La Politisation De La Justice

à supprimer la vie d’une personne sans aucune forme de procès, basée sur des motivations matérielles, sociales… ; l’exécution extrajudiciaire, comme son appellation l’indique, elle se pratique en absence de toute justice d’origine légale ; la vengeance privée consiste à se faire justice soi-même, une situation qui peut créer une atmosphère d’anarchie au sein d’un Etat; la légitime défense est une autorisation accordée par la loi à la victime de réagir à une agression instantanée et sa mise en pratique

sous-jacentes seront plus ou moins bien perçues. (Histoire des tasses cassées involontairement…) 3.1.3 Le concept de justice immanente C’est le lien entre transgression et conséquence de l’acte (justice par rapport à une transgression). PIAGET pose des questions aux enfants par rapport à la justice immanente. On observe que les enfants plus ils grandissent plus il y a rejet de la justice immanente. La culture interfère dans le fait que l’enfant ait une pensée immanente. La contrainte adulte s’exprime

reconnue par tous. Par exemple : L’injustice qui m’arrive, c’est la même que celle subie par le capitaine Dreyfus : j’attends donc la même mobilisation pour moi que pour lui. Ce qui compte, dans la réussite d’un mouvement social, ce n’est pas la justice de la cause (qu’elle soit juste), c’est la justesse de l’opération d’agrandissement. C’est-à-dire est-ce que l’agrandissement est bien ajusté : un trop grand agrandissement nous rend moins crédible. Il n’est pas absolument pas évident qu’un mouvement

impératif le plus souvent imposé par la collectivité à elle-même dont le non-respect expose à une punition. Les lois positives, qui constituent le droit positif découlent « normalement » du droit naturel, qui repose essentiellement sur des exigences de justice; c’est en quoi elles obligent en conscience Cependant, « notre conscience est au-dessus de la loi, et tout ce qui est légal n’est pas forcément moral » et c’est là que peut intervenir la réflexion éthique. L’apparition de l’éthique Les faits tels

 personne  morale  de  droit  public  à  compétence  générale.   -­‐ C’est  un  sujet  de  droit.     -­‐ Assure  la  pérennité.   -­‐ Dispose  d’un  patrimoine.   -­‐ Peut  ester  en  justice.     La  souveraineté.     La  souveraineté  c’est  le  pouvoir  absolu  et  inconditionné.   -­‐ «  La  souveraineté  c’est  la  discrétionnalité  totale.  »  -­‐  Charles

adopter une neutralité politique, qui les mettrait à l’abri de toute manipulation des politiciens. En effet, on observe dans certains pays que les dirigeants utilisent l’armée pour protéger leur régime. C’est le phénomène que l’on appelle « la politisation de l’armée »[22]. Mais la première cause de cette intrusion des forces de défense et de sécurité en politique demeure sans doute les limites de sa formation et l’insuffisance de ses moyens. La formation militaire vise à inculquer non seulement

tout dans l’Etat repose sur la politique définie comme l’art de vivre ensemble c’est-à-dire de maintenir ensemble les hommes en vue d’une certaine fin. Georges Burdeau qui s’inscrit dans la logique aristotélienne parle de l’irréductibilité de la politisation sociale ; il considère que toute société implique, par son existence même, l’accomplissement dans son sein, d’une activité régulatrice et coordonatrice grâce à laquelle, la cohésion de l’ensemble est maintenu et éventuellement renforcée (BURDEAU

développement, domaines dont peut dépendre en grande partie le progrès économique d'une nation."[23] Léon Duguit écrit moins d'un siècle plus tôt : "Les gouvernants modernes ne doivent plus seulement à leurs gouvernés la police et la justice proprement dites, mais encore ce que certains publicistes appellent d'un mot commode la culture, à savoir l'enseignement, l'assistance, l'hygiène, la protection du travail, les transports, etc., etc. Il va de soi que cette multiplicité et cette variété

Jonas Margot & Antoine Margot - SIE Les limites de l’aide humanitaire Table des matières Les risques politiques................................................................................................................ 42 La « politisation » de l’humanitaire ................................................................................................. 42 L’approche puriste........................................................................................................

autonome – hier la Haute autorité, aujourd’hui la Commission – doté d’un pouvoir d’initiative législative ; la possibilité de voter l’adoption de décisions contraignantes ; l’octroi de pouvoirs de sanction à une juridiction supranationale, la Cour de justice. Un des éléments les plus remarquables de ce système institutionnel a été sa stabilité. Soixante ans plus tard, le nombre des pays membres a été multiplié par quatre ; l’Union compte plus de 500 millions de citoyens et les traités fon- Le pouvoir