La Recherche Du Bonheur Est Elle Une Illusion

de la fin des illusions, de l’idée que l’on se créait de la vérité. Lorsque l’idée de la vérité que l’on avait, était loin de la vérité vraie telle que l’on nous a dit l’individu peut réagir plus ou moins bien ; cela dépend des conséquences psychologiques de la nouvelle. Ainsi n’avons-nous pas du mal à accepter la vérité car elle nous blesse, ou blesse autrui ? Ne faut-il pas pour accepter la vérité suivre une révolution psychologique, passe par le rejet des préjugés ou des illusions que l’individu

I. L'illusion est un triste bonheur, une condition fausse et aliénante. La révélation de la vérité, au contraire, est libératrice, et nous fait accéder à un "gai savoir". L'illusion, l'étymologie nous le révèle, désigne une apparence trompeuse, une apparence flatteuse dont nous sommes les victimes, en principe consentantes : illudere, en latin, c'est « se jouer (de), se moquer (de) » (c'est un dérivé de ludere, « jouer » — qui donne le français ludique). Etre dans l'illusion, c'est donc être le

l'attachement (différent de dépendance) et un désir de fusion entre 2 êtres ou entre un être et une chose. Un attachement dont on attend en général spontanément le plaisir, voire le bonheur. Donc une question telle que : Doit-on se méfier de l’amour?, présuppose que l'amour, au lieu d'être une source de bien et de bonheur, serait quelquefois une source de souffrance, autant physique que morale. Dans ce cas, il serait de l'ordre de l'illusion et nous conduirait à l'erreur. Le texte sera divisé en plusieurs

au véritable bonheur, était partagée par l'ensemble des écoles philosophiques de l'antiquité gréco-latine, qui ont, à partir de principes souvent opposés, presque toutes abouti à préconiser une attitude consistant à se détacher du monde, entendons à se détacher de ce que la majorité des hommes recherche avidement. Ainsi que ce soit les stoïciens, qui condamnent la recherche du plaisir, ou les épicuriens, qui la louent, les uns comme les autres finissent par convenir que le vrai bonheur consiste dans

- Une aspiration universelle : L'ensemble des hommes aspirent au bonheur , qui semble etre le bien supreme ; le bonheur semble dependre de la fatalité ou du hasard , ce qu'on appelle aussi la "fortune".De nombreux philosophes ont cherché a definir ce qui constitue ce bien supreme afin de decouvrir les moyens d'y acceder. L'accord est pratiquement unanime: le bonheur c'est un etat durable de complete satisfaction,d' harmonie avec soi-même et avec le monde .Les divergences surgissent lorsqu'il

en essayant de la rendre convaincante, et non la recherche de la vérité. Pour celui qui a une opinion, l’important serait de convaincre les autres, non de la prouver. Dans ce cas, l’on se heurte au problème de la mauvaise foi : on va pour justifier une opinion « faire feu de tout bois » , utiliser tous les arguments, de tous les sophismes possibles. Il devient impossible de montrer la justesse d’une opinion, car on quitte le domaine de la recherche de vérité. II L’opinion a toujours tort. D’où

doté d’une âme. Elle lui permet de prendre des décisions libres découlant de sa volonté et de rien d’autre (Les passions de l’âme, 1649). L'individu face à la morale : - En tant qu’être de nature, l’homme est animé de désirs et de passions dont il recherche la satisfaction à tout prix. La liberté consiste alors en l’absence de toute contrainte ou loi pouvant s’opposer à cette satisfaction. La liberté équivaut à faire ce que l’on veut, à réaliser tous ces désirs. C’est ce que soutient le personnage de

l’illusion persiste et demeure comme le montrent les illusions des sens ; mais il y a aussi des illusions attachées à l’usage de la raison. Le sujet sera traité en trois questions : L’homme peut t’il se libérer de l’illusion ? Dans quelle mesure et à quelles conditions est-ce possible ? Quel est le rôle de la raison ? Pour savoir si l’homme à la possibilité de se libérer de l’illusion, il faut d’abord faire la distinction entre illusion et erreur. En effet, l’erreur doit être soigneusement

conception à ses yeux erronée, Voltaire ménage des rencontres et des voyages à son héros qui, du paradis illusoire du château de Thunder-ten-tronckh à la morale plus réfléchie du jardin final, en passant par le pays d’Eldorado, va découvrir que le bonheur de l’homme est aussi à construire. L’UTOPIE Définition du mot : en grec cela signifie « en aucun lieu : nulle part ». L’Utopie est au début un pays imaginaire où un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, mais dès le 18ème siècle,

place l 'hypothèse qu'on ne désire par le manque de l'autre où jadis nous étions dans un corps uni où l'on cherche notre moitié. L'origine du désirs serait la nostalgie de la perfection perdu qui guide la vie humaine par satisfaction et de bonheur dans la recherche de l'amour de l'autre. D'après Aristophane le désirs serait le guérisseur d'un manque, d'une blessure infligé aux hommes en raison de leur orgueil. De plus d'un point de vue non mythologique mais argumentatif, le désirs apparaît lors de