La Pudeur Du Patient

ce type de soin mais aussi avec Mme L. Présentation de la procédure d’action Je commence donc le soin en disposant une serviette sur le haut du corps de Mme L afin de maintenir sa température corporelle mais aussi pour respecter son intimité, sa pudeur et sa dignité. Je prépare ensuite le gant (mettre du savon avec de l’eau avec une température adaptée d’environ 36°). Je lui explique au même temps les gestes que j’effectue et dans quel but je les fais. La résidente étant rétractée, je prends en

 U.E 4.1 : Soins de confort et de bien-être TD 3 : Les différents besoins de la personne dépendante et les activités de soins proposés Le besoin d'être propre et de protéger ses téguments La patiente / Etude du cas clinique N°1 Madame D. Paula a 78 ans et souffre d’hémiplégie droite avec paralysie du bras (absence de mouvements dissociés des doigts, difficultés d’ouverture de la main) suite à un AVC. -> Le besoin que nous allons traiter est :  Le besoin d’être propre, c’est-à-dire

elle exprime la perte de contrôle des actes et de la pensée. Cette situation concerne une patiente de 48 ans, bipolaire. Cette pathologie alterne des épisodes de dépression et des épisodes d’euphorie exagérée. Madame M est hospitalisée depuis un an dans ce service pour des troubles maniaco-dépressifs déclenchés à la suite de séances de sismothérapie qu’elle a subies pour un état mélancolique. Cette patiente est en isolement, dû à son humeur « élevée », très euphorique et vite irritable, avec une

infirmière, le patient et sa famille. PRESENTATION DE LA SITUATION DE LA PERSONNE Raison et date d’entrée dans la structure : Monsieur B Georges a été admis le 7 janvier 2007 en service de réanimation de l’hôpital du val fleuri à Paris pour une insuffisance respiratoire grave. Antécédents médicaux ou chirurgicaux en rapport avec l’entrée dans la structure : Insuffisance respiratoire grave consécutive à une pneumonie Mode d’admission : SAMU IDENTITE INDIVIDUELLE ET FAMILIALE DU PATIENT : Monsieur

apporter. Les professionnels doivent collaborer pour assurer ensemble la mise en œuvre de l’aide. L’aide à apporter dans les activités quotidiennes est primordiale pour le patient. La mise en œuvre de la suppléance et de la stimulation sera efficace si l’ensemble des professionnels veilles au respect de la dignité, de la pudeur, montre un véritable intérêt pour la personne âgée, manifeste sa sincérité, sa compréhension, établit un climat de confiance. Pour limiter la perte d’autonomie, il faut privilégier

côté ouest. Ce service accueille des personnes en insuffisance rénale aigue et chronique, hémodialysés ou dialysés péritonéaux, des patients en projet de greffe. La mission principale de ce service est préventive, éducative, diagnostique, curative, palliative. Ma patiente en responsabilité est une dame âgée de 75 ans entrée le 13/11/12 en réa méd. pour choc septique sur pyélonéphrite aigue droite obstructive

femme de 68 ans atteinte d’un cancer généralisé dont elle n’est pas censée avoir connaissance. Elle vient d’être accueillie au centre de soins palliatifs les Espérels qui lui a été présenté comme un centre de repos dans lequel sont accueillis les patients suite à une hospitalisation. Lors de cet accueil, elle est accompagnée par son fils Paul car son mari, le Général, n’a pas souhaité faire le déplacement. Dès son entrée, Jeanne est consciente du fait qu’elle est en fin de vie. Elle surnomme l’établissement

d’apprentissage. 3) + L’étudiant ne connait pas le patient dans sa globalité, il l’a vu les jours précédent étant donné que c’est un patient que j’avais à charge. + Il connait l’objectif du soin étant de déterminé des valeurs biologique pour vérifier si elles sont dans les normales ou non, en l’occurrence la NFS, un Bic et une CRP. + Il prépare le matériel nécessaire après avoir informé le patient puis réalise le soin pendant que j’observe. 4) + Le patient était consentent et très légèrement angoissé

étroit (Usure des structures de la colonne vertébrale) avec trouble de la marche, une arthrose symptomatique du rachis (Maladie dégénérative articulaire), fait de la dépression et a des troubles cognitifs, la patiente présente une incapacité à réaliser ses autos soins d’hygiène. La patiente ne mobilise plus ses membres supérieurs et inférieurs. De ce fait, une toilette totale au lit lui est effectuée chaque jour. Elle se déplace avec l’aide de son fauteuil roulant et d’une tierce personne qui l’aide

C’est un patient dépendant, la toilette complète (plus soins de bouche, capiluve, pédiluve) est effectuée au lit par les 2 aides soignantes. Il bénéficie d’un matelas a air pour la prévention d’escarre, il a une aspi en chambre, une sonde naso-gastrique et une sonde à Demeur (S.A.D). Le 9/10/2013 a 7h30 je rentre dans la chambre de Mr.V pour lui faire sa toilette. Ne le connaissant pas je m’adresse a lui et m’étonne de ne pas avoir de réponse, l’aide soignante m’informe que ce patient à étais hospitalisé