La Gentrification

conséquence un cloisonnement plus important de l'espace urbain. • Dans les centres-villes, les logements sont de plus en plus chers et les classes moyennes partent peu à peu vers les banlieues. D'anciens quartiers populaires « s'embourgeoisent » (gentrification). Les quartiers pauvres disparaissent des centres-villes qui gardent tout de même une population précaire dispersée dans des chambres de bonnes ou des hôtels bon marché. Les problèmes sont délocalisés vers les banlieues qui comprennent des quartiers

vu aussi le développement de lignes transversales ne passant pas par Paris, qui ont par la suite disparu du fait de l’augmentation des couts ré-éloignement. * La hausse du prix de l’immobilier dans les centres villes a en partie stoppé la gentrification et rapproché la banlieue par des mesures prises pour abolir les distances handicapant de plus en plus de personne. - Comment s’organise l’espace français dans un contexte où la distance ne compte plus ? - La distance est-elle encore en

Les centres sont souvent réaménagés, réhabilités et valorisés. On met en valeur le patrimoine historique et architectural (voir photo 1 page 129). On y trouve des commerces, des bureaux, mais aussi des logements à des prix élevés (on parle de gentrification – de l’anglais Gentry, la bonne noblesse anglaise ; le terme veut signifie la venue de classes aisées au cœur des villes). Les périphéries sont hétérogènes (à distinguer), composées d’habitants collectifs, banlieue pavillonnaire, centres commerciaux…)

Commerces de luxe. Magazins de vêtements de marques très connues. Services de très haute qualité. Centres historiques qui accuillent des classes supérieures avec un paysage urbain très jolie. Les personnes n’utilisent presque pas les voitures. Gentrification, population avec très bonnes qualités de vie. Ces quartiers sont eux aussi divisés B) La fragmentation sociale et fonctionelle Petits immeubles agréables à vivre. Si on s’éloigne on arrive aux communes de la banlieue. L’habitat est dégradé

métropole de plus en plus polycentrique sous l’effet de la mondialisation - Il y a une spécialisation des espaces, notamment ceux dédiés à une fonction mondiale, et renforcement des inégalités socio-spatiales entre des quartiers. - Gentrification au nord de Manhattan et la multiplication des gated communities en périphérie. - Les contrastes socio-spatiaux vérifiés à travers l’analyse d’un paysage urbain : contraste, voire la fracture urbaine, entre un quartier aux fonctions mondiales

quitter une HLM pour une maison individuelle avec la deuxième qui est de quitter un lieu proche du centre ville vers un lieu en périurbanisation. Cette tendance est du à l’augmentation des moyens de transports. Enfin troisième tendance avec la « gentrification ». C’est-à-dire remplacer les classes moyennes qui habitaient en ville par des personnes plus aisées financièrement. Ceci est notamment dû au prix du foncier. On retrouve donc une tripartition qui entraine une désagrégation de la société. Il faut

dans le centre-ville donne naissance à des quartiers d’affaires construits sur le modèle des Central Business Districts (CBD) américains, tandis que les activités moins prestigieuses sont relayées à la périphérie. La pression foncière favorise la gentrification des centres-villes. Les émeutes dans les banlieues des grandes villes françaises en novembre 2005 montrent l’ampleur des problèmes sociaux dans les périphéries des villes. Les villes les plus dynamiques se situent en général dans les régions

rôle de la métropole face à la concurrence mondiale favorise la ségrégation socio-spatiale. Ainsi, c’est le cas des Docklands dont la rénovation urbaine pour un faire un nouveau quartier d’affaire mais aussi un quartier d’habitat a favorisé la gentrification alors que les populations (à revenus modestes) qui vivaient proche des anciennes friches industrielles ont été repoussées vers l’extérieur de l’agglomération à cause de l’augmentation du prix du foncier. Alors que ces villes mondiales entretiennent

urbaines et sociales à travers l'analyse critique de l'instrumentalisation de la culture selon l'action urbaine. Elle aborde plus précisément dans son analyse, certains processus, comme l'utilisation des politiques cultuelles et du processus de gentrification, permettant d'implanter l'Art dans les quartiers. Le terrain auquel elle intègre son analyse se situe dans le quartier parisien, la Chapelle-Stalingrad, quartier pauvre et défavorisé dans les années 90 mais au cœur d'une politique de réhabilitation

communes rurales étaient en perte de population, commencent à croître c’est-à-dire de plus en plus de gens quittent la ville. D. Des fractures spatiales et sociales sur le territoire français très importantes On assiste au phénomène de gentrification : cela regroupe la question de l’entre soi, ce sont des populations aisées surtout qui vont choisir des propriétés dans les villes ou banlieues des villes. On observe également une croissance importante des banlieues pavillonnaires dans lesquelles