La Maison Vide

et non pas un vide absolu. En effet, le vide absolu n’existant pas, car en ayant des limites, il reste quelque chose, l’idée de suppression devient incohérente. Bergson la remplace par l’idée de substitution, en ajoutant que le terme suppression reste utilisé car dans le domaine de l’industrie humaine, il est d’usage de porter notre attention sur la chose qui n’est plus, car elle est nous importe d’avantage que sur celle qui est lors d’une substitution. Par exemple, si votre maison brule, vous aurez

rendent triste comme un chagrin. Il avait perdu quelque argent, d'ailleurs, et son estomac, depuis quelque temps, le faisait souffrir, ne lui permettait plus de manger à son gré.      Il allait chez lui, et soudain la pensée de son grand appartement vide, du valet de pied dormant dans l'antichambre, du cabinet où l'eau tiédie pour la toilette du soir chantait doucement sur le réchaud à gaz, du lit large, antique et solennel comme une couche mortuaire, lui fit entrer, jusqu'au fond du coeur, jusqu'au

Présentation orale : La maison de la goutte d’or L’assommoir, Emile Zola 1) Ce texte est extrait du chapitre II de l’assommoir d’Emile Zola. Dans le premier chapitre, Lantier est parti avec adèle, une brunisseuse, laissant Gervaise seule avec Etienne et Claude, 4 et 8 ans. Pendant ce chapitre, Gervaise va également se battre au lavoir avec Virginie, la sœur d’adèle. Dans le chapitre II, dans la description que l’on étudie, Gervaise accompagne Coupeau chez sa sœur et son beau-frère, les Lorilleux

par cette proximité? Aurore est une vieille bâtisse. Son nom qui est un nom féminin et l'emploi du verbe « existe » qui se réfère aux êtres vivants et non aux maisons. L'effet obtenu est de donner vie à une maison, comme si elle était un personnage à part entière du récit. Cela souligne l'importance que va prendre cette maison, tout au long du récit. .... / 2.5 4 p. 9 En citant le texte, rapportez comment est décrite la Villa Aurore: « Aurore existait », « à demi perdue dans les fouillis

 RESUMES DES CHAPITRES Résumé du chapitre I Le narrateur maintenant adulte, se souvient de son enfance. Il habite avec sa famille Dar Chouafa, au fond d'une impasse. La maison porte ce nom parce qu’une voyante y habite. Il se lève de bonne heure pour aller au M'sid, situé à la porte de Derb Noualla et dont le fqih est un grand maigre, barbu et coléreux. L'enfant se sent seul. Il a un penchant pour le rêve et l’imagination ; aussi sa tête est-elle peuplée d'histoires fabuleuses. Le narrateur

D’Amour et de Cendres Assis à une table du café «le grillon» se trouvant sur le cours Mirabeau, Andrew Wood contemplait son verre de Suze d’un regard vide. Cela faisait maintenant presque huit mois que chaque jour, il venait, s’asseyait à la table arrondie de ce café, commandait un verre qu’il fixait pendant des heures pour finir par le boire d’une traite. Deux ans auparavant, Wood vivait heureux avec sa femme et sa fille dans un manoir retiré près de la montagne sainte Victoire. Il s’était marié

s’occuper d’un enfant, quatre mois pour me récolter cette sommes. Je crois qu’elle ne me prit pas au sérieux ! Car quatre mois plus tard, toujours aucun versement, et aucune nouvelle de cette dame. Je passais donc aux menaces. Je téléphonais à la maison, on décrochait, je respirais rapidement pour faire peur, j’envoyais des lettres en disant « JE VEUX MON ARGENT !!!!  SINON VOTRE FILLE EN SOUFFRIRA !!! ». Elle ne me prit toujours pas au sérieux. Un jour j’ai décidé d’aller chercher la petite Alejandra

d’expressions faisant référence à la mort. On peut ainsi lire au vers 2 l’euphémisme « Feuille morte » qui peut traduire l’arrivée de l automne, un cycle que s’achève, la fin de la vie, la mort d un homme. Au vers 6, «  Son ombre tombe dans le vide », « L ombre » qui est l’extinction d’une âme humaine qui devient ombre. Ce soldat meurt. Au vers 12, « Le monde s affaisse dans un trou » qui sous- entend la mise en bière d’une personne. Le mot trou renvoie l’image de la tombe, de l’enterrement

produire, il actionna l'igniteur d'une chiquenaude et la maison décolla dans un feu vorace qui embrasa le ciel du soir de rouge, de jaune et de noir. Comme à la parade, il avança dans une nuée de lucioles. Il aurait surtout voulu, conformément à la vieille plaisanterie, plonger dans le brasier une boule de guimauve piquée au bout d'un bâton, tandis que les livres, comme autant de pigeons battant des ailes, mouraient sur le seuil et la pelouse de la maison. Tandis que les livres s'envolaient en tourbillons

même qualifiée de « la plus accomplie des tragédies modernes ». En citant l'auteur, le sujet de la pièce est « le vide ontologique », l'ontologie étant l'étude de l'être en tant qu'être, donc plus simplement, l'étude des propriétés générales sur ce qui est, ce qui existe. En, effet, à travers la signification des chaises que l'on va voir plus tard, on se rendra bien compte que ce vide de la matière est le centre de la pièce. L'absence est ainsi un sujet très important. Ceci nous permet donc d'introduire