La Plaisanterie

Coluche : histoires d’un mec -SOMMAIRE- Introduction I. Un personnage provocateur dès ses débuts a. Il vient d’un milieu populaire b. Absence de langue de bois c. Son look, un acteur comique II. Un homme engagé a. D’une simple plaisanterie à une affaire d’Etat (ni de gauche ni de droite) Etude de document de deux affiches électorales de Coluche b. Son faux mariage avec Thierry Leluron c. Les restos du cœur III. Coluche aujourd’hui a. La tournée des enfoirés b. Enquête

| | | | |2. Le comique de mots |Des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire. | |3. Le comique de gestes |Les didascalies de l'auteur ou les inventions du metteur en scène imposent aux acteurs des mouvements | |

manifestation même d’un sentiment de gaîté, mais également une forme d’exutoire permettant d’évacuer toutes sortes de tensions, ou encore de dédramatiser une situation donnée. L'humour est avant tout une qualité. Cependant, jusqu'où peut-on aller dans la plaisanterie ? Quand faut-il arrêter de blaguer ? N'y a-t-il pas des rires plus ou moins acceptables d'un point de vue moral ? En effet, peut-on rire de tout ? Dans une première partie, nous mettrons en avance l’importance du rire pour l’humanité et les libertés

allons étudier Le badinage et le marivaudage dans l’oeuvre de marivaux les fausses confidences. On va commencer par définir ces termes, le mot marivaudage désigne une façon raffiné d’exprimer ses sentiments à autrui. Le badinage est liée à une plaisanterie légère. Comment le badinage et le marivaudage s’affronte-il dans l’oeuvre Marivaux ? Et quelles sont leur rôles dans le dialogue théâtrale ? 1°) Comment se manisfeste le badinage et le marivaudages dans le texte ? a)Dans la pièce de

dispensées sans le medium de la plaisanterie. Une autre erreur courante a été de fonder la thèse sur l’idée que le comique a une fonction didactique. Les copies notées en dessous de 7 présentent ce défaut (ou un autre) de compréhension du sujet, et non simplement un défaut dans le plan ou des lacunes. Certaines copies ainsi ne se contentent pas d’omettre une partie de la thèse mais ne tiennent pas compte de l’affirmation finale : il s’agit simplement de savoir si la plaisanterie est omniprésente dans l’œuvre

Peut-on rire de tout ? La liberté d’expression semble être l’un des fondements de notre monde moderne. Dans l’Ancien Régime, la censure au sens strict était d’application. Les propos injurieux, diffamatoires, mais aussi les plaisanteries contenues dans les satires étaient expurgés. Aujourd’hui, comme le rire semble bien l’expression la plus heureuse de la liberté d’expression, ne vit-on pas à une époque où l’on pourrait rire de tout ? La raison vient mettre en doute cette conjecture. En effet

il réunira style et plaisanterie. Toutes ses Satires seront ensuite attaquées par L’abbé Charles Cotin qui lui reprochera son manque de tact. Quelques exemples… Satire III. Le repas ridicule (1665) Cette satire est la description d’un repas ridicule fait par un homme de mauvais goût et plein de prétention. Boileau (le narrateur) raconte comment il a accepté une invitation devant laquelle il avait reculé un an en arrière. Il mêle beaucoup de ridicule et de plaisanterie. Satire IV. Les

conflits. Les thèmes à traiter sont présentées sous forme de situations-problèmes. III.2. Les relations à plaisanterie Les relations à plaisanterie sont un phénomène social au Burkina Faso et même dans toute l’Afrique au Sud du Sahara (Burkina, Mali, Guinée, Ghana, Côte d’Ivoire). Il existe deux types de relation à plaisanterie : l’alliance à plaisanterie et la parenté à plaisanterie. Se fondant sur un lien non familial, l’alliance à plaisan III.3. La négociation coopérative III.4. La

même des éléments indispensables à la littérature comique. Cependant, si Rabelais a été condamné pour obscénité, c’est bien que la grossièreté était en partie au moins perceptible. On peut alors aussi se poser la question de la fonction de la plaisanterie grossière et de l’obscénité. Questions : 1. Dégagez les grandes étapes du chapitre et montrez qu’elles correspondent aux étapes de l’accouchement. 2. En quoi peut-on dire que Rabelais célèbre ici les plaisirs du « bas corporel

sur l’utilisation commerciale qui en est faite : les publicitaires, dans ce domaine, peuvent-ils tout se permettre ? Le second porte sur l’humour : est-il toujours une excuse suffisante ? Je commence par ce dernier problème. Il existe des plaisanteries racistes, par exemple antisémites, dont certaines peuvent être drôles. Plusieurs de mes amis juifs ne dédaignent pas, à l’occasion, de m’en raconter. Mais ils ne supporteraient pas, et ils auraient raison, que j’en rie avec un antisémite, ni même