La Recherche Scientifique Peut Elle être Désintéressée

Étant donné l’ampleur et la complexité de l’épistémologie, comme discipline, ce petit traité n’a pas pour ambition de servir dans le cadre d’un cursus universitaire spécialisé dans cette discipline. Il n’est pas non plus destiné, a priori, à des scientifiques qui auront davantage intérêt à réfléchir aux problématiques épistémologiques propres à leur discipline. Son but est de fournir aux jeunes ingénieurs une sorte d’« amorce » à la réflexion sur leur propre activité. La nature du métier d’ingénieur

tabou ou projet commun : la société est donc régie par le vide.. Mais selon lui un « vide en technicolor » caractérisé par la multiplicité des modèles engendrant un flottement existentiel (stade post consommation, post critique de la richesse= recherche d’une qualité de vie, participation locale, préoccupations environnementales..) Causes : consommation de masse, développement des médias et de l’idéologie individualiste, management, le psychologisme… Organisation du livre : 6 chapitres : -1

Cours sur la conscience cours construit sur le modèle de la dissertation Peut-on se connaître soi-même ? I. On peut se connaître soi-même A. Légitimité du projet B. La conscience comme condition nécessaire mais non suffisante de la connaissance de soi C. Je ne suis pas seulement ce dont je suis conscient II. Autrui : un facteur déterminant de la connaissance de soi A. Les sciences humaines B. Le proche C. Découvrir grâce à autrui que je porte en moi quelque

vérité ? On peut entendre par là, selon les cas, la conformité de la pensée avec la réalité (« connaître la vérité »), la conformité de nos paroles avec nos pensées (« dire la vérité »), ou encore la conformité d’une chose à l’apparence qu’elle nous donne (« de l’or véritable »). Dans tous les cas, la vérité ne doit pas être confondue avec la réalité. Elle n’est pas une chose, mais une relation : relation de conformité ou d’accord entre nos pensées, nos paroles et la réalité. On peut, si l’on veut

Utopie ou la recherche d'un idéal. ''Le meilleur des Mondes'' : Une anti-utopie Le Meilleur des Mondes est, avant tout, la description d'une société imaginaire que l'auteur présente comme un possible aboutissement de certaines tendances du monde moderne. Le roman de Aldous Huxley, appartient donc à la tradition philosophique et littéraire de l'Utopie. Utopie, dans son acception traditionnelle, désigne un plan de gouvernement ou de société imaginaire, où tout est parfaitement réglé pour

c’est-à-dire prenant en compte la notion de mandataires sociaux – les personnes ou organisations parties prenantes –, par opposition au modèle de la « valeur actionnariale », focalisé sur les shareholders – actionnaires. Au lieu de se restreindre à la recherche de la satisfaction maximale du seul actionnaire (via la rentabilité financière), le modèle de la « valeur partenariale » envisage la gouvernance comme moyen d’organiser des coopérations sociales efficientes, notamment en arbitrant les conflits d’intérêts

nous pouvons y voir également la notion d’une compétition, ou l’un domine, surpasse l’autre ou plus simplement encore la domination au sens figurer de maitrise d’un domaine. Si l’on considère la nature comme un environnement donné de l'homme, on peut sans doute dire que l'homme domine cet environnement naturel en lui désobéissant, c'est-à-dire en refusant de l'accepter tel qu'il est, en s'opposant à lui et en le modifiant par son travail. Ainsi l'homme crée-t-il contre la nature un monde artificiel

bombardé quotidiennement par des centaines de messages publicitaires. On ne peut pas se permettre d'être inefficace. Or, la création publicitaire est un exercice qui se pratique sur le fil du rasoir. Il est facile de basculer dans l'invisible et l'ennuyeux ou bien dans l'irresponsable et l'incompréhensible. Il faut des cadres conceptuels, des grilles d'analyse, des critères d'évaluation. La publicité est nécessaire car on ne peut rien faire sans elle: les réseaux de vente la réclament, la concurrence

ieJugement et critique Peut-on juger objectivement les pratiques culturelles? Transition Peut-on néanmoins concevoir une possibilité de jugement de valeur concernant les produits de la culture ? Les civilisations se caractérisent par des formes d’art, des pratiques et des traditions religieuses, soumises à une évolution plus ou moins lente déterminée soit par les innovations techniques, pour ce qui est des arts, ou par les bouleversements de mœurs et les renversements idéologiques, pour les

la pensée qui se découvre à elle-même adopte parfois des attitudes extrémistes. On leur attribue l’invention même de la science : une interrogation désintéressée sur le monde, alliant observation des phénomènes et théorisation – bien qu’il leur manquât encore la mise à l’épreuve par l’expérience, indispensable à une démarche véritablement scientifique. Même si leurs thèses restent spéculatives, certaines se sont tout de même avérées prémonitoires. L’une des figures les plus marquantes et qui est