La Folie Le Fantastique L Angoisse

Journaliste : son personnage en est un aussi, car du coup l’écrivain connaît bien le milieu. Mourut de la syphilis (maladie sexuellement transmissible), après avoir sombré dans la folie. On peut faire le rapprochement avec le registre fantastique de certains extraits de Bel-Ami, où le héros est proche de la folie. Préface sur le roman : pour Maupassant, le réalisme est un « illusionnisme » : on e peut que donner l’illusion de représenter fidèlement la réalité. Si on était vraiment fidèle au réel

DE BÉRENGER Le personnage de Bérenger, ses caractères spécifiques • L'angoisse. Exprimée sous forme de craintes, d'un malaise vague, comme le prouve la récurrence de certains termes (" ça ne va pas ", " avoir peur ", " angoisse ", " je me sens mal à l'aise "), elle est la cause de ses abus d'alcool qui lui fournissent un apaisement (l.5). L'idée de lassitude physique vient préciser ce malaise. Elle s'exprime grâce à la répétition du participe " fatigué ", et à l'image

particuliers, c’est-à-dire ceux des instruments à corde, qui ne lui inspirassent pas d’horreur. Je vis qu’il était l’esclave subjugué d’une espèce de terreur tout à fait anormale. - Je mourrai, - dit-il, - il faut que je meure de cette déplorable folie. C’est ainsi, ainsi, et non pas autrement, que je périrai. Je redoute les événements à venir, non en eux-mêmes, mais dans leurs résultats. Je frissonne à la pensée d’un incident quelconque, du genre le plus vulgaire, qui peut opérer sur cette intolérable

En français dans le texte Émission diffusée le 28 novembre 2020 Objet d’étude : La poésie du XIX e siècle au XXI e siècle Parcours : alchimie poétique : la boue et l'or Œuvre : Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal Poème analysé : « Les petites vieilles » I. ANALYSE LITTÉRAIRE Introduction/Mise en situation Chanté par Gainsbourg, par Reggiani, par Léo Ferré, par Jean-Louis Murat et bien d’autres, Baudelaire est un poète qu’on interprète, qu’on revendique, qu’on se raconte et qu’on se

prend la forme de cette folie criminelle. Il erre épouvanté le long de la voie ferrée ; c’est alors que l’express de Paris débouche du tunnel, et que Jacques croit entrevoir en un éclair, dans un des compartiments, une scène de meurtre. C’est ce qui lui confirme un peu plus tard la découverte du cadavre de Grandmorin sur la voie. Le jeune homme le contemple avec une fascination morbide. Chapitre 3 (p.99 à 127) Gare du Havre. Roubaud, comme si de rien n’était, mais angoissé dans l’attente de la découverte

car celles-ci pourraient Nour porter à nous tromper, à penser faux. Mais comme le siècle a bien montré, on se trompe en utilisant la raison aussi, donc il ne fait pas avoir peur de se tromper avec l’imagination. Le renversement de la notion de folie: il dit que ce que toute une culture appelle ‘errance’, donc liée à l’erreur et à la faute, mais aussi au voyage, au fait d’être perdu et de ne pas atteindre sa destination. Pour Breton, errer, est la meilleure possibilité pour l’esprit. Les fous

Hésiode qui a hérité d’un don de poésie, et aspire à voir danser les nymphes sous la lune (faisant ainsi écho à la ​ Théogonie​ ). Le poète est clairement évoqué comme un prophète, qui méprise les richesses de ce monde pour la fureur d’esprit, la folie de l’inspiration et détient un savoir plus qu’humain, et devient ainsi proche des dieux (« des poignans aiguillons de sa divinité/Quand l’homme en est touché, il devient un Prophète ».Le poète devient maître de la nature renouant ainsi avec la tradition

célèbre tragédie shakespearienne (avec une fin heureuse !) sera représentée 384 fois de 1868 à 1938. Après une longue période de silence, Thomas n’obtiendra qu’un succès médiocre avec Françoise de Rimini d’après Dante en 1882 puis avec le ballet fantastique La Tempête en 1889. Malgré ces quasi-échecs, Ambroise Thomas achève sa carrière de musicien auréolé d’une gloire que la postérité n’a pas confirmée : premier musicien récompensé par la Légion d’Honneur en 1884, élu à l’Académie des Beaux-Arts

classiques et refuse d'imiter les Anciens. Souvent affecté par la vague des passions – « le mal du siècle » - l'homme romantique, pour se distraire de l'angoisse, recherche l'évasion par le rêve, l'exotisme ou le passé, exalte le goût du mystère et du fantastique. C'est la grande époque d'une peinture violente et inspirée. Géricault ( 1791 - 1824 ) Le Radeau de la Méduse 1814 Delacroix ( 1799 - 1863 ) La Liberté guidant le peuple Le romantisme pictural se manifeste par le choix des sujets (refus

Mais ce fut aussi une femme mystérieuse qui a emporté dans la tombe de lourds secrets. Elle a inspiré beaucoup d’auteur de littérature vampirique, notamment Sheridan le Fanu (écrivain irlandais 1814-1873), dans son roman Carmilla. C’est un roman fantastique paru en 1872 dans le recueil In a Glass Darnley (Les Créatures du miroir). Appartenant au style gothique, elle a pour héroïne « une » vampire. Laura, fille unique d'un gentilhomme anglais installé en Styrie, accueille sans la moindre inquiétude