La Querelle Des Anciens Et Des Modernes

de la misère du royaume qui ternissent l'éclat du règne de Louis XIV. Mais aussi de part les différents problèmes politiques et sociaux. De plus, « La Querelle des Anciens et des Modernes », vers 1680, met en évidence la rupture entre l'art classique avec des artistes comme La Fontaine, Boileau ou La bruyère, nommés les Anciens, et les Modernes comme Corneille ou Charles Perrault qui sont fixés sur le présent et cherchent à innover. Néanmoins, le Classicisme persiste au XVIIIe siècle grâce à

justification, respect des codes dans des préfaces, des textes théoriques : Racine, Corneille, Molière ─ la contestation, volonté de se libérer des contraintes ─ Querelle des Anciens et des Modernes, en fin de siècle ─ Anciens : La Fontaine, La Bruyère, Boileau ─ Modernes : Bayle, Perrault, Fontenelle, Saint Evremont II.3. Les ombres du régime • Guerres, conscription, déficit financier, conditions de vie difficiles • Comparaison des paysans

dramaturge, et il réussit tout ce qu'il entreprend. En 1827 paraît Cromwell qui, complété par Hernani en 1830, fait voler les conventions classiques et inaugure le drame romantique. C'est le début d'un affrontement littéraire majeur antre anciens et modernes... la fameuse « bataille d'Hernani ». Les productions s'enchaînent dans tous les genres : Notre-Dame de Paris (1831), Ruy Blas (1838), Les Chants du crépuscule (1835)... Il épouse Adèle Foucher en 1822. Ils auront cinq enfants ensemble. De

celui était emprisonné par Louis XIV. 1664 Marguerite de Lorraine nomme LA FONTAINE gentilhomme ordinaire 1668 premier recueil de ses fables est publié. 1683 vocation de LA FONTAINEs à l’Académie française 1687 Querelles des anciens et des modernes : LA FONTAINE fait partie des anciens 1692 fables sont oublies en édition complète † 13.04.1695 à Paris Les fables de La FONTAINE « Mes fables sont une ample comédie en cent actes divers, Dont la scène est l’univers » Dans ses fables, La Fontaine peint

Wölfflin (1864-1945), dans Renaissance et Baroque , définit le baroque comme un « mouvement importé en masse », un art antithèse de l’art de la Renaissance. Il ne fait pas de distinctions entre le maniérisme et le baroque, ce que font les auteurs modernes, et il ignore sa phase plus récente, le rococo qui s’épanouit dans la première moitié du xviiie siècle. En France et en GrandeBretagne, son étude n’est prise au sérieux qu’à partir de l’influence prédominante que Wölfflin acquiert au sein de l’école

sait néanmoins qu'il étudia au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième. Il y apprit surtout le latin, mais, soit par négligence, soit par paresse, ne s'intéressa pas au grec. Il le regrettera plus tard quand il aura besoin de certains textes anciens dont il ne pourra lire que les traductions latines. Entre temps, en 1647, son père le maria à Marie Héricart, alors âgée de 14 ans (1647). Mais ce mariage de complaisance ne fut pas un mariage heureux, c'est le moins que l'on puisse dire. Et malgré

intimement avec Molière, Boileau et Racine et écrit «les amours de Psyché et Cupidon» en 1669. En 1684, il est élu à l'Académie Francaise. Il est un excellent académicien, régulièrement présent aux séances. Dans la Querelle des Anciens et des Modernes, il se range résolument dans le clan des anciens qu'il défend avec acharnement. A l'Académie, il retrouve Boileau, Perrault, Furetière. Il meurt en 1695 à Paris.

'Contes et nouvelles', d'inspiration libertine, qui lui valent ses premiers grands succès, mais qu'il reniera pourtant à la fin de sa vie. Il fréquente les salons parisiens, est élu à l'Académie française. Alors que la querelle des Anciens et des Modernes débute, il se range du côté des Anciens. Il devient alors pieux (devaux). Le 9 février, La Fontaine est pris de faiblesse en revenant de l’Académie. Il meurt le 13 avril 16895. En procédant à la toilette mortuaire, on trouve sur lui un cilice. La Fontaine

à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des Anciens dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes. C'est en effet en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI des éditions actuelles

: L’erreur païenne (vers 27), allusion au polythéisme des Anciens. renforcer la sensation d’une antiquité ancienne, perdue dans la nuit des temps. À cette fin, les impersonnels on trouva (vers 11), on dit (vers 13) et on le vit (vers 15) traduisent la masse uniforme et grégaire de cette humanité. Il se réfère alors au poète inventeur des Dieux (Des Dieux dont il fut l’inventeur, vers 19), c’est-à-dire à Homère, le plus ancien poète grec connu, auteur de la Théogonie, généalogie des dieux