La Politisation De La Justice

objets : le matériel ou non dont on peut jouir ou trafiquer au sens s'échanger : les objets = les res 3/ : les actions peuvent accomplir les personnes: les paroles et gestes des acteurs, les paroles dont ils usent dans un procès, les actions en justice : les actiones. Le droit des personnes c'est donc le droit qui est relatif aux acteurs sur la scène du droit. Le code civil livre les grandes distinctions qui sont à faire au sein des personnes et nous livre, nous donne un droit relatif au personne

arguments pour et contre. L’hésitation s’annonce rapide car les arguments pour la peine de mort se multiplient. Les principaux arguments pour la peine de mort sont : - le châtiment : la peine de mort s'impose comme le moyen le plus efficace pour "rendre justice". - la dissuasion : elle dissuade d'autres personnes de commettre des crimes graves. Quoique de récentes études aient démontrées que l'opinion américaine était toujours plus partagée sur ce sujet. - la prévention : la peine de mort prévient le retour

Ramaroson sous Ratsiraka ; Andrianarivo et Rajaonarivelo sous Ravalomanana ; Raharinaivo et consorts sous Rajoelina etc.). Dans certains de ses communiqués récents, le Syndicat des magistrats de Madagascar (SMM) lui-même a dénoncé cette politisation de la justice, ce qui ôte à cette institution toute possibilité de servir de recours impartial contre les abus du pouvoir. Si la Magistrature avait su donner gage de sa respectabilité en 2001/2002 et 2008/2009, Marc Ravalomanana ou Andry Rajoelina auraient

C’est l’histoire de cette différenciation qu’il faut faire (ex de l’Eglise). 3 conséquences :  Il faut observer et ne pas naturaliser notre conception politique (autour de l’Etat et de la démocratie).  Il faut observer les phénomènes de politisation (sport, cinéma, littérature, etc.). Il y a des luttes sociales autour de la frontière du politique. (mai 1968 : « tout est politique »).  Il faut observer les sociétés différentes qui construisent le politique différemment, par une autre régulation

démocratie représentative : « épurer et élargir l’esprit publiqe en le faisant passer par l’intermédiaire corps choisi de citiooyxne dont la le sagesse et le mieux a même discerner le véritable intérêt du pays et dont la patriotisme et l’amour de la justice seront les moins susceptible de sacrifier cet intérêt à des considérations éphémère ou partielles. » C’est une justification d’un système censitaire où les plus sages occupent les postes de pouvoir, qui interprètent l’intérêt du pays. Le peuple serait

reconnaissance politique de la Palestine. Le rachat du quotidien le Parisien par DASSAUT a suscité des réactions politiques pour dénoncer la main mise. =) 2e dimension Ce fait varie dans le temps et dans l’espace (n’est pas partout politique). La politisation varie dans l’espace i.e. il n y a pas le même rapport en fonction des pays. Exemple : la question de mœurs privées de dirigeant politique (Aux USA – c’est un problème politique mais pas en France). La séparation du politique à la religion. Cette

partis politiques, les syndicats, les associations humanitaires, les gouvernements et les organisations internationales. Les droits de l’homme sont devenus un instrument de combat devant les opinions publiques et paraissent subir une extrême politisation générant leur perversion. ---------------------------------- (°) : Sans ordre de mérite. Celui enfin du droit positif des droits de l’homme, avec les mécanismes institutionnels de garantie qui s’y rattachent. Le droit positif des droits de

1 QU’EST-CE QUE LA JUSTICE TRANSITIONNELLE ? Par Mark Freeman et Dorothée Marotine 1, 19 November 2007 Introduction Section 1 : l’histoire et la théorie de la justice transitionnelle Section 2 : les poursuites pénales 2.1 L’obligation de poursuivre pénalement 2.2 Les caractéristiques des poursuites pénales 2.3 Poursuites nationales ou internationales ? 2.4 La Cour Pénale Internationale 2.5 Les amnisties Section 3 : les commissions vérité et autres mécanismes d’enquête 3.1 Les commissions

développées dans le domaine de la prévention général, celui du renforcement des moyens afin d’aider la police à gérer le désordre et enfin dans le domaine de la justice afin d’accélérer le traitement judiciaire de la petite délinquance. Ainsi, l’apparente dépolitisation de la question de l’insécurité cache en réalité une forte politisation de la question empêchant les représentants démocratiques d’engager une réelle réflexion sur les réformes de fond à engager en analysant concrètement les causes

constitués au profit de l’État, c’est-à-dire sur les administrations qui gèrent ces monopoles comme l’armée, la police ou les finances. Du fait du monopole acquis par l’État, toute une partie des administrations a trait à l’État : cela prend le nom de justice, prison, police, armée, finance… ces fonctions régaliennes sont extrêmement importantes et prennent une part importante du budget de l’État. « Dans les démocraties parlementaires, la lutte pour conquérir l’adhésion des citoyens, notamment leur vote