La Fontaine Le Lion Et Le Rat

Exposé Les Fables (j’ai eu 20)L’œuvre que j’ai choisi de présenter est « Les Fables » de Jean de La Fontaine. La Fontaine est l’un des poètes français les plus lus du XVIIème siècle et il est l’une des principales figures du classicisme, un mouvement littéraire caractérisé la symétrie, l’ordre et la justesse. Son second recueil de fables allant du livre VII à XI est publié en 1678, soit dix ans après son premier recueil ; et il est dédié à Madame de Montespan. Les fables de ce deuxième recueil se

chevalier au Lion (vers 1180), Chrétien de Troyes Calogrenant a raconté à la cour du roi Arthur son combat dans la forêt de Brocéliande avec Esclados, chevalier de la Fontaine et châtelain de l’endroit. Arthur, informé par Guenièvre, décide alors de se rendre à Brocéliande pour affronter et vaincre Esclados. Mais Yvain veut accomplir cet exploit seul pour venger l’honneur de Calogrenant et pour répondre aux moqueries de Keu. Il part avant le roi et après une première nuit, trouve la fontaine...

faire apprendre et de divertir. La fable est ainsi une alternative à la didactique d’une règle clairement énoncée et permet de faire passer des idées et des dogmes (ex : Les Fables de La Fontaine énoncent un certains nombre de morales, comme «on a souvent besoin d'un plus petit que soi. » dans Le Lion et le Rat). B. L’épopée La poésie est aussi une alternative pour relater des faits importants et/ou historiques. En effet, certains seront plus intéressés par des livres d’histoires, mais d’autres

Les figures de style (théorie) a) Les figures d’analogie Comparaison : rapprochement de deux objets au moyen d’un terme de comparaison. Ex. Je suis comme un lion en cage. Métaphore : création d’une relation de similitude entre deux objets mais sans terme de comparaison. Ex. C’est un vrai lion. Personnification : fait de parler de quelque chose comme s’il s’agissait de quelqu’un. Ex. Ma jeunesse s’est enfouie comme une voleuse. b) Les figures d’opposition

Introduction : Les Fables de La Fontaine ont eu, en leur temps, un vif succès. Avant-gardistes, elles ne se plient à aucune des règles de la poétique classique. Bousculant les habitudes littéraires et la doctrine de l'époque, La Fontaine impose un style qui n'est pas loin d'être condamné par ces pairs. Fort heureusement, la grande majorité des lecteurs est enchantée par ses écrits et se soucie peu de savoir si les règles sont respectées ou non. Comme Molière le leur conseille, ils se laissent «

la justice ce texte nous offre-t-il ? Nous analyserons dans une première partie la confession détournée du lion, puis dans une seconde partie la comédie de cour et enfin nous conclurons par une troisième partie sur la critique de la justice. I. Une confession détournée : le discours du lion A/ Le lion incarne le pouvoir royal Premier qui parle Personnificat* du roi : « le lion tint conseil » Commence par un bilan : « je crois que le ciel a permis pour nos péchés cet infortune » insiste

LA FONTAINE, Fables, livre I |1. La Cigale et la Fourmi |Vit aux dépens de celui qui l'écoute : |Et moi j'y tombe, et je péris. | |La Cigale, ayant chanté |Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. " |- Ami, lui dit son camarade, | |Tout l'été,

Méthodologie : rédiger une dissertation Décliné en fable, conte, parabole, conte philosophique ou encore utopie, défini comme un récit court et plaisant doté d’une portée didactique, pratiqué par de grands noms parmi lesquels Esope, Phèdre, Anouilh, La Fontaine, Voltaire ou Perrault, le genre de l’apologue rencontre depuis l’Antiquité une fortune indéniable ainsi qu’un lectorat souvent enthousiaste. Le sujet qui nous est proposé nous invite à nous poser la question suivante : « peut-on dire que l’apologue

celle de Jean De La Fontaine qui cherche à allier l'instruction (une morale) et l'agrément (un récit). Le récit mettant en scène souvent des animaux qui parfois symbolent l'homme et on tous un trait de caractère propre a chacun (sottise du Loup, cruauté orgueilleuse du Lion...). Exemple : Le Lièvre et la Tortue Rien ne sert de courir, il faut partir à poin Le Corbeau et le Renard Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens que celui qui l'écoute. Le Chat et un Vieux Rat La méfiance est mère

injustes alors que cela ne l'est pas, les surdoués savent mettre leur force intellectuelle à profit et ils sont tout à fait dans leurs droits.  • La ruse comme nous l'explique Jean De La Fontaine dans beaucoup de ses fables, est souvent la meilleure des façons de lutter contre la force physique. C'est le cas du Lion et du Rat par exemple. Ce n'est pas toujours le plus fort qui en sort vainqueur, la ruse peut s'avérer plus efficace que la force physique comme dans la fable du Corbeau et du Renard.  • La