La Procédure Pénale Des Mineurs Délinquants

cas où aucune règle juridique n'impose de recourir aux juridictions étatiques. Le plus souvent, la décision de recourir à l'arbitrage est prise alors que le litige existe déjà. On parle alors de compromis d'arbitrage. Article 1447 du code de procédure civile: Le compromis d'arbitrage est la convention par laquelle les partis à un litige ne soumettent celui-ci à l'arbitrage d'un ou de plusieurs personnes. Il arrive également que cet accord soit antérieur au litige. Il est fréquent que les

Droit pénal : Titre I. La notion de droit pénal Chapitre 1. La notion de droit pénal Ce premier chapitre est consacré à la définition du droit pénal et de ses contours. Nous y aborderons successivement les questions suivantes : définition, finalités, objet, nature, autonomie, divisions et sources du droit pénal. Section 1. Définition et distinction avec d’autres notions &1. Définition La doctrine regorge de définitions du « droit pénal ». L’intérêt de les confronter est

psychopathique et dites délinquantes l’auteur pas nécessairement violent physique, mais n’accorde aucun attention au bien-être de la victime * niveau de dangerosité du délit : * intention par rapport à la victime * potentiel de récidive * statistiques : 1- auteurs d’infraction sexuel sont essentiellement des hommes 2- majorité des cas d’abus sexuel sur mineur révèlent de la sphère intrafamiliale 3- théorie du « cycle de l’abus » 4- chez le délinquant, diversité d’expérience

Droit Pénal Informations pratiques Professeur: Geneviève Schamps bureau C123 010 47 46 71 mail: genevieve.schamps@uclouvain.be modèle d'examen présent sur I-campus Examen écrit, suscitant la réflexion au départ d'un cas, d'une analyse d'extrait de décision. Code peut être apporté à l'examen, fluoté mais pas annoté. Les éventuelles nouvelles lois non présentes dans les codes peuvent être imprimées et amenées à l'examen. Objectifs du cours de droit pénal

pour les litiges entres particuliers (intérêts privés). C’est aussi une juridiction chargée de la justice pénale, des comportements antisociaux par la répression. Lors d’un procès pénal c’est l’état contre un particulier. Le principe de l’unité de la justice civile et pénale : toutes ces juridictions sont soumises au contrôle unique de la cours de cassation. Les structures civiles et pénales sont les mêmes. Il y a une hiérarchie de ces structures : 3) le conseil d’état et la cour de cassation

douanière constituent des agissements pénalement répréhensibles. Ainsi, la moindre irrégularité commise dans l’accomplissement d’une formalité douanière constitue une contravention (article 410 du CD) et semble tomber dans le champ d’application du droit pénal. De plus, il est admis que les infractions douanières peuvent donner lieu, soit à des peines proprement dites, soit à des sanctions fiscales. C’est ce que rappelle l’article 343 du CD, qui répartit les compétences en matière de poursuites entre le

Cours de Droit Pénal | Bibliographie :-    PRADEL « du droit pénal général »-    BOULOC « du droit pénal général »-    DESPORTES ; LE GUNEHEC « Droit pénal général » Le Droit pénal apparaît comme la vitrine du Droit en général. Lorsque l’on parle de ‘’Justice’’, c’est la justice pénal qui s’impose au citoyen ordinaire. Il fascine l’opinion, puisque le Droit pénal pose les interdits fondamentaux de la société, il trace la frontière entre ce qui est licite et illicite, touchant ainsi aux limites

nationales appropriées au contrôle des drogues. • Etablir une classification nationale des différentes drogues au moins aussi stricte que celle retenue dans les précédentes conventions. • Associer à chaque activité liée aux drogues un dispositif pénal déterminé. Si l'incrimination de l'usage est laissée à la discrétion de chaque pays, la possession et le trafic de drogue doivent être systématiquement incriminés et poursuivis. • Mettre en place des dispositifs de réduction des risques et de

parfaire ma connaissance de l’adolescent, tant dans sa famille qu’avec ses pairs. Pour autant, un domaine de la prise en charge me restait quasi impossible à explorer, celui de l’adolescent « délinquant » ; c’est-à-dire pour lequel, en dehors, ou, ajouté aux mesures éducatives, s’exerçait une mesure pénale telle que CJ, LSP, TIG ou encore une condamnation telles que LS, SME ou la prison. Hasard ou coïncidence, à la faveur d’une parenthèse professionnelle, et personnelle, j’ai rencontré le directeur

L’Ordonnance de 1945 a connu plusieurs modifications : * 1951 : la cour d’assises des mineurs est créée ; elle a en charge de juger les jeunes auteurs de crimes âgés de 16 ans au moment des faits et de mettre en place une mesure de suivi éducatif en accompagnement de peine. * 1975 : la mise sous protection judiciaire est créée. Le juge a plus de souplesse dans le suivi d’un mineur condamné. * 1983 : le Parlement adopte la mesure de réparation. *1985 : l’obligation est faite