La Peste Métaphore

Cet extrait est un extrait de la pièce L’Avare de Molière. Nous pouvons voir avec l’extrait présenté que, le genre de cette pièce est une comédie. Celle-ci étant comique, nous pouvons constater que la pièce use ; des comiques de gestes avec les didascalies qui précisent les gestes faits par les personnages, par les coups de bâton, des poursuites, les mimiques nombreuses ainsi que des soufflets ; l’œuvre étant basé sur des rebondissements, des coïncidences, des retournements (surtout la fin de l’œuvre)

« importuns » v.11/32, « malencontreux » v.53, … + jeu des antithèses v.26 « honorer les morts » / mourir les vivants ». + Comparaisons : « comme un tigre en furie » (gradation) v.7, « comme un enfant qui crie » (personnification des chats) v.8. + Métaphore du « serrurier, laborieux Vulcain » v.17 (référence mythologique marquant une amplification) et « un fer maudit » v.19, « fourmillent » v.32. + Ampleur de la phrase qui correspond à une gradation de l’embouteillage. b) Multiplication des termes

DECEMBER To drown : noyer To smother : étouffer To curse / to insult / to abuse : insulter, injurier To henpeck : agacer (pour des femmes) To bully : tyranniser To harass / to harry : harceler To plague : tourmenter, harceler A plague : un fléau, la peste To dub : surnommer Resentment : rancoeur Day in and day out : jour après jour A whim : un caprice A dart : une fléchette A target : une cible Waterproof : imperméable Fireproof : ignifuge, résistant au feu Bulletproof : pare-balles An acquaintance

celles de La Fontaine tout est écrit de façon imagée. Cela lui permet de critiquer le pouvoir arbitraire de la justice du roi et ainsi faire remettre en question l’avis du lecteur sur la société dans laquelle il vit. Dans « Les animaux malade de la peste » chaque animal est l’allégorie des membres de la société du XVIIème siècle. Grâce à cette fable écrite de manière imagée La Fontaine a pu critiquer la justice qu’il trouve essentiellement mise au service des puissants et l’hypocrisie qu’il en ressort

ou caricatures : figures de l’exagération (hyperboles…) Polémique : Défendre ses idées. Opposer ce que l’énonciateur juge bon à ce qu’il juge mauvais, dénoncer un adversaire en cherchant à le discréditer à travers des procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives, antiphrases ironiques) et des procédés d’insistance (anaphores, accumulations) CONTEXTE : Le texte est extrait de « Traité sur la tolérance », l’un des textes majeurs de Voltaire et aboutissement d’une longue démarche. Voltaire

est surtout sensible au vers 43. On note aussi une allitération en P qui souligne cette compassion. L’expression pauvre potagère montre la tristesse du narrateur et l’adj. Pauvre est repris en écho au vers 30. Ce jeu des adj. affectif associé à la métaphore de la plaie au vers 48. Accentuée par les allitérations en R, nous montre clairement où vont les sympathies du fabuliste. Le récit met donc en scène un choc des classes sociales dans lequel le narrateur prend clairement partie. Cela explique sans

», « né de », à comparer avec Ramsès (« Rê l’a engendré ») et Thoutmôsis (« né de Thot ») ou encore Hermès « issu de la lumière ». Ainsi on pourrait traduire tout aussi bien Moïse par « Celui qui est né des eaux », ce qui constitue une élégante métaphore pour désigner « l’initié », dont on sait qu’il doit mourir pour renaître. L’appel de Dieu (Exode 3)[modifier] Moïse et le buisson ardent, par Dirk Bouts.Alors qu'il est réfugié en Madian et qu’il garde les troupeaux de son beau-père, Moïse

personnel, « c’est volontairement que je m’expose » affirme- t- il. Zola s’inscrit alors dans la tradition des auteurs politiquement engagés au même titre que Victor Hugo, Voltaire ou encore Camus qui dénonçait le régime nazi en utilisant la métaphore de la peste,… Ils utilisent leurs savoir, leurs habilités, leurs « plumes » afin de défendre ce qui leur semble juste, en acceptant les risques que cela impliquent. Et, preuve de leurs engagements : ces auteurs dérangent. Tout au long de l’histoire

d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines. Procédés utilisés : champs lexicaux des larmes, de la douleur, nombreuses exclamations, lamentations, métaphores et comparaisons à forte charge émotive. Le ton lyrique et le ton épique : Le ton lyrique crée entre l’auteur et le lecteur le même état d’âme. Il évoque, de façon exaltée ou méditative, de sentiments intimes communs à tous les hommes. Procédés

humaines qui sont un véritable laisser - passer dans la société : ainsi dans «  Les fées » de Charles Perrault, la cadette, mal aime par sa mère est celle qui réussit sa vie, les diamants et les perles précieuses qui sortent de sa bouche sont une métaphore de son « honnêteté » au sens du XVII ème siècle, c’est-à-dire de ses qualités de coeur et de politesse, leçon explicitée dans les moralités qui suivent le conte. Les fables de La Fontaine guident aussi l’enfant sur la voie de la sagesse et du bonheur