La Grosse Tête

deux bords, derrière les lignes confuses des ormes. Un tombereau de choux et un tombereau de pois, au pont de Neuilly, s’étaient joints aux huit voitures de navets et de carottes qui descendaient de Nanterre ; et les chevaux allaient tout seuls, la tête basse, de leur allure continue et paresseuse, que la montée ralentissait encore. En haut, sur la charge des légumes, allongés à plat ventre, couverts de leur limousine à petites raies noires et grises, les charretiers sommeillaient, les guides aux

possible aux spectateurs afin qu’ils puissent comprendre ce qui se passe dans cette révolution des noires. On peut remarquer aussi qu’il y a quatre gros plans très important dans ce plan séquence. Le premier met en scène un noir avec des chaises dans les mains qui est poursuivi par une petite troupe militaire et lorsque le noir trébuche il y a un gros plan sur lui et sur les pieds des soldats qui le frappe et même avant qu’on ne voit les pieds le réalisateur faire un panoramique vertical vers le bas

Vous savez, continua-t-il, maintenant, je travaille là, à l’hôpital… Hein ! quel joli mois de mai ! Ça pique dur, ce matin. Et il regardait le visage de Gervaise, rougi par les larmes. Quand il vit que le lit n’était pas défait, il hocha doucement la tête ; puis, il vint jusqu’à la couchette des enfants qui dormaient –7– toujours avec leurs mines roses de chérubins ; et, baissant la voix : – Allons ! le bourgeois n’est pas sage, n’est-ce pas ?… Ne vous désolez pas, madame Lantier. Il s’occupe

avec manches ballons sous le premier empire Cheveux libres attachés au sommet de la tête 1820 - 1850 Robes serrées à la taille dès 1830, plus courtes pour laisser apparaître un pantalon de dentelle pour les plus jeunes femmes Chapeaux enveloppants avec gros nœud sous le menton Ombrelles Cheveux peignés en raie au milieu avec macarons ou anglaises cascadant sur les tempes 1850 – 1870 Raie au milieu et gros chignons à l’espagnole Robes extrêmement larges avec paniers circulaires Épaules

représenté avec un front élevé et une énorme tête, ce peut être parce qu’il a la « grosse tête », ou bien c’est une exagération de son physique. La taille de son front est proportionnelle à son ego. Cette caricature pourrait également montrer la profondeur de sa pensée alors que sa position générale est celle du penseur romantique, perdu dans ses pensées. Hugo tiens dans sa main droite une plume, qui représente la plume de l’écrivain. Il tient sa tête dans sa main gauche et donne l’impression qu’il

autant qu’il est troublé par «le bruit des foulons» des tanneries. Après s'être réconfortés dans une taverne, il vont chez «celui qui vend des almanachs», le guérisseur vers lequel viennent tous les malades, un certain Toussaint, «un petit bossu à grosse tête», chez qui habitent une jeune femme, Gina, la fille de Maudru, et Danis, le besson, qui l’a enlevée : la loi de Maudru régnant, il ne peut tenter le retour vers le sud. D’emblée, Gina se plaint des promesses qu’il lui a faites, elle réclame «(sa)

Alouette (Refrain)Alouette, gentille alouette,Alouette, je te plumerai.Je te plumerai la tête (x2)Et la tête (x2)Alouette (x2)Ah !Je te plumerai le bec (x2)Et le bec (x2)Et la tête (x2)Alouette (x2)Ah !Je te plumerai les yeuxJe te plumerai le couJe te plumerai les ailesJe te plumerai les pattesJe te plumerai la queueJe te plumerai le dos Do do l'enfant do. Do, do, l'enfant do,L'enfant dormira bien vite.Do, do, l'enfant do,L'enfant dormira bientôt. Maman est en haut qui fait du gâteauPapa

entrailles comme une caillasse volcanique en fusion sur une hutte en paille. Nous sommes des œufs de cailles, je suis un œuf de caille. Il faut que je sorte de là, il me faut de l’eau, de l’eau pure, merde il faut que je plonge que je me taille. » Gros plan sur les yeux du héros qui s’ouvrent. Il est bien dans son bain, mais en sort précipitamment, se couvrant d’une grande serviette comme d’une toge d’empereur romain. Plan sur sa mère entrain de casser des œufs dans la cuisine, en arrière-plan

demi-ensemble : les personnages sont filmés dans un espace moins large     Plan moyen : les personnages sont cadré en entier ( de la tête au pied)     Plan américain : les personnages sont cadrés à mi-cuisse     Plan rapproché : les personnages sont cadrés à partir de la taille      Gros plan : le visage ou une partie du corps du personnage ( main, pied..) est cadré.     Très gros plan : un détail du corps est cadré ( oeil, doigt...)     Plan séquence : réalisation d'une séquence en un seul plan Fondu

tranchées». Après la permission, ils doivent retourner au front et la chanson exprime leur tristesse: «Mais c'est bien fini, on en a assez/ Personn' ne veut plus marcher,/ Et le cœur bien gros, comm' dans un sanglot/ On dit adieu aux civelots, /Même sans tambour, même sons trompette, / On s'en va là haut en baissant la tête» Les soldats restent alors un semaine en première ligne: «Huit jours de tranchées, huit jours de souffrance», après laquelle ils reçoivent une relève: «Pourtant on a l'espérance /