La Maison Vide

 Chagrin d’école Lorsque j’étais à la petite école, un garçon du nom de Jonathan était mon meilleur ami. Du matin en commençant l’école, jusqu’au soir où il fallait rentrer à la maison, nous étions inséparables. On se complètait parfaitement ; j’étais douée à l’école et lui non. Par contre, il était excellent dans tous les sports alors le soir après l’école, on jouait au soccer. Il m’aidait beaucoup à m’améliorer car je voulais toujours réussir à le déjouer au moins une fois. Mais je n’ai

ont fouillé toute la maison pour trouver des bouteilles de Rhum ainsi que des cacahuètes. Ils ont vidé mon stock et maintenant ils sont complètement saouls et prennent mon chat pour Barbe Noire. Deuxième jour : Le capitaine Jack Sparrow m'accompagna faire les courses tandis que Gibbs et Mr Cotton restèrent à la maison. Le capitaine demanda à chaque client du supermarché s'ils voulaient faire parti de son équipage mais ils se sont tous enfuis en courant. Rentré à la maison, ils ont encore bu toutes

La maison aux milles bonbons. Quand le fameux soir du 31 octobre s’annonce, on sait qui fait la collecte de bonbons, qui en distribue et qui ne participe tout simplement en rien. Dans la dernière catégorie, les abonnés ce font de plus en plus rares. Mais comme dans chaque ville, grande ou petite, il y a toujours une maison sombre, mal entretenue et délaissé que tes parents te conseillent d’éviter et habituellement cette même maison ne participe en rien a aucune activité, quelle qu’elle soit. Mais

philosophique parmi quelques jolies rues de la ville. Se tenant par la main, ils se dirigent vers Rue Sainte Catherine. « Qu’est-ce que c’est que ces choses-là ? demanda curieux le bonhomme. - Ce ne sont pas des choses, répondit Arthur, ce sont des maisons. Nous y habitons, nous qui vivons sur Terre. - Oh que c’est drôle ! Et à quoi vous servent-elles ? Qu’elles sont jolies ! s’écria le Petit Prince fou d’admiration. - Oui, elles sont belles. Elles sont très importantes pour nous. On y vit, on y

Rédaction sur « La chute de la maison Usher ». Je restai de longues minutes, figé de terreur, paralysé par l'émotion d'une telle aventure, contemplant les fumées qui s'échappaient des ruines, de ce qui fut jadis, une demeure ancestrale. Les battements précipités de mon cœur faisaient naître dans mon crâne des bruits sourds et réguliers, qui accompagnaient en parfaite harmonie l'averse que déversait l'orage incessant sur ma tête. Haletant, je m'adossai, trempé d'effroi , contre un arbre enveloppé

vous dire ma pensée ? J’avais envoyé chercher une certaine Rosalinde, qui me sert de maîtresse ; elle soupe en ville comme une personne de qualité.MARIANNE. – C’est une fâcheuse affaire sans doute, et votre cœur en doit ressentir un vide effroyable.OCTAVE. – Un vide que je ne saurais exprimer, et que je communique en vain à cette large coupe. Le carillon des vêpres m’a fendu le crâne pour toute l’après-dînée.Marianne se moque d’Octave et le taquine. On sent un amour naissant. C’est le marivaudage

Dans ce livre le narrateur raconte sa folie et la terreur qu'il subissait. Le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et lui boit sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler ses domestiques. Le narrateur parle à la première personne du singulier et l'on peut imaginer ce livre comme un journal intime. Maupassant souffrait de troubles, notamment l'impression de se voir à l'extérieur de lui, ou

La Fleur blanche, était une maison close de la ville de Paris située au 6 rue des Moulins, dans le 1er arrondissement. Elle était notamment fréquentée par Toulouse-Lautrec (où il avait une chambre à demeure, selon la légende1). Cet établissement était célèbre pour sa chambre des tortures. Sommaire [masquer] 1 Origines de l'établissement 2 La fin de la Rue des Moulins 3 La rue des Moulins dessinée par Toulouse-Lautrec 4 Notes et références 5 Bibliographie Origines de l'établissement[modifier

plage, sorties, ciné, tout. J'ai oublié quelque chose d'important pour après. Nos meilleurs amis, Valentin, Marceau, Vincent et Yohan ont eu une idée.. Énorme : allez a Tahiti. Récolter de l'argent pour le rejoindre la bas. Nous sommes allés voir la Maison Pour Tous, expliquer notre envie. On nous prenait pour des fous ! Il faut une somme extrêmement importante pour ça. Et c'est à partir de ça que notre association URBAN WAVE est née. Celle-ci sera plus importante après. Le départ de mon amoureux arriva

tout le temps dans son peignoir, sa tranche pale comme un cauchemar en rides, voler son visage (piquer) et le faire sortir dehors, effrayera beaucoup (la plupart, ou quelque ?) d’enfants. 4 – J’étais déjà allé deux ou trois fois chez lui, dans sa maison, . . .j’était allé deux ou trois fois chez lui - - sortant la tête feintant la tête à une sorcière d’un conte de fait, elle avait l’habitude de s’enfermer derrière la porte fermé de sa chambre, habillé en robe-de-chambre (ou peignoir), le visage