La Grosse Tête

TITRE : TIREZ PAS SUR LE SCARABÉE NOTE QUE JE DONNERAI : 9/10 LIEU OU L’HISTOIRE SE DEROULE : DANS UN JARDIN EDITEUR : PAUL SHIPTON ÉPOQUE : ÉPOQUE CONTAMPORAINE BUG MULDOON : DÉTÉCTIVE PRIVÉ QUI EST UN SCARABÉE AYANT DES DIFFICULTÉS POUR VOLER. GROS PART RAPPORT AUX AUTRES INSECTES. IL EST TRÈS MALIN. SELMA : UNE SAUTERELLE QUI EST UNE AMIE/ASSISTANTE QUI VA BEAUCOUP AIDER BUG MULDOON PENDANT L’HISTOIRE JAKE LA TREMBLOTE : MOUCHE TRÈS PEUREUSEQUI EST UNE AMIE DE BUG MULDOON. ELLE EST TRÈS

Changements du gorille à l’homme : 1) Les orteils vers le devant 2) Le genou bloque, nos jambes ont allongé, nos bras ont rapetissés 3) Le bassin a rapetissé dans le sens de la hauteur mais il s’est élargi 4) La colonne vertébrale est en « s » 5) La tête est en équilibre 6) La main est devenue plus sensible et le pouce opposable La bipédie a permis le développement de la parole L’humanité part de l’Afrique L’Amérique du sud est le dernier continent colonisé par l’homme Séparation des tâches

teneur en eau et le poids spécifique. Pour négocier au prix et pour le réglage des appareils, et prendre une aidée de rendement. En suite le camion décharger dans la trimé de réception. Le pré-nettoyage : L’objectif de cette étape est d’éliminer les gros déchets. Le blé passe par une balance puis par deux séparateurs, chaque séparateur suivi par un tarare. Puis le blé envoyé vers les silos de stockage (6 silos stratégiques en béton, la capacité de stockage des silos est de 360 tonnes). Le 1er

imaginé : un géant à la tête de taureau, dont les bras et les jambes possédaient des muscles noueux comme des troncs de chêne. En voyant entrer Thésée, il meugla un effroyable cri de satisfaction gourmande. Sous ses naseaux, sa gueule ouverte bavait. Il baissa sa tête bovine et poilue, pointant ainsi des cornes acérées vers sa proie. Puis il s’élança vers sa future victime en rabotant le sable de ses pieds cornus.Le sol était jonché d’ossements. Thésée ramassa le plus gros, il le brandit. Au moment

pluvieux Qui se courbe au travers des cieux ; La tête à la taille pareille, Le col grasset, courte l'oreille, Et dessous un nez ébénin Un petit mufle léonin, Autour duquel était plantée Une barbelette argentée, Armant d'un petit poil follet Son musequin damoiselet ; La gorge douillette et mignonne, la queue longue à la gueunonne, Mouchetée diversement D'un naturel bigarrement : Tel fut Belaud la gente bête Qui des pieds jusques à la tête, De telle beauté fut pourvu Que son pareil on

Ferdinand Bardamu et nous dépeindrons son état d'esprit. Le texte étudié semble être le dernier cri d'une personne qui a l'impression d'avoir raté sa vie. Elle est tellement enfermée dans ce sentiment d'échec qu'elle n'a finalement plus que cette idée en tête. Nous allons dans un premier temps montrer ce sentiment d'échec. Puis nous relaterons comment il en arrive à un repli total sur lui-même et nous terminerons par la note d'espérance qui nait même au plus profond des situations de désespoir. Le narrateur

Pui!". Il se fend le gosier parce qu'il meurt de froid. Pour son bonheur, voilà qu'arrive une vache. Elle le voit et veut le réchauffer. Alors, elle soulève la queue et paf! Elle pose une belle galette fumante, grosse comme ça ! Le petit oiseau, bien pénard et bien au chaud, sort sa tête et remet ça "Pui! Pui! Pui!" plus fort qu'avant... Rrrrrrr! Mais un vieux coyote arrive au triple galop. Il allonge une patte, l'extrait délicatement de son tas de merde, essuie la crotte qui le recouvre et ensuite

séquence, je souhaite mettre en avant les sentiments de la jeune fille à l'égard du jeune homme et de son départ ainsi que de la totale indifférence, ou presque, du garçon. Pour insister sur les sentiments amoureux de la jeune fille, je multiplie les gros plans sur son visage qui montrent ses yeux rougis. Ses sanglots et reniflements sont amplifiés par le quasi silence environnant. Pour bien montrer que le jeune homme ne partage pas ses sentiments il ne regarde jamais la jeune fille, il semble toujours

reprendre la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne peuvent plus marcher Et le cœur bien gros, avec des sanglots, on dit adieu aux civelots Et même sans tambour, et même sans trompette, on s’en va là-haut, en baissant la tête Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, adieu toutes les femmes Ce n’est pas fini, c’est pour toujours, de cette guerre infâme C’est à Craonne, sur le plateau, qu’on va laisser not’

étrange rébellion d’un malade contre son médecin. Argan : Ce n’est pas ce que je pense … Monsieur Purgon : Quelle nourriture puisse t-il vous ordonner ? Argan : Il me conseille du vin pur. Monsieur Purgon : Ignare ! Argan : De gros bœufs et de gros porcs . Monsieur Purgon : Ignare ! Argan : Du fromage de Hollande. Monsieur Purgon : Ignare ! Argan : Du gruau de riz. Monsieur Purgon : Ignare ! Argan : Et surtout des marrons et des oublies pour coller et conglutiner.