La Liberté Selon Darwin

superstitieux’’), désignant une croyance religieuse qui tourne vraiment le dos à la raison (c’est, dit Kant, « la propension à placer une plus grande confiance dans ce qu’on pense arriver d’une façon non naturelle qu’en ce qui se laisse expliquer selon les lois de la nature » Critique de la faculté de juger : la tempête, c’est la colère de Dieu, etc.). Fondée sur la peur (de la divinité, de ce qu’elle peut ‘’nous faire’’ …) comme sur l’intérêt (on sert Dieu et on Le prie ds l’espoir d’avantages divers

homme libre. Si on dit que l’homme est un être naturel, on a tendance à en faire un être déterminé. Quand on dit que ca, on peut penser qu’il y a des déterminismes culturels qui s’imposent (des ethnos : ethnies). Cela conduit à la thèse de Sartre selon laquelle l’existence précède l’essence chez l’homme. L’existentialisme : les hommes n’ont pas de nature, ils ont une condition humaine (Montaigne). Mais cette condition n’a pas été pensée essentiellement par un Dieux qui l’aura ensuite réalisé dans

condamne à mort les officiers du front est qui disent que la cause est perdue. Durant les 6 premiers mois de 1943, Hitler se terre dans la tanière du loup. Il persiste à croire qu’il est l’invincible général d’armée qui impose les théories de Darwin et de la raison du plus fort en tant que lois inaliénable du peuple allemand sur les champs de bataille. Hitler pense que son peuple est indigne du destin qu’il veut lui donner. Hitler s’enferme dans son bunker. Nov 43 : brasserie de Munich

fourmillement éternel des cieux noirs, Des cieux bleus, des midis, des aurores, des soirs ! Place à l’atome saint qui brûle ou qui ruisselle ! Place au rayonnement de l’âme universelle ! Un roi, c’est une guerre, un dieu c’est de la nuit. Liberté, vie et foi sur le dogme détruit ! Amour, tout s’entendra, tout étant l’harmonie ! L’azur du ciel sera l’apaisement des loups. Place à Tout ! Je suis Pan ; Jupiter ! à genoux ! » Victor Hugo Prospective des religions (2007) Introduction

remettre à elle ?          Faut-il avoir confiance en l’opinion ou au contraire faut-il s'en méfier ? L’opinion n'est-elle pas capable d'une vérité ?               On a coutume de définir l’opinion comme une croyance peu fiable, incertaine, variable selon les individus, les classes sociales et les cultures. Faut-il s'en méfier ? D'emblée, l'opinion paraît ainsi s'opposer à la vérité qui, elle, est certaine et indubitable. Elle est considérée comme étant le règne de l'apparence, du préjugé et de l'idée

auteurs proposent des éléments intéressants pour mettre a jour la distinction. -La science constitue un corps de connaissance visant a l’objectivité ce qui veut dire que est scientifique ce qui est indépendant des valeurs. -La science doit permettre selon eux l’élaboration de lois au sens de relations universelles ce qui veut dire que la science devrait nous permettre de prévoir. -La nécessité du recours a une réductionnisme méthodologique on peut mathématiser les lois. -Tout énoncé scientifique

c’est le marché seul qui organise le système de production, mais, dans la réalité, le capitalisme est multiforme et l’État peut y jouer un rôle plus ou moins étendu. (pol.) idéologie qui préconise la propriété privée des moyens de production, la liberté d’entreprise et le libre-échange tant au niveau national qu’au niveau international. Catégorie socioculturelle : classe des choses propres à une collectivité donnée et qui délimitent ce qui peut être «pensé» par ses membres; elle est très souvent

DROIT DES LIBERTES FONDAMENTALES 2007 Daphnée Principiano [pic] Avant de commencer ce cours nous pouvons faire plusieurs observations préliminaires : 1) ce droit des libertés fondamentales a connu une série d’évolutions historiques, dans des contextes économiques différents. 2) D’autre part il y a une diversité d’intitulés : cependant le mot « liberté » revient dans tous les intitulés. On dit souvent que la Liberté doit être protégée par le Droit. Mais une question se pose :

prédestinée, voulue par Dieu, du corps social) ou le contrat social (tentative de laïcisation de la société). Le libéralisme des premiers industriels les conduit à s'opposer à ces principes; ils revendiquent d'abord l'individualisme, s'inspirant de Darwin pour ne retenir de sa théorie de l'évolution que le concept de survie du plus capable. Pour Bentham, toute action humaine est dictée par le désir du plaisir et la fuite de la douleur, et cet égoïsme est à terme bon pour la société. Ils se livrent

l’intertextualité. Il fait retrouver l’ensemble des textes qui sont publiés autour pour comprendre l’intention de l’auteur. Skinner essaie de lutter contre l’anachronisme. En 45 et 47 sont publiés deux livres. Le O et l’infini de Kessler et J’ai choisi la liberté de Kravchenko. Ces ouvrages à l’époque n’ont pas fait la vérité. Or aujourd’hui, ils sont des best-sellers. Pour comprendre ce paradoxe, il faut resituer ces ouvrages dans le contexte des autres textes de l’époque (où beaucoup de faux étaient produits)