La Recherche Du Bonheur Est Elle Une Illusion

LE BONHEUR 1) LE PESSIMISTE : J’ai lu Epicure, Epictète, Pascal, Schopenhauer et même Sade, et j’ai cru comprendre que tout le bonheur de l’homme était dans le repos de l’esprit et du corps… Pour être enfin heureux, il faut s’anéantir en Dieu ou dans la Nature, devenir entièrement passif, disparaître. « Requiescat in pace », qu’il repose en paix ! – L’OPTIMISTE : Vous allez un peu vite. Le repos n’a de sens que par rapport à quelque activité et il n’a de saveur qu’après quelque effort. J’ai

Satisfaire tous ces désirs, est-ce être heureux ? INTRO : Le point commun entre désir et bonheur: le plaisir -désir attiré par une chose que l’on veut posséder * But premier : la possession * Résultat de la possession satisfaction du désir qui va produire un plaisir * But final le plaisir -bonheur état stable et durable de satisfaction, donc le plaisir moyen d’être heureux. =====> désir a pour fin le plaisir et la plaisir est un moyen d’être heureux Satisfaire tous ces

et satire la tradition du conte et fait appel aux connaissances livresques du lecteur. Candide risque de déclencher l’horloge du temps et le retour à une certaine réalité. On le voit avec le jeu d’échos présent dans le texte. C’est le monde des illusions : l’illusion aristocratique. La noblesse n’a, en effet, plus sa place au XVIII ème siècle. Elle se perd dans la vanité, se croit supérieure. Il y a également l’illusion romanesque : le roman est né en France au XVII ème siècle : c’est un genre secondaire

instants de bonheurs. Adrienne est une jeune fille aux cheveux d’or et bouclés, d’une voix sans pareille. Elle était issue d’une grande lignée, promise à une vie monastique. Elle est devenue religieuse au couvent de Saint-S. Sylvie est une jeune valoise d’une grande beauté, brune, le teint hâlé et les yeux sombres. Elle était dentellière et est devenue gantière. Elle va se marier avec le grand frisé. Aurélie est une actrice parisienne, blonde qui plait beaucoup au narrateur. Elle recherche la célébrité

moyen en vue d’une fin dont il faut déterminer la nature 2)Connaissance de soi serait en elle même vaine indépendaemment de toute recherche 2-connaître 1)S’oppose à ce qui est faux – nécéssairement vrai  • adéquation à la réalité = égalité entre le sujet connaissant et l’objet connu 2)On la considère de façon statique : comme le terme d’un processus recherche • soit médiate (raisonnement) • soit immédiate (expérience) 3)Peut aussi être considérée comme un processus, une dynamique 

LE BONHEUR Le bonheur, c’est ce que chacun désire, c’est la définition que l’on peut donner. C’est ce que chacun désire non en vue d’autre chose mais pour soi : à la question «pourquoi le bonheur ? », il n’y a pas de réponse, c’est bien parce que le bonheur vaut par soi, il est la satisfaction ultime. Le bonheur est le désirable absolu (( relatif). Le bonheur est le souverain bien, celui qui domine tous les autres, celui en vue de quoi tout est fait, il s’agit d’un but ultime. Si la définition

de la possibilité : il s’exprime à travers l’imagination. L’imagination est la fonction du désir. Le désir nourrit l’imagination et engendre des illusions ; à ne pas confondre avec erreur. L’erreur est de l’ordre du logique alors que l’illusion ne peut pas se corriger, seulement se dissiper. Les illusions personnelles : amour, bonheur, … Les illusions collectives : idéologies (nazisme et communisme) Contraste entre désir et réalité. Il faut distinguer désir et besoin. Le besoin se rattache

le progrès de l’humanité, à la fois au sens moral, historique et scientifique, car douter, c’est faire preuve d’esprit critique, d’autonomie. C’est ce que recherche Descartes : l’autonomie, la capacité de se donner par soi-même des lois en dehors de toute autorité extérieure et de toute influence passionnelle et émotionnelle. Il recherche une vérité absolument certaine sur laquelle fonder sa science. Il constate qu’il a été pendant longtemps passif sur le plan intellectuel puisqu’il considère qu’il

fois constitutif du désir et à la fois problématique. Ainsi le désir est à comprendre comme un manque, une tension, ou une recherche de la satisfaction. Se demander si désirer c’est nécessairement souffrir, c’est se demander si la souffrance accompagne fatalement le désir à chaque fois. Le rapport entre désir et souffrance est aussi le rapport entre désir et plaisir ou bonheur. Le « nécessairement » exprime l’idée d’une condition fondamentale, comme si le désir s’accompagnait nécessairement de souffrance

===) vérité (point de départ) Raison : hypothèse =) démonstration =) certitude=) vérité (vérité) B/ Ce que la raison refuse à la foi La religion se fonde sur des faits véritables, par ex ds le domaine judiciaire on va rechercher les faits. La foi, elle tente aussi d'expliquer quelque chose que l'on connaît pas. Elle répond elle aussi à un désir de savoir, la faiblesse de la foi c 'est qu'elle n'apporte pas de preuve. Dans le combat pour la vérité la science pense bien avoir