La Politique Monétaire Est Elle Efficace

L’inflation est toujours et partout un phénomène d’origine monétaire. Que penser de cette affirmation à la lueur de l’expérience historique française ? L’inflation, qui correspond à une augmentation générale, auto-entretenue et cumulative des prix, est le mal qu’il faut combattre selon les monétaristes. Si on admet qu’elle est toujours et partout d’origine monétaire, les États ont effectivement des moyens pour lutter. Mais cette analyse déjà présente au 16ème siècle ne peut recouvrir

L’Etat et la politique économique Sommaire Introduction | | I. Notion d’un modèle économique ………………… | 2 | II. Historique : les écoles de pensée ………………… | 2 | 1. L’école classique : Adam Smith…………………………………… | 2 | a) L’intervention de l’Etat selon Adam Smith …………………………... | 2 | b) Adam Smith et la main invisible ………………………………………. | 3 |

Chapitre 13 : LA POLITIQUE MONÉTAIRE ET SES LIMITES La création monétaire est aujourd’hui massivement le fait des banques commerciales, à travers la distribution de crédits à l’économie. Cette situation, qui porte en germe un risque d’inflation lié à un excès de distribution de crédits, amène les autorités (gouvernements et banques centrales) à mettre en place des mécanismes de contrôle de l’activité bancaire, avec pour objectif de contrôler le rythme de progression des moyens de paiement

. Les principales caractéristiques de la politique monétaire de la BCE depuis 1999. I-1 La BCE agit comme une banque centrale nationale. a- Elle agit sur les taux d'intérêts… Par une politique d'open market. (Document 16). Par les réserves obligatoires. (Document 16). Elle encadre les taux d'intérêt du marché monétaire interbancaire (document 17). b- …pour lutter prioritairement contre l'inflation. (Document 16). I-2 La politique monétaire de la BCE, inscrite dans le contexte de la mondialisation

l’intérêt général. La base de la pensée keynésienne réside dans le fait de considérer que la demande effective (= niveau de la consommation et le niveau de l’investissement) détermine le niveau de production donc le niveau de l’emploi. Les stratégies politiques de relance keynésienne se fondent également sur l’importance du rôle de l’Etat dans l’économie. Il ne croit pas à l’autorégulation de l’économie par les lois du marché : l’Etat doit intervenir en tant qu’agent régulateur car le capitalisme livré

premier cas, les autorités politiques déterminent les taux de changes officiels et interviennent sur le marché des changes afin de maintenir le niveau choisi, avec plus ou moins de succès. Dans le second, la parité dépend des achats et des ventes de devises sur le marché : typiquement, plus la monnaie est demandée, plus son cours monte. Le plus souvent, le régime de change est de type intermédiaire : le marché joue un rôle prépondérant, mais rares sont les autorités monétaires qui se désintéressent

déficit conjoncturel. Il est d’ailleurs symptomatique que le rapport ne propose pas de simulation montrant les effets macroéconomiques de cette stratégie. Elle ne peut être entreprise qu’en période de forte croissance ou couplée à une forte impulsion monétaire. FAUT-IL REDUIRE LE DEFICIT BUDGETAIRE ? Introduction : _ Amorce = Le projet de loi de finance pour l’année 2009 prévoit un déficit de 52 milliards d’€, soit 2,7% du PIB. Le gouvernement français pense que l’équilibre budgétaire ne sera

Etat minimal 1. L’Etat minimal d’Adam Smith Smith s’oppose au mercantilisme (Antoine de Montchrestien ou Jean Bodin), courant qui pense que l’Etat doit intervenir pour favoriser le cumul des richesses. Smith affirme que le mercantilisme est peu efficace et même dangereux. Il est nécessaire de laisser jouer la « main invisible ». L’Etat doit être un Etat minimal, un Etat gendarme comme le nomme Antonio Gramsci. Il doit limiter son intervention à trois fonctions : * Protéger la nation contre

des États dans la conduite de leur politique économique. L'intégration financière impose également des contraintes au plan de la politique monétaire et du change. Pour autant, l'existence de contraintes ne signifie pas l'absence de choix. Ni la paralysie de la gouvernance mais cette dernière doit s'appuyer sur des institutions internationales fortes dont la légitimité reste à reconstruire. •  La politique économique sous contrainte Au niveau des politiques structurelles – qui visent à modifier

été un des architectes de la Conférence monétaire et financière internationale des Nations Unies en 1944. Un nouveau Bretton Woods? James M. Boughton L’Histoire nous montre que la réforme du système monétaire international requiert une volonté politique et une large participation L ORSQUE le Président Sarkozy et le Premier ministre Gordon Brown ont souhaité un nouveau Bretton Woods en octobre 2008, ils se référaient au succès de la Conférence monétaire et financière internationale organisée dans