La Règle De Tinbergen

nouveaux classiques, cette politique ne peut avoir qu’une efficacité temporaire. Les agents auront tendance à adapter leur comportement en anticipant rationnellement les surprises auxquelles peuvent procéder les autorités monétaires.   Le principe de Tinbergen, économiste néerlandais, est qu’à chaque problème réclame un instrument exclusif et un seul. Dans un pays qui souffre de chômage par manque de capital et d’investissement par exemple, la bonne arme anti-chômage est la politique monétaire car une

Période 1930-1945 : importantes perturbations économiques et politiques → nécessité des agrégats (grandeurs synthétiques caractéristiques de l’économie nationale) Seconde Guerre Mondiale : premiers schémas des comptes nationaux Meade et Stone (UK), Tinbergen (Pays-Bas) et Vincent (France) Sous l’impulsion de l’europe, l’ONU publie en 1953 le 1er Système de CN. La France a une CN beaucoup plus détaillée le Système élargi de CN adopté en 1976 : fusion des apports anglo-saxons et français. SCN 93 : adaptation

contrôle : taux d’imposition, volume des dépenses publiques, réserves obligatoires, contrôle du crédit, allocations familiales… La règle de Tinbergen (principe de cohérence) : « Il faut au moins autant d’instruments que d’objectifs à atteindre ». Sinon : problème de cohérence. Exemple typique : l’IRPP en France (~ « n’importe quoi »). La règle de Mundell (principe d’efficience) : Pour atteindre un objectif économique : utiliser l’instrument le plus adapté c’est-à-dire celui qui

administrations publiques, donc, le déficit des administrations publiques. Administrations publiques : état, collectivités locales, différents organismes… A. La politique économique : logique de conception et principes de rationalité. Selon J. TINBERGEN (1961) : la politique économique est l’utilisation de la part de l’agent public d’un certain nombre de moyens (instruments) pour atteindre certaines fins (objectifs). Politique économique concerne l’intervention de l’état dans l’économie. L’état

administrations publiques, donc, le déficit des administrations publiques. Administrations publiques : état, collectivités locales, différents organismes… A. La politique économique : logique de conception et principes de rationalité. Selon J. TINBERGEN (1961) : la politique économique est l’utilisation de la part de l’agent public d’un certain nombre de moyens (instruments) pour atteindre certaines fins (objectifs). Politique économique concerne l’intervention de l’état dans l’économie. L’état

transmission Politique monétaire et stabilité financière 1. Objectifs Politique monétaire = politique conjoncturelle Les objectifs de la politique conjoncturelle « carré magique » de Kaldor Croissance, stabilité des prix, excédent extérieur, emploi Jan Tinbergen au moins autant d’instruments que d’objectifs Robert Mundell politique monétaire pour l’équilibre externe / politique budgétaire pour l’équilibre interne Le carré magique Taux de croissance Taux de chômage Solde extérieur (en % de PIB)

mécanique va s'imposer dans les sciences sociales au moment du virage sémantique en logique mathématique. Le terme de "modèle" surgit simultanément en 1936-37 chez des économistes et des statisticiens, très souvent de formation physicienne, comme J. Tinbergen, E.E. Slutsky, G & E. Guillaume, A. Wald, J. Ullmo, J. Marschak, T. Haavelmo, J. Neyman qui tous ont fréquentés plus ou moins directement le séminaire de Carl Menger à Vienne, les écrits de Mach, ou les textes philosophiques du Cercle et qui, pour

Parfaite | Politique budgétaire | Politique monétaire seule | IV.2/ Les règles de combinaison des instruments de politique économique Parmi les règles de politique économique on peut distinguer d’une part celle de Tinbergen et d’autre part celle de Mundell. A) La règle de Tinbergen Les situations de dilemme de politique économique tiennent au fait qu’il n’y a pas d’égalité entre le nombre d’objectifs et le nombre d’instruments indépendants. Par exemple dans un régime de changes fixes la politique

de ce fait il y a un déséquilibre dans l’économie. La théorie de Keynes est «général» car sa théorie couvre un cas plus général ou le chômage n’est pas que volontaire. 2) Les différences entre la macro et la micro. La théorie microéconomique règle d’une manière stylisée normative le problème de la formation des grandeurs économiques. Mais la mise en évidence des fondements des processus décisionnels ne suffit pas à comprendre encore moins à agir sur certaine grandeur tel le revenus national

à la plus petite entité pour qu’elle puisse s’en occuper. Dans le cas de l’UE, la plus petite entité est un état. Donc la responsabilité de l’action politique revient à l’état. Dans la construction européenne, le principe de subsidiarité, est une règle de répartition des compétences entre l'Union et ses Etats membres. En dehors des domaines de compétences qui lui sont propres, l'Union Européenne n'agit que si son action est plus efficace que celle conduite au niveau des Etats ou des régions. En