La Passe du diable

n'était jamais incommodé du soleil; huit jours après ils furent tous deux revêtus d'un san-benito, et on orna leurs tête de mitres de papier: la mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diable qui n'avaient ni queue ni griffes; mais les diables de Pangloss portaient griffes et queue, les flammes étaient droite. Ils marchèrent en procession ainsi vêtus, et entendirent un sermon très pathétique, suivi d'une belle musique en faux-bourdon. Candide fut fessé en cadence

examiné attentivement une cinquantaine de contes désig-nés comme fantastiques (il est vrai que l'emploi du terme est toujours assez vague, tant parmi les auteurs que parmi les historiens du genre), nous avons retenu 36 contes qui se rangent entre Le Diable amoureux de Jacques C a z o t t e et les contes de Guy de Maupassant (c'est ainsi que Tzvetan Todorov situe le genre)17 et qui satisfont au critère 13 Vladimir P r o p p, Morphologie du conte. Paris, Poétique/Seuil, 1970, p. 28—29. 14 V. P r o

magnifique, que dire à son propos si ce n’est qu’elle soit une bonne mère. Elle sera toujours là pour moi et pour nous tous d’ailleurs. En sortant de ma suite je croise ma petite sœur Giuliana. _ Tu es bien radieuse ce matin ! _ Et toi, je vois que tu as passé une excellente nuit ! _ Ce n’est pas bien d’écouter aux portes. _ Je me demande ce que notre père et notre mère vont penser ! Surtout dans l’état auquel tu l’as mise cette nuit-là ! A ce moment-là je ris. Joyeux je réponds : _ Je suis le chouchou de

maintenant Crispin n'a plus besoin de courir d'un endroit à l'autre, il reste à ses côtés et imite des sons lui faisant croire qu'il est allé très loin dans son vol. PETIT VIEUX : Crispin, c'était un bon vol, mais ça ne progresse pas. CRISPIN : Que se passe-t-il, monsieur ? PETIT VIEUX : D'abord, je vole trop vite et je ne sens pas le plaisir de voler. Ensuite et c'est fondamental, mon corps reste à la verticale, ce qui va à l'encontre de toute norme de vol. Il faut que je parvienne à ce qu'il soit à

populaires comme Pierino et "il lupo " avec le maestro Claudio Abbado. C'est en 1983 qu'il passe aussi derrière la caméra et, devient interprète et réalisateur avec "Tu me troubles". L'année suivante il fait équipe avec son ami Massimo Troisi pour réaliser Non Ci Resta Che Piangere. Après une expérience américaine dans "Down by Law" sous la direction de Jim Jarmusch, il revient à la réalisation avec "Le Petit Diable", puis "Johnny Stecchino" et "Le monstre" , trois films dont il est également scénariste

Théologie/ Philosophie I- Le Diable et le Bon Dieu II- En quête d’identité I – 1.1 le nom, le patronyme Pour appréhender le personnage, l’étude de son nom pourrait servir de première clé. Qui lui a attribué ce nom de Grenouille , sobriquet devenu patronyme ? on l’ignore, car il est d’emblée appelé « l’enfant Grenouille »(9) ; Il naît derrière l’étal de sa mère, parme « les déchets de poisson qui gisaient sur le sol »(7). Le mot « poisson » se révèle d’ailleurs le premier qu’il parvient

belles ont droits de nous charmer ». La femme est comme un objet a conquérir : champs lexicale du combat pour séduire les femmes : « douce violence », « combattre », « vaincre ». Conclusion : Dans cette scène, Molière clame haut et fort ce qui se passe en réalité, ce que les nobles cachent. Il ne fait pas l’apologie de l’infidélité, il veut seulement faire réfléchir les spectateurs. ACTE 3 ; SCENE 2 Introduction : Dom Juan va tenter de faire blasphémer le pauvre en lui promettant un louis d’or

de haine et de proscription. » proscription : condamnation à mort sans jugement p 96 : « L'air farouche d'un Algonquin » Algonquin : un Indien de la tribu des Algonquins, au Canada. p 136 : « Je suis fou ! Infâmes suborneurs ! Émissaires du diable, dont vous faites ici l'office, … » Émissaires : envoyés. Présentation d'un morceau choisi Acte I, scène III : p 64-65 Rosine paraît à sa fenêtre accompagnée de Bartholo. Elle tient dans la main les couplets de la Précaution Inutile, un

la fin de l‘entretien Sganarelle dit à Gusman qu’il ne doit pas dire à Dom Juan ce qu’il vient de lui dire. Si il le dit, il va dire que ce n’est pas vrai. Dans la conversation on apprend beaucoup de choses sur le caractère de Dom Juan et sur son passé. Dom Juan a épousé Elvira la maîtresse de Gusman. Dans le cours de la conversation Gusman apprend comment Dom Juan il est en réalité. Il n’est pas la personne qu’il prétend être. Il n’est pas l’homme honnête et romantique qu’il prétend être dans

c'est-à-dire narratif, Figaro raconte sa vie, c'est une évocation autobiographique. Trois temps dominent : -> l'imparfait -> généralité passée " le désespoir m'allait saisir " -> le passé simple -> faits ponctuels dans le passé " il fallut bien périr encore " -> le présent -> événement imprévu -> mise en relief d'événements importants -> rupture totale avec le passé " on me met un jour dans la rue ", " je reprends ma trousse et mon cuir anglais "  2. Mise en scène et cette alternance récit - discours