La Récidive Répression Et Prévention

précurseurs. Au début de l’histoire de l’humanité, l’individu qui fait du tord à autrui est soumis à une réaction de la justice privée. Donc à l’intérieur du groupe social, il existe une autorité qui impose ses règles. Donc, cette autorité exerce la répression contre ceux qui s’y opposeraient. Lorsque l’infraction est commise sur un membre du groupe sur un membre d’un autre groupe, la réaction a un caractère collectif. Donc, le groupe de la victime peut se venger du groupe du criminel : donc, c’est un

de détention qui furent améliorées, mais la colonie ne fut définitivement fermée qu'en 1977. L'expression de « bagnes d'enfants » ne venaient pas, à l'origine, des critiques de cette institution, mais de ceux y voyant un véritable programme de répression d'enfants considérés comme récidivistes voire « criminels-nés » (concept théorisé en particulier par Cesare Lombroso); la conscription devait logiquement suivre l'enfermement. Wikipédia 2. Les politiques publiques françaises et l’ « enfance

La justice des mineurs I - De quoi doit-on les protéger ? A. D'eux même B. De leur entourage C. Du monde extérieur II- Comment les protegers A. Les lois B. Les campagnes de préventions C. La placement des mineurs La justice des mineurs concerne les mineurs en danger (dans le cadre de la justice civile au titre de l’article 375 du code civil) ainsi que les mineurs ayant commis des actes de délinquance (dans le cadre de la justice pénale, au titre de l’ordonnance du 2 février 1945 relative

non respect du code de la route : infraction pénale mais il n’y a aucune transgression d’une règle morale. A contrario, on peut avoir des fautes morales qui ne donnent lieu à aucune répression pénale soit parce qu’elles ne donnent pas lieu à une répression pénale soit parce qu’elles ne donnent plus lieu à une répression pénale. Première distorsion : l’adultère : violation de la morale publique pour autant et ce depuis 1875 l’adultère n’est plus réprimé pénalement. Autre exemple : l’hypothèse du mensonge

préparatoire, qualification de complot, de participation à un groupement ayant des visées violentes). Dans ces cas on va saisir le phénomène de groupe en amont de la réalisation de l’infraction en appliquant à chacun la même qualification. - Au stade la répression : la punition va être aggravée par la participation concertée (c’est le cas de la bande organisée). Circonstance aggravante qui est l’équivalent après coup de l’association de malfaiteurs. - Une imputation différenciée par rapport à ce qui aurait

de comprendre le comportement antisocial de l’homme et qui tente de préconiser des remèdes. Pour être efficace il faut absolument associer la prévention et la resocialisation de l’infracteur ; séparer les deux est un non sens parce qu’on ne lutte pas contre la récidive en augmentant la sévérité des textes, tout est lié. En revanche, lutter contre la récidive en investissant sur la resocialisation de l’infracteur en essayant de mettre toutes les chances du côté de la société pour qu’il ne réitère pas

bénéficiaire de la répression. Mais la répression est organisée sous le contrôle du pouvoir central notamment avec l’intervention d’un juge. Le troisième stade : c’est l’Etat qui organise la répression : la victime n’a plus qu’un rôle secondaire. En réalité, c’est toute la société qui s’en trouve désorganisée. A cette époque, il convient de distinguer les délits privés portant atteinte à la victime, et les délits publics sanctionnés même sans plaintes de la victime. La répression se caractérise par

punissable. C’est lui qui précise comment la répression peut s’étendre à ceux qui se sont associés à l’auteur principal pour commettre l’infraction, c’est toute la question du co-auteur et du complice. De même le DPG s’intéresse aux règles générales relatives à la fixation des peines. Et au pouvoir accordé au juge pour dépasser, la limite maximale prévue par la législation (les causes d’aggravation de la sanction, c’est aussi l’hypothèse de la récidive). On trouve également en DPG, les causes d’atténuation

II : Une spécificité du droit des mineurs remise en cause 2 Liste des abréviations CAE CCPD CEDH CEF CER COE CIDE C.P.P. CPI D. FAE IPPJ J.O. DPJJ OPJ Rép. pén. R.I.P.C. R.S.C. SEAT SME TIG Centre d‟action éducative Conseils communaux de prévention de la délinquance Convention européenne des droits de l‟homme Centre éducatif fermé Centre éducatif renforcé Centre d‟orientation éducative Convention internationale des droits de l‟enfant Code de procédure pénale Centre de placement immédiat Dalloz

objectif de prévention des violences, prétention à créer des profils criminels ou à les repérer, etc. * Lire article colloque « des hommes et des murs » * 1911 (13 mars) : DAP au ministère de la justice : * Lire colloque sur le centenaire du transfert de l’AP * Transfert de compétences de l’AP du ministère de l’intérieur au ministère de la justice * Aspect symbolique très important de ce transfert : * Ministère de l’intérieur : répression, bras armé du