La Peste Métaphore

pour enseigner ou pour encourager le lecteur à jeter un regard critique sur le monde qui l'entoure, certains genres de la littérature se sont brillamment prêter à l'instruction de leurs destinataires. Jean de la Fontaine joue avec finesse sur les métaphores pour mettre à jour et critiquer les dysfonctionnements du pouvoir en place. Ce contemporain de la cour de Louis XIV, utilise la fable pour servir son propos. L'instruction du lecteur passe par la morale proposée dans chaque fable, qui introduit

petit nombre de privilégié (l.22-23 « Parce que Yaneck n’a pas tué ces deux-là, des milliers d’enfants russes mourront de faim pendant des années encore »). * Il fait preuve d’inhumanité et s’oppose à la sensibilité des enfants lorsqu’il utilise les métaphores « les deux chiens savants » et « ces niaiseries » pour les qualifier l.1. Le pronom démonstratif « ces » montre un total détachement de la part de Stephan vis-à-vis de ces enfants. * Il veut libérer l’humanité avec elle ou malgré elle comme nous

Thérès Desqueyroux, 1927. C'est un roman qui "peint" la vie provinciale, et qui évoque le conflit de la chair et de la foi. L'exaltation de l'honneur des héros guerriers: Malraux, L'Espoir, 1937. Vol de nuit, Saint-Exupéry, 1931. La peste, Camus, 1947. Le siècle est également riche de la profusion des formes populaires issues du XIXe siècle comme le roman policier peu à peu influencé par le roman noir américain avec Georges Simenon, (Le chien jaune, 1932), Boileau-Narcejac (Celle

le séduire par ses belles parole => donc n'a pas confiance en le Singe et le fit exécuté vers 24 à 25  « Sa sotte flatterie eut un mauvais succès, et fut encore puni » le encore nous montre que le Singe a eut la même punition que l'Ours. -métaphore : le roi est comparé à Caligula ( quant mourut sa sœur, il fit mourir tous ceux qui ne pleuraient pas, mais aussi ceux qui pleuraient, puisqu'il ne les croyait pas => beaucoup de mort => violence et tyrannie vers 27 « Fut parent de Caligula »

« Rat et l’Huître » est puni de mort, le Pigeon des « Deux Pigeons » manque de peu lui aussi la mort, on ne l’y reprendra plus, le Lion et sa cour sont inexorablement sots et cruels dans « les obsèques de la Lionne » ou dans « Les animaux malade de la Peste », il n’arrive rien de bon aux pédants dans « Le Lièvre et la Tortue » et dans « Le Rat et l’Huître ». Un certain fatalisme peut donc toucher le lecteur - chacune de ces situations résulte de la véritable existence -, la vie se répète et personne n’en

exploitant toutes les ressources de la parole. Il paraît d’autant plus dangereux qu’il manie brillamment l’art de frapper l’imagination de son interlocuteur : il faut selon lui, « entrer » dans le monde « comme un boulet d e canon ou s’y glisser comme une peste ». Il en vient même à suggérer à Rastignac d’être complice d’un meurtre. Son absence totale de conscience morale et ses qualités d’orateur parviennent à fasciner Rastignac et font de lui un tentateur inquiétant. Associer argument, exemple et commentaire

Tant feirent et tracasserent, pillant et larronnant, qu'ilz arriverent à Seuillé, et detrousserent hommes et femmes, et prindrent ce qu'ilz peurent : rien ne leurs feut ne trop chault ne trop pesant. Combien que la peste y feust par la plus grande part des maisons, ilz entroient partout, ravissoient tout ce qu'estoit dedans, et jamais nul n'en print dangier, qui est cas assez merveilleux : car les curez, vicaires, prescheurs, medicins, chirurgiens et apothecaires qui alloient visiter, penser, guerir

mouvement de l’esprit. L’imaginable ne renvoi qu’à l’étendue : en mettant l’accent sur le caractère matériel de l’imagination, Malebranche peut en arriver à dire qu’imaginer Dieu est une erreur. C’est ce thème de la trace qui justifie l’emploi de la métaphore de la gravure pour évoquer l’action de l’âme par rapport aux deux choses que l’imagination met en jeu dans le corps : les esprits animaux et les fibres du cerveau. Descartes, dans le Discours de la méthode défini ainsi les esprits animaux : « un

récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique. Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comique. Dans « Les animaux malades de la peste » qui est un écrit de La Fontaine extrait du Livre VII dans lequel nous retrouvons les deux fonctions classiques de l’apologue, Plaire et instruire. Cette fable est amusante mais à une visée didactique, également satirique. Il s’agit en fait d’une

sa femme et son fils" souligne la cruauté de la Reine Lionne. Cependant, la ruse du cerf provoque un second retournement de situation puisqu'on s'attend à ce que l'animal soit tué pour plaire au Roi, comme le baudet dans "Les animaux malades de la peste". Finalement, ayant trouvé comme rendre honneur à la Reine : "votre digne moitié" (v. 41); "Aux Champs Elysiens [...] goûté milles charmes" (v. 46) ; "ceux qui sont saints comme moi" (v. 47), il se fait glorieusement récompensé par le Roi. On distingue