’homme et la mer : La notion de la liberté : Fond ténébreux :Goûts communs :2 . correspondances :Fusion formelle et prosodique :Synesthésie :Confusion :3. l’amour morbide :Fascination par le spectacle de la mer :La mer et le « moi » : Combat atemporel :1 . l’analogie entre l’homme et la mer : Baudelaire essaye de traduire, sans faute, « l’universelle analogie ». Dés le permier vers

de « tout » + parallélisme syntaxique : : : B musicalité et envolée lyrique assurées par le rythme ternaire ( 3 × 5 syllabes) le – mélange des sens : : : B vue + odorat + ouïe : : : B cf. théories correspondances baudelairiennes : : : B les synesthésies Phrases exclamatives pour transmettrre émotion et musicalité - Marques de la première personne omniprésentes (au détriment de la femme aimée… : : : B quel est le vrai sujet du poème : : : M ⇒ lyrisme) - »mon âme voyage » : : : B Personnification

remarque la présence de la deuxième personne alors que dans « La chevelure », Baudelaire utilise l'interjection « ô » qui de plus, marque son admiration pour la chevelure. On devine que tous les sens de ce poète sont mis en éveil grâce aux nombreuses synesthésies présentes (citer). Baudelaire évoque une certaine nostalgie en évoquant la chevelure à travers des souvenirs. Dans le poème de Du Bellay, la chevelure est associée à des liens ce qui implique que l'auteur est pris de passion et d'envoûtement pour

d’une poétique de la rupture propre à souligner la sidération des sens 2. se faire voyant par un « dérèglement de tous les sens » : * les synesthésies : Le dérèglement de tous les sens qui seul ouvre la voie à la voyance. L’extase poétique comme ds « Harmonie du soir » de B. est un transport qui affecte les sens. R. pratique comme B. son maître, la synesthésie qui permet de sur-imprimer les différentes sensations ds un feu d’artifice hallucinatoire. Dès le début v3, l’adjectif « criard » se réfère

d’images et de sensations, ce qui est exprimé par les vers 3 et 4. Les différents sens la vue : " triste et beau " ; " luit comme un "  l’ouïe : " valse " ; " violon " l’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens). Passage au malaise, ce vertige, agréable, tourne au malaise mais le tournoiement combine plaisir et malaise. III Le spleen baudelairien Antithèse ombre/lumière Ombre: vers 10 " néant

malgré son apparent désordre et son chaos, possèderait une profonde unité. Ces correspondances horizontales se traduisent concrètement chez Baudelaire par le mélange des sensations qui semblent se fondre, fusionner entre elles (on parle de synesthésies, cf. le poème Correspondances : « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent »).