La Marseillaise

atteinte lorsque retentit La Marseillaise, « le chant national ». b. La force de ce corps populaire - Champ lexical de la puissance et de la force : « terriblement grandiose », « milliers », « enflaient », « éclat assourdissant », « emplit », « monstrueuses », « bouches géantes », « notes ardentes »… - Cette force et puissance s’oppose à la léthargie initiale de la nature, à la « paix morte et glacée de l’horizon », à la campagne endormie. Mais, avec la Marseillaise, se déroule un évènement

blanc qui est la couleur du Roi et lerouge qui représente les sans-culottes. Marianne est l'allégorie de la République française. Elle porte un bonnet phrygien qui était autrefois porté par lesesclaves affranchis à Rome. L'hymne national est la Marseillaise. C'est un chant de guerre qui a été composé par Rouget de Lisle, un officier français, à la suitede la déclaration de guerre à l'Autriche. La devise de la France : « Liberté, Égalité, Fraternité » est un héritage des idées des philosophes du siècle

évidence par les allitérations gutturales et l'allitération en b "brandissait leur bâton" ; Les vielles aussi sont violentes, les cordes de leur cou ressortent tellement qu'elles hurlent. Ce groupe de femmes nous fait penser à l'allégorie de la Marseillaise de Rude, habillées en guerrière elles semblent hurler la colère et la douleur. Enfin on observe une généralisation, il n'y a plus d'individu. Si la description du groupe des femmes ressemble à un zoom qui part de la masse pour arriver à un cas

seul bloc, serrée, confondue, au point qu'on ne distinguait ai les culottes déteintes ni les tricots de laine en loques, effacés dans la même uniformité terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus, accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite; et cette hache unique, qui était

puissance de la révolution en marche. Dans les extraits de Flaubert et de Zola, le peuple forme un personnage collectif. On trouve des points communs reliant ces deux textes notamment la métaphore de l’eau puis on a également le Chant de la Marseillaise et une description du bruit. Cependant, les deux extraits divergent sur la vision qu’ils donnent du peuple. Flaubert dégrade l’image de la foule aussi bien par sa désignation que par les individus qui la composent ( masse grouillante, prolétaire

ordre, celui des caïds et des mafias ». L'an dernier, les règlements de comptes ont fait vingt-quatre victimes dans la région marseillaise, soit un mort tous les quinze jours. Déjà 17 cette année ! Pas plus de crimes que dans les années 70-80 mais plus de médiatisation a causes des armes d’assaut Fuite des cadres qui ne se sente pas en sécurité Population marseillaise ne se sent pas non plus en sécurité Slide 3 : Marseille-Provence 2013 (ou MP2013) est une série d'évènements culturels se

quelques points communs, liés à l’évocation d’une foule en marche : l’emploi de la métaphore de l’eau ( « fleuve », « flots vertigineux », « marée d’équinoxe » dans le texte B ; «  torrent », « tempête humaine » dans le texte C) ; le chant de la Marseillaise et la description du bruit qui accompagne le mouvement de la foule (« piétinement des souliers, clapotements des voix » dans le texte B ; « chants…la grande voix…éclat assourdissant » texte C). Mais les deux extraits divergent dans la vision qu’ils

amené dans la chambre Royale... !!! Tu aurais vu, ma chérie, comme c'était beau ! Tout les, bijoux, les parfums, les parures, les tentures, … je me suis même enduite d'une pommade à l'odeur de rose. Des cris de haines, des coups de fusils puis la Marseillaise... le flot est parti comme il est venu. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là. Quelques perdus comme moi traînaient sans trop savoir, ni quoi faire ni où aller... ? Toutes les belles choses avaient été cassées, pillées, tout était dévasté

française (RF) SYMBOLES RÉPUBLICAINS Marianne portant le bonnet phrygien Drapeau tricolore Cocarde Devise La Marseillaise : HYMNE officiel en 1879 (IIIe République) Hymne : chant à la gloire d’un personnage, d’une idée ou chant patriotique adopté par un pays. Écrit par Rouget de Lisle à Strasbourg en 1792. Chant de guerre pour l’armée du Rhin appelé La Marseillaise car chanté par les soldats fédérés marseillais à Paris. Interdite sous le Premier Empire (1804-1815) et la Restauration (1815-1830)

distinctions d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Art. 2  : La langue de la République est le français. L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc et rouge. L’hymne national est la « Marseillaise ». La devise de la République est « liberté, égalité, fraternité ». 1) Surlignez en jaune les valeurs de la République et en bleu les principes. 2) A l’aide du site https://www.elysee.fr/la-presidence/les-sym