La Force du pardon

toutefois j’ai plus grand appétit De pardonner à leur folle fureur Qu’à celle-là de mon beau procureur12 : Que male mort les deux jambes lui casse ! Il a bien pris de moi une bécasse, Une perdrix, et un levraut aussi, Et toutefois je suis encore ici ! Encor je crois, si j’en envoyais plus, Qu’il le prendrait. […] Si vous supplie, Sire, mander13 par lettre, Qu’en liberté ces gens me veuillent mettre ; Très humblement requérant votre grâce De pardonner à ma trop grande audace ©HATIER

parler, je suis bien informée, croyez-moi, etc... C'était intolérable, au-dessus de ses forces de faible femme... elle n'y résista pas tant la joie, la volupté d'étonner, lui ôtait tout discernement. Elle conta la chose en grand mystère et avec force serment à sa meilleure amie... et une heure après le sultan était informé. Le gouverneur du palais arriva au moment où les deux époux achevaient de manger la gazelle. Osman fut amené, entouré de soldats en armes, et jeté brutalement dans le cachot

de Pallas-Athéna. 2er histoire :Pendant la guerre de Troie, Athéna choisit d'aider les Grecs car elle ne pardonne pas le Troyen Pâris d'avoir choisi Aphrodite plûtot qu'elle pour reine de la beauté. 3e histoire :C'est la protectrice d'Athènes. Pour devenir protecteur de la cité d'Athènes, Poséidon et Athéna se proposèrent. Poséïdon frappa le sol avec son trident pour montrer sa force et de là, jaillit une source d'eau salée. Athéna,elle, fit pareil mais avec sa lance et de là, poussa un olivier

temps auparavant à Geoffroy Le Ferron, trésorier du duc de Bretagne; mais apprenant qu'il aurait pu mieux le vendre à un de ses cousins, il propose à Le Ferron de revenir sur la vente mais celui-ci refuse. Gilles décide alors de reprendre la place de force et enferme le frère de Geoffroy, Jean Le Ferron. Apprenant la prise du castel et la séquestration de Jean Le Ferron, le duc de Bretagne frappe Gilles d'une amende de 50000 écus, et demande une enquête secrète. Le 29 juillet, l'évêque de Nantes, Jean

parle) / référence à Done Elvire Fonction ? Avertir Dom Juan, dernier avertissement : le spectre s’adresse indirectement à lui, sur un ton froid, solennel = gravité du moment. Dom Juan encore placé devant une possibilité de pardon : « miséricorde » = pardon de dieu. Dom Juan n’est pas muni parce qu’il est pécheur, mais parce qu’il est un pécheur impénitent : il refuse de se repentir. Fin de phrase : la menace, extrêmement précise, devient quelque chose d’imminent, le temps presse : «

Epouse Immaculée qui défait les amas de nœuds de nos vies. Il veut que nous renaissions à une nouvelle vie et que nous soyons délivrés de nos amertumes. L’Esprit Saint semble envelopper Marie tandis qu’elle défait les nœuds de notre vie. C’est la force du Très Haut qui préside à ce miracle ! C’est le sens du vent qui gonfle son manteau. En continuant de contempler « Marie qui défait les nœuds », nous remarquons aussi qu’une troupe d’anges entoure la Très Sainte Vierge. Ces êtres qui ne sont qu’amour

mur, boit le poison. Il a fait semblant d’être Don César, et avec le soutien de la reine il est devenu premier ministre — bien qu’il ne soit en réalité qu’un simple laquais. Si d’abord elle refuse de lui pardonner, quand elle voit la force de son amour et se rend compte qu’il meurt, elle lui pardonne l’appelle par son vrai nom de « Ruy Blas » pour qu’il puisse mourir heureux.

l’esthétique baroque ? Structure de la pièce :  1) Don Juan face à son destin A. Un pêcheur non repenti Champ lexical du repentir et du pardon « miséricorde du ciel » l.2 « S’il se repent » l.2 « dans le repentir »l.13 « me repentir » l.15 « grâce du ciel » l.20 -Don Juan a encore le choix de revenir sur ses pêchés et de se faire pardonner. Don Juan choisit de persister et reste fidèle à sa ligne de conduite. -Il est inébranlable, inflexible et va jusqu’au bout. Pluriels à effet

LES FAUSSES CONFIDENCES, Marivaux, 1837Analyse linéaire Acte III scène 12 de la ligne 27 : « ARAMINTE. Il n’y a pas moyen » jusqu’à la ligne 71 : « DORANTE. Quoi !... »→Faites l’analyse linéaire du passage après avoir répondu aux questions. 1) Quelle image Dorante donne-t-il de lui-même à travers le type de langage qu’il utilise (l. 27 à 38) ? Dorante donne une certaine image de lui-même à travers le type de langage qu’il utilise : – langage du cœur et de

elle, tu te trouveras, vous vous trouverez sans problème, elle est la même, vous allez vous trouver. Ne lui serre pas la main, embrasse-la. Catherine. ANTOINE. — Suzanne, ils se voient pour la première fois ! LOUIS. — Je vous embrasse, elle a raison, pardon, je suis très heureux, vous permettez ? SUZANNE. — Tu vois ce que je disais, il faut leur dire. citation procédés effet/analyse lien problématique Suzanne. première réplique parle le + et