La Fontaine Le Vieillard

logique d’un monde merveilleux, plusieurs citations peuvent le prouver, c’est notamment le cas de celle-ci : en attendant, on leur fit voir la ville, les édifices publics élevés jusqu’aux nues, les marchés ornés de mille colonnes, les fontaines d’eau pure, les fontaines d’eau rose, celles de liqueurs de canne de sucre qui coulaient continuellement dans de grandes places pavées d’une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle. [p.61] Cette dernière

philosophique). (Citation/Justification par la forme) En effet, on constate une multitude de termes renvoyant au thème du merveilleux. Ainsi on relève notamment des moutons rouges et volants ; de la terre d'or ; des cailloux de pierres précieuses ; un vieillard de cent soixante-douze ans et des montagnes droites de dix milles pieds de hauteur. De plus, la tonalité extraordinaire de ce texte mêlée à des éléments d'un monde réel accentue le caractère inattendu de ce pays. (Explication) Tous les ingrédients

extraite du premier livre de fables écrit par Jean de la Fontaine. Celui-ci fût publié en 1694, il appartient donc au mouvement du classicisme. Long d'une vingtaine de vers et ornée d'une morale située en épilogue, elle s'apparente à l'apologue dont le but est de plaire et d'instruire. La Mort et le Bûcheron met en scène un Bûcheron et la Mort personnifié, qui au fil d’une histoire nous amène à une morale. A travers cette fable La Fontaine nous conte l’histoire réaliste et émouvante d’un bûcheron

l’année 1663. L’Avare : Cléante et Elise, les deux enfants d'Harpagon craignent chacun pour leurs amours respectifs. L'avarice de leur père fait obstacle à leur bonheur. Heureusement le vol d'une cassette viendra bouleverser les plans de l'avide vieillard Cette comédie en cinq actes et en prose de Molière a été écrite en 1668. Créée au Palais-Royal le 9 septembre 1668, la pièce est ensuite publiée à Paris. Médiocrement accueillie, elle n'est jouée que neuf fois avant d'être retirée. Les spectateurs

La Fontaine Le Berger et la Mer Livre IV, fable 2 Le Berger et la Mer Du rapport d'un troupeau, dont il vivait sans soins, Se contenta longtemps un voisin d'Amphitrite : Si sa fortune était petite, Elle était sûre tout au moins. À la fin, les trésors déchargés sur la plage Le tentèrent si bien qu'il vendit son troupeau, Trafiqua de l'argent, le mit entier sur l'eau. Cet argent périt par naufrage. Son maître fut réduit à garder les Brebis, Non plus Berger en chef comme il était jadis

caricature et Pascal  parie sur « la perte de la gravité de notre sénateur ». Ce premier exemple introduit le registre satirique dans un sujet qui paraissait sérieux. Exemple 2 Le philosophe et la planche (sorte d’exemplum à l’instar des fables de La Fontaine, voire des paraboles des Ecritures, l’exemple est quasi caricatural) Exemple 3 Le chat, le rat, le charbon, exemple sous la forme de l’allusion Exemple 4 la justice et la subjectivité du plaignant comme de l’avocat Ici Pascal intercale un propos

aux sciences Travail et luxe : exotisme et âge d'or --> pays de Cocagne ( fontaine de liqueurs de canne à sucre qui coulaient continuellement) Organisation politique : ni justice, ni prison = vertu naturelle - rôle du monarque réduit à la représentation - unanimité sociale = résultat d'un conditionnement ancien ? La paix civile naît de l'unanimité des opinions : "nous sommes tous ici du même avis" dit le vieillard. (bien facile !) Urbanisme et développement scientifique BUT de Voltaire

Ludovic Membrez Exposé Livre : Contes et nouvelles en vers, I et II Auteur : Jean de La Fontaine Thème : une certaine image de l’amour Biographie de l’auteur : Jean de La Fontaine, né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, mort le 13 avril 1695, est un poète français de la période classique. Ses œuvres sont essentiellement des Fables

La nature: Baudelaire a une vision très personnelle de la nature, qu'il décrit souvent comme étant sombre et oppressante. Dans le poème Le Jet d'eau , Baudelaire décrit la beauté d'une fontaine dans un parc, mais en même temps, il évoque le sentiment d'oppression et de solitude que cela lui inspire. Dans Le Voyage , il décrit la nature sauvage et inquiétante de l'océan. La modernité:

ntroduction « Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l'humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d'en sourire ou même d'en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait