La Science de la logique

II-La philosophie et la science 1-Origines de la Philosophie A l’origine, la philosophie a été une sorte de connaissance universelle qui englobait toutes les sciences. Lorsque vers le VIème siècle avant notre ère, elle prit naissance en Grèce, elle se présenta comme un savoir encyclopédique. Les premiers philosophes, un Thales de Milet par exemple, plus tard un Pythagore, plus tard encore un Empédocle ou un Démocrite furent les premiers savants. Pour un Platon et un Aristote, la Physique

s’intercalent entre le stimulus et la réponse. La théorie de Mac Lean (1940) sur le cerveau intervient dans cette science : pour une même info elle ne vas pas arriver de la même manière selon les individus. Ce courant a été favorisé par l’arrivée d’autres courants comme l’informatique qui a été une source d’inspiration très forte avec une notion de mémoire, mais aussi la science de communication et la linguistique (étude du langage). Le behaviorisme n’apporte, lui, aucune réponse sur cette dernière

oration-v1 26 La « Connaissance objective » de Karl Popper… Les années 90 ont été marquées par un développement des ré- flexions sur le statut épistémologique de la gestion. Le problème n’est pas sans enjeu. L’obtention du statut de science conditionne, pour partie au moins, la reconnaissance académique de cette discipline. Au-delà, l’enseignement et le chercheur en gestion ne peuvent échapper à deux questions : quelle connaissance transmettre aux étudiants et, donc, comment développer

philosophie est une science, la science des premiers principes et des premières causes[2]. Au sens moderne et pour une bonne partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs disponibles[3]. Ancrée dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, elle peut se concevoir comme une activité d'analyse, de définition, de création ou de méditation sur des concepts. À la différence des sciences naturelles

résultant de raisonnements logiques appliqués à divers objets tels que les nombres, les figures, les structures et les transformations. Les mathématiques sont aussi le domaine de recherche développant ces connaissances, ainsi que la discipline qui les enseigne. Elles possèdent plusieurs branches telles que : l'arithmétique, l'algèbre, la géométrie, la logique mathématique, les mathématiques pures, appliquées, etc. Les mathématiques se distinguent des autres sciences par un rapport particulier

qualités essentielles requise pour rentrer dans notre ordre est le gout des sciences utiles et des arts libéraux dans le but de contribuer par sa libéralité ou son travail à un vaste ouvrage qui deviendra un dictionnaire universel ». Tous les grands maîtres du XVIIIe siècle ont alors exhorté les savants et les artistes à s’unir pour fournir les matériaux de ce dictionnaire universel de tous les arts libéraux et de toutes les sciences utiles. Ce dictionnaire a largement puisé dans les enseignements et

est de penser les rapports entre science, métaphysique et morale en mesurant la légitimité de la Raison dans ses 3 domaines. Comment s’orienter dans la pensée ? Quelle voie ou chemin suivre ? Ces métaphores peuvent renvoyer à Parménide (les 2 voies : La voie de la vérité qui affirme que l’être est le non être n’est pas) et la voie de l’opinion confuse ou à Descartes (le discours de la méthode). Il s’agit pour Kant de repérer et ouvrir « la voie sure des sciences ». L’enjeu : a quelle condition

une vérité vraie on est dans quelque chose d’éternel c’est paré que Dieu n’est pas trompeur et qu’il est éternel les vérités se doit de l’être aussi si ces vérités ne pouvaient pas être garanties on ne pourrait pas faire de raisonnement ni de science. Ce qui faut retenir c’est la clarté et la distinction. Est clair une idée que manifeste un esprit attentif qui fait l’effort à ce moment-là d’analyser l’idée. L’attention ne s’oppose pas à l’évidence, la distinction c’est une idée distincte que

industrialisé, comme si croire en Dieu n’était plus obligé de nos jours. Ainsi, il semble aujourd'hui que les sciences permettent d’une part une compréhension plus précise de la nature (nous disposons par exemple d'hypothèses sur l'origine de l'univers), mais qu’elles accroissent également le niveau de bien-être, la santé, etc... :le besoin de croire en Dieu a irrémédiablement chuté quand les sciences ont proposées des réponses fortes aux questions religieuses majeures, à tel point qu'il parait aujourd'hui

ECPLICATION DE TEXTE : HEGEL La critique de la philosophie est, comme on peut le constater chez Platon, fort ancienne, et aujourd'hui encore, la philosophie est suspectée d'être à la fois difficile, comme sont les sciences les plus abstraites, mais, de plus, parfaitement inutile. Tout juste pourrait-elle servir à dégourdir un peu l'esprit des élèves, à condition de ne pas leur faire prendre vraiment l'entreprise au sérieux: il y aurait, des choses bien plus importantes. Selon ce point de