La Liberté Peut Elle S Affirmer Sans Violence

est  la cause première. Dans le premier cas l'homme subi des affects et il n'est en rien responsable des actes dont il est l'agent, au sens ou il ne peut ni ne doit répondre  de ce qui est  fait dès lors que ce n'est pas lui qui fait mais les causes qui agissent sur lui: c'est comme ça, le mal est un malheur au même titre qu'un événement naturel peut produire une catastrophe. Dans le deuxième cas, l'homme est totalement responsable, car s'il est cause première, c'est à dire libre, de son acte violent

Axes de réflexion : - La liberté semble être une donnée immédiate de la conscience; non seulement elle ne requiert peut-être pas d'apprentissage mais peut-être aussi l'apprentissage lui-même est contradictoire avec la notion de liberté. - Toutefois l'idée d'une liberté immédiate est peut-être une illusion provoquée par les limites de la conscience humaine : je ne connais pas les véritables causes qui me poussent à agir. - Alors la liberté n'est peut-être pas une donnée mais un acquis aussi bien

protéger ou non. Ensuite, nous nous appesantirons sur les éventuels problèmes dans la quête de protection des femmes contre les violences basées sur le genre (chapitre 2). Enfin, notre étude s’achèvera par l’ébauche de solutions aux obstacles préalablement décelés (chapitre 3).  CHAPITRE I : L’EGALITE ENTRE L’HOMME ET LA FEMME EST PLEINEMENT CONSACREE EN THEORIE La violence à l’égard des femmes découle de rapports de force inégaux entre les hommes et les femmes depuis les sociétés primitives. Il

La violence en milieu scolaire : Causes et solutions envisageables TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION I. LES ORIGINES DE LA VIOLENCE SCOLAIRE 1. Les mass-médias et la culture de violence 2. L'abdication de la famille 3. L'abolition de la punition physique : une liberté mal comprise par l'élève II. LES SOLUTIONS ENVISAGEABLES 1. Renforcer les mesures préventives contre les infractions violentes à l'école 2. Réajuster le rapport élève/enseignant 3. Donner plus d'autonomie à l'enseignant

vic>mes de violences de masse ont eu besoin de les coucher sur le papier après les avoir vécues. La cri>que Catherine Coquio a même écrit au sujet de ces témoignages. Pour elle, les auteurs de ces textes écrivent en faisant preuve de « vérité », mais ceBe vérité ne coïnciderait pas toujours avec la « réalité des faits ». Nous pouvons définir le terme vérité comme étant ce qui correspond à la réalité, soit ce qui existe effec>vement, mais aussi, comme étant ce à quoi l’esprit peut et doit

soixante huitards a permis aux victimes d’oser se considérer comme telle, se heurtant, relativement moins, au amas de tabous et de stigmatismes qui a pu être formé dans notre société à ce sujet. Dès lors, L’Etat, affirme sa responsabilité et sa préoccupation face à de telles violences pouvant être physique, psychologique ou sexuelle (distinction issue du sommet de Stockholm, 1996 sur les droits de l’enfant), ce dernier pouvant trouver appui sur la communauté internationale, elle aussi, attachée

12-01-2003 actualisée le 18-10-2005 Un choix de 350 sujets de philosophie. Aucun n'est corrigé. Vous êtes bien punis ! Cliquez sur l'onglet DEMARCHES pour vous familiariser avec les méthodes de la dissertation. NATURE & CULTURE, L'EDUCATION 1. Peut-on dire que la nature est bonne ? 2. Faut-il reconnaître à l'homme une place particulière dans le monde ? 3. Faut-il renoncer à l'idée que l'homme a une nature ? 4. L'homme est-il perfectible ? 5. Faut-il dire que la société dénature l'homme ou

philosophie Ottawa RÉSUMÉ : Notre attention a été attirée par une lecture inusitée qu'Yves Vargas fait de la théorie contractuelle chez Rousseau. En effet, contrairement à la tradition qui fait de Rousseau un penseur contractualiste, Yves Vargas, lui, affirme qu 'il n'y a pas de contrat dans la pensée rousseauiste. Dans cet article, nous nous proposons d'analyser cette thèse afin déjuger de sa pertinence. Notre position est qu 'il existe bien une théorie contractuelle chez Rousseau. Cependant, celle-ci

Le doute est une manifestation de l’esprit, la question invite à se demander si cette manifestation est un signe de liberté. Douter, c’est interroger les évidences, remettre en cause une idée reçue. En effet, le doute serait le moyen de suspendre notre jugement et de nous libérer de nos croyances et de tous nos préjugés. Le doute serait donc une manifestation de la liberté d’esprit ; en ce sens il serait même une arme contre le dogmatisme et les croyances de l’esprit. Pourtant, le doute représente

existence et une capacité juridique à un peuple indépendamment de la personne qui le gouverne. Première conséquence état personne morale n’implique que les gouvernants ne sont pas propriétaire de leur fonction. Ils en sont seulement investit leur fonction peut donc leur être retiré. Le pouvoir politique est attaché à la fonction et non pas à la personne qui exerce à un moment donner cette fonction : Le droit de dissolution de l’assemblée nationale pas attaché à la personne. Obéit à la règle et non pas au