La Liberté Peut Elle Faire Peur

Que puis-je craindre du regard d'autrui ? Autrui ne peut pas être considéré comme un objet. Tout ce qui est autre que moi n'est pas nécessairement autrui. Autrui peut être considéré comme une enveloppe qui constitue l'extérieur: les autres. L'expérience humaine de la vie nous met en présence d'autres « moi », qui comme moi, sont des « êtres » conscients doués de raisons et qui, sont à ce titres mes semblables. Comme moi « autrui » semble pouvoir ressentir, vivre, aimer, avancer

conscience ( intersubjectivité, histoire, liberté, conscience ), d'autrui ( avec entre autres le paradoxe d'autrui qui " est un autre que moi mais a la fois un autre moi meme " ), le langage, le rapport nature-culture ( on a a DEVENIR soir meme ), la liberté, le bonheur, l'art ( avec le style ). - " suffit-il " -> condition nécessaire ET suffisante ? présupposé : je peux etre moi meme que si je suis en relation avec autrui. peut etre n'est on pas soi meme, peut etre doit on le devenir : présuppose

proposer. Mais surtout oser choisir, comme le disait si bien Goethe. Pourquoi ne nous référons-nous plus autant à nos propres valeurs à nos propres convictions ? Pourquoi avons-nous peur de prendre des décisions, de faire nos propres choix? Pourquoi suivons-nous le modèle que la société nous impose ? Avons-nous peur de prendre un chemin diffèrent que celui imposé par la société, et si c’était justement le chemin à prendre pour notre évolution ? Pour commencer, la phrase de Goethe exprime que

à sa liberté ? L’homme vient de se marier. Hier soir, il a enterré sa vie de garçon sachant que désormais, il ne pourra plus faire certaines choses. En effet, il vient de s’engager devant Dieu à aimer et protéger son épouse et ce jusqu’à ce que la mort les sépare. Cet engagement est-il pour autant un renoncement à sa liberté ? L’engagement est une promesse, une convention que l’on contracte. Par lui, on est lié par une sorte de lien moral, de lien juridique également. Or la liberté peut se définir

Sujet : Dans ses Carnets du vieil écrivains (1974), le romancier Jean Guéhenmo écrit : « Un livre est un outil de liberté. » La lecture n’est pas seulement une sorte de plaisir, elle peut procurer toute sorte d’autre loisir comme dans « Madame Bovary de Flaubert (1857) » mai encore, « Les Mots de Jean-Paul Sartre (1964) », « Rapport Sur Moi de Grégoire Bouillier (2002) », « Balzac et la petite tailleuse chinoise de Daï Sijie (2000) », « Fahrenheit 451 de Bradbury (1953) » et puis, « Les confessions

tout faire sur Internet, on peut maintenant y faire nos courses, écouter de la musique regarder des films. Très utilisé par les jeunes mais allant de plus en plus vers les autres générations Internet connait un vrai succès. Certains pensent que victime de son succès Internet se dégrade, que l’on y trouve de plus en plus d’idioties. Que cela est mauvais pour les jeunes, que cela n’améliore pas leur niveau d’orthographe, et n’est pas bon à leur intelligence. Beaucoup de parents en ont peur, peur de voir

AIMONS-NOUS VRAIMENT LA LIBERTE ? AIMONS-NOUS VRAIMENT LA LIBERTE ? A. Analyse du sujet : * Analyse des termes : * La Liberté : Capacité d’agir sans contrainte Autonomie => capacité de donner ses propres règles, de se gouverner ou d’obéir qu’à soi-même Indépendance => n’avoir besoin que de soi-même (indépendance d’esprit : penser par soi-même) * Aimer : Sentiment d’affection et

«bon» parce qu’il serait dans l’impossibilité d’être méchant. En effet, pour être méchant, il faut vouloir le mal de son semblable. Mais pour avoir des semblables, il faut déjà vivre en société. N’ayant pas de «prochain», l’homme à l’état de nature ne peut lui vouloir ni bien ni mal. Sa «bonté» est donc purement négative : l’absence de mal, l'absence d'immoralité, due à absence de morale. L’état de nature de Rousseau n’est donc ni le produit d’une recherche des origines historiques de l’humanité (l’état

"Donc c'est la loi morale, dont nous avons immédiatement conscience (dès que nous formulons des maximes de la volonté), qui souffre d'abord à nous et nous mène directement au concept de la liberté, en tant qu'elle est représentée par la raison comme un principe de détermination, que ne peut dominer aucune condition sensible et qui, bien plus, en est totalement indépendant. [...] Supposons que quelqu'un affirme, en parlant de son penchant au plaisir, qu'il lui est tout à fait impossible d'y

pendant plusieurs mois (la notion du temps est très flou) lui faire un véritable lavage de cerveau. Il est finalement relâché, mais vide de toute émotion et d’esprit critique. O’Brian a réussi à lui enlever toute liberté. L’œuvre s’achève sur ses propos « j’aime Big Brother ». Aspects psychologiques -Big Brother a un total contrôle de la population par la peur : peur de disparaître, peur d’être dénoncé par l’expression de son visage (on peut se remémorer les soldats en URSS et en Allemagne qui devaient