La Peur Selon Sartre

Ajuriaguerra s’appuiera sur la pensée philosophique majeure de son époque → la Phénoménologie : rapport de soi au monde, ce qui apparaît dans ma pensée au moment où je pense Nous examinerons successivement les apports d’Husserl, de Merleau-Ponty et de Sartre au regard des notions considérées aujourd’hui comme fondamentales en Psychomotricité : Les notions de : - Corps et de corporéité, - d’espace et de temps déclinés sous la forme de schéma corporel, de conscience de soi, d’expérience, d’intuition

par exemple à la limite du langage ou à celle des moyens utilisés. Dès lors on peut donc se demander si nous sommes réellement les mieux placés pour nous connaitre, si cette connaissance de nous même est complète ou bien si l’homme n’aurait-il pas peur de ce que cette recherche pourrait lui révéler et s’il dispose réellement de la volonté de se connaitre ? I (a) Le premier aspect de la connaissance de soi a tout d’abord été démontré par la citation de Descartes : "Je pense donc je suis", qui

hommes) se réfugient dans la volonté de Dieu donc dans cet asile de l'ignorance évoqué ci dessus. Une preuve peut se définir comme étant une démarche, une procédure qui amène l’esprit à admettre la vérité d’une affirmation tandis qu’un préjugé est, selon Alain dans les Arts et les Dieux, « ce qui est jugé d’avance, c’est-à-dire avant qu’on se soit instruit ». II) En pratique, une preuve ne peut pas grand-chose contre un préjugé. D’une part, un préjugé ne s'appuyant sur rien, il n'a que faire de

mouton en pleine confiance au lieu de reprendre les deux seuls dessins qu’il avait faits à l’âge de six ans. Ou il aurait directement peint pour le petit prince une caisse avec un mouton dormant dedans et aurait chuchoté pour ne pas le réveiller. De peur de mort dans le désert, il s’est impatienté et a refusé à répondre aux questions du petit prince sur les épines des roses en disant : « Mais non ! Mais non ! Je ne crois rien ! J’ai répondu n’importe quoi. Je m’occupe, moi, des choses sérieuses ! »[25]

d'autant plus nécessaire afin de lutter contre ce conditionnement. Ce travail ne se fait pas qu’intérieurement, il oblige à prendre en compte la société qui nous entoure puisque malgré cette envie d'être nous-même il y a peut-être la peur du regard de l'autre, la peur de ne pas « être comme tout le monde ». Dans ce cas cette image de nous correspond à celle que les gens veulent voir et non à celle que nous sommes réellement. On croit se connaître jusqu'au moment où nous nous demandons si nous sommes

Peut-on avoir peur d’être libre ? La liberté d’un individu est une notion très subjective et responsable d’un grand nombre de polémiques et conflits dans la société humaine. Elle peut être définie de bien différentes manières et peut donc recouvrir une multitude de visages en fonction du sens qu’on lui donne et de l’idée que l’on s’en fait. Si l’on fait l’expérience de demander aux passants dans la rue d’un pays comme la France ce qu’ils entendent par « être libre », une grande majorité répondront

compris, presque intuitivement, les limites du projet communiste et ainsi proposaient un engagement individuel « humaniste ». Mais le point commun à tous les intellectuels qui ont participé à ce grand débat, quasi mythifié, par la controverse entre Sartre et Camus, c’est qu’ils envisageaient tous l’action, l’engagement, comme une nécessité vitale. Depuis cette époque, aucun penseur n’a osé considérer l’individualisme comme une fin en soi. Il y a bien eu quelques philosophes comme Fukoyama dont la

rôle de miroir mais aussi un rôle de mise en évidence des problèmes. * Hugo il dénonce ce qui ne va pas dans la société. Il vise à éveiller les consciences. * Sartre Le rôle de l’écrivain selon Sartre est une idée de dévoilement du monde et plus précisément de l’homme à d’autres hommes. Il le compare même à des armes. Sartre veut qu’on dénonce des choses qu’on sait. Il doit donc faire attention, il a une certaine responsabilité. L’écrivain dévoile tout cela pour aider l’homme à comprendre

moi. Déjà nous pouvons arguer de la présence de sentiments tels que la gêne ou la honte qui viennent confirmer que je me soucie de ce que les autres pensent de moi. Par exemple, si nous ne faisons pas de roulade nu dans la cours du lycée c’est par peur de l’avis des autres. En outre, techniquement, le regard des autres restreint mes actions. De même, quand je reçois des critiques des autres, elles peuvent m’influencer et donc me changer. Par exemple, si je dis à une personne qu’elle est bonne en

formant et se superposant dans le chaos. Selon Descartes, l'être humain est: «une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'aucune chose matérielle». A priori, les lettres ont pu fixer l’esprit en mouvement sur l’intemporalité du papier. Donnant alors un cadre précis et concis permettant alors d’exprimer ses idées de manière organisée et compréhensible. La rhétorique, la capacité selon Viktorovitch d’exprimer verbalement