La Politique Familiale De Vichy

LA FRANCE POLITIQUE ET SOCIALE DEPUIS 1945 A. L’APRÈS-GUERRE 1. Les désastres de la guerre Quand la guerre prend fin en Europe le 8 mai 1945, tous les pays d’Europe continentale qui ont pris part au conflit sont ruinés. La France peut- être plus que les autres pays occidentaux. Sa situation démographique, déjà précaire en 1939, est catastrophique: plus de 600000 Français, civils et mili­taires, sont morts (c’est plus que la somme des pertes militaires et

régime de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses parents Louis BERNARD et Louise VINCENT tous deux issus d’une famille de paysan quittent leur région natale à la naissance de Lucie pour rejoindre Paris et y ouvrir un bistrot. Son père étant malade, ils quittent leur bistrot pour travailler ensemble dans une blanchisserie un an plus tard peu après la naissance de Jeanne, l'unique sœur de Lucie. La vie de la famille BERNARD fut mouvementée tant sur le plan professionnel que familial jusqu’en

17 à 31 ) : 14&15-09-44 : Lyon ; 15-09 : Marseille-destruction, misère, communistes, attitude de compromis des autorités ; 15-09 : Toulon: –spectacle encourageant de la marine- ; 16&17-09 : Toulouse : Ravanel (PC) profite de la situation = Vichy, sévices allds, Espagne, départ pour la 1ère armée des meilleurs élts > épuration sauvage vs soutien populaire à DG et mesures fermes = lever la relégation des casernes, interdire accès Pyrénées, Hilaire en Angleterre ; 17-09 : Bordeaux –proximité

de : Loris KULTCHEYAN et Ethan FLAK 1/La constitution du procès en événement médiatique -De l’affaire au procès : construction médiatique, politique et judiciaire -Ingrédients d’un procès à part -Amplification médiatique -Événements dans l’événement : la question de l’intelligibilité 2/La crise de la logique juridique -Le questionnement pénal : une logique en état de crise ? 3/Un événement

Cette définition de la liberté va évoluer vers ce qu’on appelle aujourd'hui le « libre arbitre ». La conception philosophique de la liberté est donc le libre-arbitre, la possibilité d’agir selon sa propre détermination. Cela rejoint la définition politique : celui qui détermine les choix de la cité sans contrainte extérieure. Le professeur Wachsmann rappelle cette définition de la liberté : la liberté marque l’absence de contrainte sociale, l’indépendance de l’individu. La liberté est l’indépendance

mairie ? 2 La santé, enjeu politique Affiche, années 1945-1950. 1 De quel organisme cette affiche émane-t-elle ? 2 Quels nouveaux objectifs se donne la démocratie ? 33 A – Moments et actes fondateurs (1880-1946) Cours 1 Une République parlementaire ➜ Comment le régime politique français s’est-il mis en place ? Président de la République A. Les difficiles débuts de la République ■ De 1789 à 1870, la France a connu beaucoup de régimes politiques, dont trois monarchies constitutionnelles

encore occupée) ; ce gouvernement s’installe à Paris en août et est alors composé des grands partis politiques de la résistance (P.C.F.+S.F.I.O.+M.R.P.). c) La guerre civile est évitée : de Gaulle craint un coup d’état communiste, mais le P.C.F. soutient le gouvernement et rend ses armes ; la période est marquée par une «épuration » (jugement des collaborateurs) qui reste modérée (les fonctionnaires de Vichy restent en place ; ex : Maurice Papon). 2) Bâtir une France nouvelle : le pays est en ruines

Rejet des étrangers dans les années 1930 (crise éco, Vichy loi 1934, expulsions) B) 1945-1975 : Une forte poussée de l’immigration -Trente glorieuses : immigration éco (main d’œuvre OS, BTP, Office national d’immigration) - Des origines renouvelées (portugais, magrébins, condition de vie difficiles) C) Depuis 1975 : les immigrés victimes de la « croissance dépressive » -Rupture des années 1970 (regroupement familial clandestin, -européens, -intégration) -L’intégration

forces politiques partagent la conviction que la croissance, orchestrée par un "Etat modernisateur", fournira les moyens nécessaires à la réalisation des "droits sociaux", constituant des enjeux de pouvoir. Mais alors, pourquoi le Préambule de 1946 est-il resté un modèle incontournable de notre constitution actuelle, en matière de Liberté, en sachant que ce texte est l'expression d'une contradiction politique non résolue et qu’il reflète ou sous entend des principes de philosophie politique ou de

au-delà ? Quelles sont les ruptures et les concepts qui entrainent l’évolution historiographique sur le sujet ? Quel est l’apport des sciences sociales ou humaines (sémiologie, sociologie) ?, Est on face, en Histoire contemporaine, à une lecture politique systématique de l’histoire de la mémoire ? Y a-t-il encore instrumentalisation du fait historique, dans l’éclatement d’une « mondialisation » des mémoires ? Des exemples de ruptures et de transitions dans le rapport Histoire/Mémoires L’apparition